In 1959, while it was struggling to modernise its economy and to tackle the internal north–south gap, Italy joined Western initiatives to increase the quality and quantity of assistance to developing countries. Politically, this was part of an effort to upgrade Italy's standing in the international arena and to develop a regional role in the Mediterranean. Economically, it could increase exports, but this had to be accommodated to a tight state bugdet and a small private capital market. Therefore in the Development Assistance Group/Development Assistance Committee Italy opposed both narrow definitions and automatic criteria for burden sharing. The 1962–63 structural crisis required a new policy and a limit to foreign aid commitments. Export credits remained the key instrument of Italy's development assistance, while ‘soft loans’ as requested by DAC resolutions were considered incompatible with Italy's capabilities and financial resources and had to be restricted to the multilateral level.

En 1959 l'Italie, qui s'efforçait encore de moderniser son économie et combler l'abîme qui séparait la misère du Midi de la prospérité du Nord, s'est quand même associée aux initiatives occidentales pour améliorer la qualité et la quantité de l'aide aux PVD. Du point de vue politique cela tenait de son effort pour rehausser son prestige dans la communauté internationale tout en se cherchant un rôle dans la région méditerranéenne. Du point de vue économique cette participation pouvait multiplier le volume des exportations, mais devait tenir compte des constrictions budgétaires et de la faiblesse du marché privé des capitaux. Par conséquent, au sein du CAD/CAG l'Italie s'opposait aux définitions étroites et aux critères automatiques pour la répartition du fardeau. La crise conjoncturelle en 1962–63 a requis un changement de politique visant un retranchement en matière d'aide étrangère. Les crédits à l'exportation étaient, comme auparavant, l'instrument principal de cette aide, l'Italie ayant décidé que les prêts à taux bonifié réclamés par le CAD étaient incompatibles avec les capacités et ressources financières du pays et devaient faire partie de l'aide multilatérale.

1959 schloss sich Italien wohlüberlegt westlichen Initiativen zur Verbesserung der Quantität und Qualität der Hilfen für Entwicklungsländer an, während es gleichzeitig bemüht war, die eigene Ökonomie zu modernisieren und seinen internen Nord–Süd-Gegensatz zu mildern. Politisch war dies Teil der Bemühungen Italiens, seinen Status in den internationalen Beziehungen zu verbessern und eine regionale Rolle im Mittelmeerraum zu entwickeln. Ökonomisch konnte diese Politik die Exporte stärken, hatte sich dabei aber an ein schmales Haushaltsbudget und einen kleinen privaten Kapitalmarkt anzupassen. Folglich opponierten die Italiener im DAG/DAC sowohl gegen enge Definitionen als auch gegen automatische Kriterien zur Lastenteilung. Die Konjunkturkrise in den Jahren 1962–63 erforderte eine neue Politik und begrenzte entwicklungspolitische Verpflichtungen. Exportkredite blieben das Schlüsselinstrument der italienischen Entwicklungshilfe, während die vom DAC geforderten ‘soft loans’ weiterhin als unvereinbar mit italienischen Kapazitäten und finanziellen Mitteln und als auf die multilaterale Ebene beschränkt angesehen wurden.