Published online by Cambridge University Press: 17 April 2008
2 Nicolas Boileau, Le Lutrin: a Mock-Heroic Poem in Six Cantos, trans. N. Rowe (London: E. Samger and E. Curll, 1708), 2.
3 Boileau's primary source was the clash between Claude Auvry, former bishop of Coutances and incoming treasurer of the Sainte-Chapelle in Paris, and the church's choirmaster: Les Œuvres de M. Boileau, ed. J.-B. Souchay (Paris: Didot, 1740), I, 325n.
4 See Michel Foucault, Discipline and Punish: The Birth of the Prison, trans. Alan Sheridan (New York: Vintage, 1977), 42–45 (quotation from 45).
5 Louis de Rouvroy, Duc de Saint-Simon, Mémoires: Vol. I (1691–1701), ed. Yves Coirault (Paris: Gallimard, 1983), 51–12.
6 Jean-François Solnon, La Cour de France (Paris: Fayard, 1987), 328–29.
7 Philip Mansel, Dressed to Rule: Royal and Court Costume from Louis XIV to Elizabeth II (New Haven, Conn.: Yale University Press, 2005), 2, 4.
8 For a history of the progress of the plague during the early modern period, see Edward A. Eckert, “The Retreat of Plague from Central Europe, 1640–1720: A Geomedical Approach,” Bulletin of the History of Medicine 74:1 (Spring 2000), 1–28 (particularly 11–14, which details the 1660s). A communal ceremony was particularly appropriate to denote the end of the contagion, since “one of the most shocking aspects of a plague outbreak [was] the rupture in normal religious activities”: Lawrence Brockliss and Colin Jones, The Medical World of Early Modern France (Oxford: Clarendon, 1997), 69.
9 Ferdinand Pouy, Histoire de François Faure, évêque d'Amiens (Amiens: Douillet, 1876), 59.
10 The origins of this patronage are somewhat obscure, though it appears he was allocated care of sufferers of the disease since the standard narration relates that he had the appearance of a hedgehog when he was pierced with arrows: “In stipite quasi hericius aculeis undequaque coopertus relinquitur,” André Du Saussay, Martyrologium Gallicanum (Paris: Cramoisy, 1637), I, 56.
11 Procez verbal d'une excommunication majeure fulminée par Reverend Pere en Dieu, Messire François Faure Evesque d'Amiens: Contre Monsieur le Clerc, Prestre, Docteur en Theologie de la Societé de Sorbonne, Doyen et Chanoine de l'Eglise Royale de Roye, pour n'avoir voulu quitter l'Estolle en sa presence (Paris: Bouillerot, 1670), 3.
12 Philippe Loupès, Chapitres et chanoines de Guyenne aux XVIIe et XVIIIe siècles (Paris: EHESS, 1985), 344.
13 “Iceluy Sieur Evesque auroit dit aussit-tost ces paroles, Monsieur le Doyen ostez vostre Estolle; Aquoy ledit Sieur Doyen auroit répondu avec grand respect et humilité; Monseigneur, je vous suplie tres-humblement (vous parlant pour moy, et pour mon Chapitre) de n'exiger pas cela de moy, attendu que je ne le peux, ny dois faire. . . . Sur quoy iceluy Sieur Evesque a dit, Quittez donc vostre Estolle, qui est une marque de Jurisdiction devant moy, qui suis vostre Superieur. A quoy ledit Sieur Doyen a repondu, qu'il n'avoit leu nulle part que l'Estolle fût une marque de Jurisdiction, mais bien le Caractere du Prestre en Office, comme il estoit là, Ce qui estoit marqué par les paroles de l'Evesque, qui faisant un Prestre, luy donne l'Estolle, et luy dit, Accipe jugum Domini,” Procez verbal, 3–4.
