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Le Maître de la lampe
Published online by Cambridge University Press: 09 June 2010
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Dans son livre American Philosophy and the Future, Michael Novak nous rappelle que nous vivons sous la menace des conflits nucléaires. Si nous n'y prenons garde, nous dit-il, nous serons bientôt dans l'impossibilité de philosopher. Cet avertissement a de quoi nous étonner. Y aurait-il des bombes atomiques sans une philosophie de la bombe ?
Il y aurait bien d'autres objets, les uns plus extraordinaires que les autres, que nous apporte à un rythme toujours plus accéléré la nouvelle technologic et sur lesquels il nous faudrait aussi philosopher et même davantage. Ainsi, un éditorial de Journal of the American Medical Association nous fait part des craintes que provoquent, chez médecins et biologistes, les expériences faites en vue de la fabrication des bébés-éprouvette — ‘test-tube babies’.
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- Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie , Volume 13 , Issue 2 , June 1974 , pp. 299 - 325
- Copyright
- Copyright © Canadian Philosophical Association 1974
References
1 American Philosophy and the Future, New York: Scribner's, 1968, Introduction.Google Scholar
2 «Genetic Engineering in Man: Ethical Consideration», Journal of the American Medical Association, vol. 220, no5 (mai 1972).Google Scholar
3 Rostand, Jean, Aux Frontières du surhumain, Union Générale d'Editions, Paris, 1962, p. 29.Google Scholar
4 Ibid., p. 30.
5 Valéry, Paul, Regards sur le monde actuel, Paris, Gallimard, 1945, p. 52.Google Scholar
6 Rostand, Aux Frontières du surhumain, p. 30.
7 Heisenberg, Werner, «Rationality in Science and Society», Can we Survive our Future ?, éd. Urban, G. R., The Bodley Head, London, 1971, p. 85.Google Scholar
8 Valéry, Regards sur le monde actuel, p. 175.
9 Cf. Mumford, Lewis, The Condition of Man, London, réimp. 1963, ch. VIIGoogle Scholar; Fourastié, Jean, Les 40,000 heures, Gonthier, Paris, 1965, pp. 19, 154–6Google Scholar; Dubos, René, The Dreams of Reason, New York et Londres, 1963, p. 62.Google Scholar
10 Toffler, Alvin, Future Shock, Toronto, 1971Google Scholar. Cf. Germain, Paul, Bio-dynamique, Montréal, 1973, pp. 43, 44 et 49.Google Scholar
11 Armand, Louis, Plaidoyer pour l'avenir, Paris, Calmann-Levy, 1961, pp. 10 et 87.Google Scholar
12 Ellul, Jacques, La Technique, Paris, Colin, 1954, ch. 6.Google Scholar
13 Giedion, Siegfried, Mechanization takes Command, New York, 1948Google Scholar; Jaspers, Karl, Man in the Modern Age, New York, 1933Google Scholar; Juenger, Friedrich G., The Failure of Technology, Hillsdale, Ill., 1949.Google Scholar
14 Albert Camus, « L'Exil d'Hélène », « L'Eté ».
15 Rostand, Jean, Aux Frontières du surhumain, Union générale d'Editions, 1962, p. 31.Google Scholar
16 Fourastie, Jean, Les 40,000 heures, éd. Gonthier, , 1965, pp. 25, 26, 169 et 231Google Scholar; Huxley, Julian, ‘Evolutionary Humanism’, Knowledge, Morality & Destiny, New American LibraryCrossRefGoogle Scholar; Linger, Susanne K., Philosophical Sketches, New American Library, p. 151.Google Scholar
17 Aid, Roy, The Youth Commune, Tower Publications, New York, 1970, Part IIGoogle Scholar; Mounier, Emmanuel, La Petite Peur du XXe siècle, ed. Seuil, du, Paris, 1948Google Scholar; Duplessey, Lucien, La Machine ou l'Homme, Paris, Colombe, 1947Google Scholar; de Corte, Marcel, Essai sur la fin d'une civilisation, Paris, Médicis, 1949.Google Scholar
18 Albert Camus, L'Eté, « L'Exil d'Hélène ».
19 Henri Bergson, Les Deux Sources de la morale et de la religion, P.U.F., in fine; Lewis Mumford, The Condition of Man, Londres, Martin Seeker & Warburg, réimp. 1963, p. 393 et ch. XI; Dominique Dubarle, « Les Conditions du bonheur», Rencontres Internationales de Genève, 1961, p. 49; Arnold Toynbee, « Man-Genius and Dunce », The Montreal Star, 31 dec, 1971; Arnold Toynbee, Mankind's True Order of Priorities, The Montreal Star, 4 Jan., 1969; Guido de Ruggiero, « Progrès techniques et progrès moral », Rencontres internationals de Genève, 1947, p. 127.