14 “Alors cet ornement qui paroist petit, devint le sujet d'une tres-grande affaire, et fut la marque visible d'une rebellion premeditée,” L'Estat de l'Eglise Collegiale de Saint Florent de Roie (Amiens?: [n.d.], 1669), 28. Faure penned some pro-Mazarin pamphlets during the Fronde and so certainly possessed the polemic skills to forward his case. See Joseph Bergin, The Making of the French Episcopacy, 1589–1661 (New Haven, Conn.: Yale University Press, 1996), 622.
15 The presence of several pre-invited legal witnesses to the ceremony appears to have surpassed a nominal or customary inclusion: “L'an mil six cens soixante-neuf, le Dimanche vingt-septième jour de Janvier, Nous Notaires Royaux à Roye, sous-signez; A la priere des Venerables Doyen, Chanoines et Chapitre de l'Eglise Royale de Roye, Nous sommes transportez en ladite Eglise, entre sept et huit heures du matin, a l'effet d'estre presens à tout ce qui s'y passeroit entre l'arrivée et la sortie de Monsieur l'Evesque d'Amiens, où estans, toutes choses se seroient faites et passées ainsi qu'il ensuit,” Procez verbal, 3.
16 Saint-Florent de Roye was founded in 1047 and had its own dean with twenty-two prebendary clergy. See Pierre Desportes and Hélène Millet, Fasti Ecclesiae Gallicanae: répertoire prosopographique des évêques, dignitaires et chanoines de France de 1200 à 1500 (Turnhout: Brepols, 1996–2004), I, 3.
17 Louis Trichet, Le Costume du clergé: ses origines et son évolution en France d'après les règlements de l'Église (Paris: Cerf, 1986), 46.
18 “L'Estole est aux Prestres, ce que le Pallium est aux Patriarches et Archevesques avec proportion … : de mesme l'Estole signifie le soin et la charge du Curé ou du Pasteur pour le peuple, qui est le joug auquel il est soûmis,” Gilbert Grimaud, La Liturgie sacrée; où toutes les Parties et Ceremonies de la Sainte Messe sont expliquées, avec leur Mysteres et Antiquitez (Lyon: Jullieron, 1666) part I, 38–9. For the first comprehensive study of the pallium to be published in France, see Nicolas de Bralion, Pallium archiepiscopale (Paris: Camusat, 1648).
19 An early term for the stole was orarium, and this could be applied both to a metropolitan's pallium or to a presbyter's stole, depending on the context. See Roger E. Reynolds, Clerics in the Early Middle Ages: Hierarchy and Image (Aldershot: Ashgate, 1999), 6–7. It is interesting that the tippet effectively replaced the stole among Anglican clergy in England during the same period, and the color and trimmings of this garment indicated differing levels of authority. More recently, Benedict XVI has reassumed the tradition of Roman pontiffs being draped with a crimson state stole, worn over a red silk mozzetta, to denote universal jurisdiction, a practice that had largely fallen into disuse under his predecessor.
20 Arrest du Parlement du treize Mars 1669. contre Reverend Pere en Dieu Messire François Faure Evesque d'Amiens, à l'occasion d'une pretenduë excommunication prononcée par luy le 27. Janvier dernier, contre Monsieur le Clerc, Prestre, Docteur en Theologie de la Societé de Sorbone, Doyen et Chanoine de l'Eglise Royale de Roye, pour n'avoir voulu quitter son Estolle en sa presence, estant fondé en exemples dans le Royaume, et en possession à son ègard confirmée par Arrests (Paris: [n. pub.], 1669), 1–2.
21 Procez verbal, 29.
22 Joseph Bergin, Crown, Church, and Episcopate under Louis XIV (New Haven, Conn.: Yale University Press, 2004), 103 and 137.
23 “[Une libelle] estimée de tout le monde injurieuse diffamatoire et scandaleuse,” Arrest du Parlement du treize Mars 1669, 2. Faure later quarrelled with the archbishop of Reims, Le Tellier, and addressed a long letter to the pope on this subject; see Correspondance du Nonce en France, Angelo Ranuzzi (1683–1689), ed. Bruno Neveu (Rome: École Française de Rome, 1973), II, 89, 100.