20 Bossuet, Discours sur l'histoire universelle, IIIe, ch. 3.
21 Bossuet, Ibid.
22 C'est le thème même que développe Mumford dans son livre The Myth of the Machine (Harcourt, Brace & World, New York, 1966).Google Scholar
23 Descartes, Principes de la philosophie, 1re partie, V, art. 28. — Pour Alphonse de Waëlhens (« Les droits de l'esprit et les exigences sociales: Vie intérieure et vie active », Rencontres Internationales de Genève, 1950, pp. 30–32) le dualisme cartésien « de la pensée et de 1'etendue » finit par donner comme conséquence que « la liberté de l'homme est sans poids sur le réel ».
24 Les Principes du Marxisme-Léninisme, ed. Kuusinen, et al. , Editions du Progrès, Moscou, 1963, p. 720.Google Scholar
25 Ibid.
26 Volkov, G., Man and the Challenge of Technology, Novosti Press Agency, Moscou, 1972, p. 211.Google Scholar
27 Burland, C. A., MacMillan, New York, 1968, p. 156: «The Golden Tractate of Hermes Trismegistus», The Art of the Alchemists.Google Scholar
28 Les citations de Bacon sont prises de l'édition de James Spedding et de Ellis, Robert L., The Works of Francis Bacon (Boston, 1863)Google Scholar. Pour cet autre texte de Bacon, The Wisedome of the Ancients, j'utilise la traduction de SirKnight, Arthur Georges, Da Capo Press, Amsterdam et New York, 1968Google Scholar. — VIII, Preface; The Great Instauration, p. 25; New Organon, livre 1, III, LXXXI, CXVI, CXVII, CXXIX; Livre 2, LII.
29 Spedding, Works of F. Bacon, VI, Interpretation of Nature, ch. 1, p. 32.
30 Ibid., p. 28.
31 Ibid., p. 34.
32 Ibid., p. 32.
33 Dubos, René, The Dreams of Reason, New York, 1961, p. 46.Google Scholar
34 Spedding, Works of F. Bacon, New Atlantis, p. 363.
35 Ibid., p. 398.
36 Ibid., p. 399.
37 Nos plus hauts édifices sont bien modestes compares aux tours de Bensalem; par exemple, le « World Trade Centre » à New York, 1727 pieds; et la tour du CN à Toronto — qui sera terminée cette année — sera le plus haut édifice du monde, à 1805 pieds de hauteur. Cf. Time, 11 juin, 1973, pp. 36, 37; Montreal Star, 20 oct., 1973.
38 Spedding, Works of F. Bacon, New Atlantis, p. 399.
39 Ibid.
40 Cf. Toulmin, Stephen, « Achievements … and Responsibilities », The Twentieth Century, A Promethean Age, éd. Bullock, A., Thames and Hudson, London, 1971, p. 285Google Scholar; Forbes, R. J., The Conquest of Nature, New American Library, New York, 1969, p. 64Google Scholar; Barrett, W., Irrational Man, Garden City, New York, 1962, p. 203.Google Scholar
41 « Je hais tous les dieux », Prométhée enchaîné, Eschyle, v. 975.
42 Spedding, Works of F. Bacon, New Atlantis, p. 398.
43 Wisedome of the Ancients, Knight, « Proteus », p. 69.
44 Spedding, I, Augmentis Scientiarum (II, ch. 2), pp. 496–7. Cf. P. M. Schuhl, « Perdita, la nature et l'art », Revue de Métaphysique et de Morale, oct. 1946, p. 335; Rossi, Paolo, Philosophy, Technology and the Arts in the Early Modern Era, Harper, New York, 1970, p. 138Google Scholar; Farrington, B., Francis Bacon, Collier, New York, 1961, p. 80.Google Scholar
45 Spedding, Works of Bacon, Novum Organum II, Aphorism XXXI, pp. 240–1.
46 Ibid.
47 Ibid., N.O. II, Aphorism V, pp. 171–172.
48 Spedding, Interpretation of Nature, p. 34.
49 Spedding, Novum Organum I, Aphorism LXXXVII, p. 121.
50 Spedding, Advancement of Learning, pp. 137–8.
51 Ibid.
52 Ibid.; Novum Organum I, Aphorism III, p. 67.
53 Novum Organum I, Aphorisms CXXIV et CXXIX, pp. 157, 163.
54 Spedding, Novum Organum, II, Aphorism VIII, p. 177.
55 Ibid., Great Installation, Preface, p. 37.
56 Ibid., Organum, I; Aphorisms LVII (pp. 85–6), LXII (pp. 90–1), LXIII (pp. 91–2), LXV (pp. 93–4), LXVII (p. 98), LXXI (pp. 102–3), LXXIII (pp. 104–5), LXXIX (pp. 110–11), XCVI (p. 132), CXVI (p. 147).
57 Ibid., Novum Organum II, Aphorism XXVI, p. 228.
58 Paul Valéry, Tel quel, II, 1943, p. 72.
59 Voir Harrington, Alan, The Immortalist, Avon, New York, 1970, I, ch. 2.Google Scholar
60 Paul Valéry, Tel quel II, p. 192.
61 Aristote, , Métaphysique, éd. Tricot, J., Vrin, Paris, 1953, A, 12, p. 286, 1019 b 12.Google Scholar
62 Ibid., p. 285, 1019 a 27.
63 Ibid.
64 Ibid.
65 Cf. A. Koyré, « Le Vide et l'espace infini au XIVe siècle », Archives d'histoire doctrinale et littéraire au moyen âge, 1949, p. 81; Michel, P.-H., La Cosmologie de G. Bruno, Hermann, Paris, 1962, ch. 6Google Scholar; H. Védrine, La Conception de la nature chez G. Bruno, IIe, ch. 1 et 5.
66 Cassirer, E., Individuum und Kosmos in der Philosophic des Renaissance, Leipzig, 1927, p. 197 et ss.CrossRefGoogle Scholar
67 Aristote, De Coelo, I, ch. 5–7; Physique, III, 206 b. — Cf. la critique de Bruno au De Immenso, I, 1, pp. 252–267, Opera, éd. F. Fiorentino, Band & Teil, Stuttgart, 1962.
68 G. Bruno, Opera, éd. Fiorentino, De Infinito, IV, p. 378.
69 Koyré, A., From the Closed World to the Infinite Universe, New York, Harper, 1958, p. 43.Google Scholar
70 Bruno, Opera, I, 1, De Immenso, p. 201: Intrepidus spacium immensum sic findere pennies Exorior, neque fama facit me impingere in orbes Quos falso statuit verus de principio error Ut sub conficto reprimamur carcere vere Tamquam adamanteis cludatur moenibus totum.
71 Bruno, Opera, I, 1, La Cena, p. 33: « Or ecco quello, ch'a varcato l'aria, pentrato il cielo, discorse le stelle, trapassati li margini del mundo, fatte svanir le fantastiche muraglia de le prime, ottave, decime et altre … sfere. »
72 Bruno, Opera, I, 2, p. 36, De Immenso.
73 Aristote, Métaphysique, θ, 8, 1050 b : « Les êtres êternels, en effet, sont antérieurs, selon la substance, aux êtres corruptibles. »
74 Bruno, Opera, I, 1, La Cena, p. 94; De Immenso, I, 2, p. 2, pp. 15–19. Pars ego sum stellae atque illustris lampadis, et quem Aethna premit nullus, siquidem est sine pondere tellus In membris comperta suis. Sic ergo solutus Liberque, atque hilaris non ullos cerno moventes ….
75 Védrine, H., La Conception de la nature chez G. Bruno, Paris, Vrin, 1967, p. 248.Google Scholar
76 de Bergerac, Cyrano, Histoire comique contenant les Etats et Empire de la Lune, Paris, 1656, Chez Charles le Sercy.Google Scholar
77 Védrine, op. cit., p. 248.
78 Ibid., p. 237.
79 Aristote, De Coelo, I, 3, 270 b8.
80 Bruno, , Dialoghi Italiani, éd. Gentile, G., Firenze, 1957, Eroici furori, p. 1135.Google Scholar
81 Ibid., p. 348.
82 Ibid.
83 Ibid.
84 Bruno, Opera, éd. Fiorentino, De Immenso, I, 2, p. 1–3.
85 Ibid.
86 Thiel, R., And there was Light, trad. Winston, R. de l'original Und es ward Licht (Hamburg, 1956)Google Scholar, Alfred A. Knopf, New York, 1957, réimp. New American Library, 1960, p. 11.
87 Ibid.
88 Ibid.
89 Adams, Henry, Le Mont-Saint-Michel et Chartres, Boston, Houghton Mifflin, 1904, 15th imp. 1925, p. 106.Google Scholar
90 Cassirer, E., An Essay on Man, New York, Garden City, 1954, p. 32.Google Scholar
91 Ibid., p. 33.
92 Ibid., p. 32.
93 Montaigne, , Apologie de Raymond Sebond, Paris, Gallimard, 1962, p. 47Google Scholar. — Ce passage de Montaigne me rappelle ces vers de Sénèque dans Médée (X, 3, 301–304; 318):
Audax nimium qui freta primus
rate tarn fragili perfida rupit
terrasque suas posterga videns
animan levibus credidit auris
.............................
Ausus Tiphys pandere vasto
carbasa ponto
Les vastes mers inspirent à Sénèque son effroi, comme à Montaigne, à Pascal, les espaces infinis, et généralement, tout espace dont nous ne pouvons prendre la mesure. C'est par témérité — Ausus Tiphys — que nous nous échappons, enlevant toute limite — « terminus omnis motus » (Médée, v. 369); on tentera alors de dompter cet infini dans lequel on s'est soi-meme lancé — « Nunc jam cessit pontus et omnes patitur leges » (Ibid., v. 364) — Je crois que Bruno a lui aussi tenté de surmonter cet infini en y introduisant cette multitude de mondes peuplés, civilisés; en s'identifiant conformément à la maxime de la « coincidentia oppositorum » à l'univers tout en tier. On se retrouve ainsi paradoxalement avec un univers infini mais mesuré, comparé à sa partie, enfin traversé et familier. C'est peut-être là en définitive la source de toutes ces joies héroiques; la réverbération de l'humaine raison dans l'infini du continu.
94 Montaigne, , Apologie de Raymond Sebond, Gallimard, p. 51.Google Scholar
95 Ibid., p. 52.
96 Ibid., p. 67.
97 Ibid., p. 52.
98 Pascal, , Oeuvres complètes, éd. Lafuma, , Seuil, 1963, p. 508 (68–205); p. 526 (199–72); p. 528 (201–206)Google Scholar. Alors que Montaigne se retranche bien solidement « à la maison », Pascal vit avec la terrifiante certitude des infinis et par conséquent n'est nulle part chez lui. II semble aussi qu'il a beaucoup de fascination pour ces infinis qui le terrifient.
99 Ibid., p. 550 (418–233).
100 Nietzsche, , trad. Vialatte, A., Le Gai Savoir, Gallimard, 1950, p. 170, n. 125.Google Scholar
101 Ibid., p. 169, n. 124.
102 Ibid., p. 170, n. 125.
103 Ibid. — Cet univers, vide de Dieu, qui terrifie, semble-t-il, Nietzsche, est au contraire quasi divinisé par l'inventeur de la machine pneumatique, Otto von Guericke (1602–86). Je cite le passage suivant traduit par Merin, P. dans son livre Conquest of the Skies (John Lane the Bodley Head, Londres, 1938): « The void embraces all things … It is nobler than the blood of kings, it is the like of Heaven … it is perfect and altogether rapturing. The void is filled with all wisdom. » (1672).Google Scholar
104 Ibid.
105 Ibid.
106 Henri Heine, Histoire de la religion et de la philosophie en Allemagne, Revue des Deux Mondes, 1833, fin de la IIe partie.
107 Chesterton, G. K., Orthodoxy, Fontana, 1961, p. 60 et ss.Google Scholar
108 Ibid.
109 Ibid.
110 Russell, B., A Free Man's Worship, réimp. in Mysticism and Logic, Doubleday, Garden City, New York, 1957.Google Scholar
111 Ibid.
112 Ibid.
113 (Cité in Le Quattrocento, Philippe Monnier, Paris, 1931Google Scholar). Marsilio Ficino, Theological platonica, Opera, p. 297 et 311–12.
114 Bruno, Emile Namer, Seghers, 1966, p. 171. (Spaccio, III, G., pp. 143–144.)
115 Ibid.
116 Ibid.
117 Goethe, Swiss Letters, cité dans Conquest of the Skies de Merin, P., John Lane the Bodley Head, Londres, 1938.Google Scholar
118 Pascal, Oeuvres complètes, Seghers, p. 526 (199–72).
119 Ibid., p. 527.
120 Rostand, J., L'Homme, Gallimard, Paris, 1962, p. 173.Google Scholar
121 Ibid.
122 IX, 15.
123 Pascal, Oeuvres complètes, Seghers, p. 528 (200–347 H. 3).
124 Aristote, Ethique à Nicomaque, X, 7, 1177 b 35 (trad. Tricot).
125 Aristote, De Anima, I, 5, 410 b 14.
126 Pascal, Oeuvres complètes Seghers, p. 527 (199–72 H).
127 Aristote, De partibus Animalium, IV, 10, 687 a 10.
128 Aristote, De Anima, III, 8, 432 a; De Part. An., IV, 10, 687 a 19.
129 Aristote, De Inc. An., XI, 710 b 5.
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139 Ibid., I, 545–578. Ce thème a été exploité également par les peintres, par exemple Francesco Colonna (1433–1527) dans son tableau « Songe de Polyphilus ».
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