24 Albert N. Hamscher, The Parlement of Paris after the Fronde, 1653–1673 (Pittsburgh, Pa.: University of Pittsburgh Press, 1976), 150–1.
25 Jean de La Fontaine wrote a conte licentieux about the establishment of a Cordelier convent, indicating that the arrival of friars was sometimes viewed as an intrusive addition to the community. “Les Frères de Catalogne” was first published in 1666; see Contes et nouvelles érotiques, ed. J.-P. Morel (Paris: Séguier, 1995), 60–66.
26 Bergin, The Making of the French Episcopate, 521.
27 Arrêt du conseil privé qui décharge Adrien Behotte, grand archidiacre de la cathédrale de Rouen, de l'assignation à lui données au Parlement de Rouen (Paris: [n.d.], 1630), 2.
28 “By the late seventeenth century, publishing a legal brief, or factum, was a common way for litigants to assert pressure on courts and judges by placing their own self-justifying narrative of a legal conflict into public circulation”: Leslie Tuttle, “Factum or Fiction? Convent Scandal, Cloister, and Publicity in the Era of Louis XIV,” in The Cloister and the World: Early Modern Convent Voices, ed. Thomas M. Carr, Jr., EMF: Studies in Early Modern France 11 (Charlottesville, Va.: Rookwood, 2007), 130.
29 “Et La cour se souvient sans doute de ce celebre Jugement qu'elle rendit le trentiéme Decembre 1669. entre Mre François Faure, Evesque d'Amiens, et Me Faron le Clerc, Doyen de Roye,” Moyens de droit pour les Curez de l'Archidiaconé de Pinserais, Appellans comme d'abus, d'une Sentence renduë par l'Official de Chartres, le 15. Avril 1673. Contre Me Philippe le Maire, Archidiacre de Pinserais ([Paris]: [n. pub.], 1673), 2.
30 “Le Sieur le Maire, qui est pourveu de cét Archidiaconé, fit sa visite en l'année 1672. dans ces deux Paroisses; ledit Chevalier et le Sieur Arnoul, qui en sont Curez, le receurent à la porte de leur Eglise en la maniere accoustumée. mais ils luy firent presenter une Estole par leur Vicaire, et conserverent celle dont ils estoient revestus. L'Archidiacre pretendit que le Curé de la Paroisse où il faisoit sa Visite, ne devoit point porter l'Estole en sa presence, et qu'il estoit en possession de ce droit dans ces Eglises, et dans toutes les Eglises de son Archidiaconé; Neantmoins commes ces Curez persisterent dans leur dessein, et que ces contestations causoient du scandal, il se retira, après en avoir dressé son procez verbal. Il les a fait assigner à l'Officialité de Chartres,” Arrest du Parlement rendu à l'audiance de la Grand' Chambre le 31. Juillet 1674, sur les Conclusions de Mr l'Advocat General de la Moignon; Par lequel l'Archidiacre de Pinserais, en l'Eglise Cathedralle de Chartres, est maintenu dans la possession de porter seul l'Estole dans ses visites. Contre les Curez d'Orgeval et de Chambourcy, appellans comme d'abus d'une Sentence renduë par l'Official de Chartres, et autres Curez intervenans, ausquels il est fait deffense de porter l'Estole en presence dudit Archidiacre faisant sa Visite (Paris: Couterot, 1674), 4.
31 Arrests du Parlement de Roüen touchant l'Estolle. Pour les Curez de la ville de Roüen. Contre Maistre Adrian Behotte Chanoine et Archidiacre en l'Eglise Cathedrale dudit Roüen ([Rouen]: [n. pub.], 1626), 7. This is the decision that was overturned in 1630.
32 “Car d'alleguer que les Evesques permettent aux Curez de porter l'Estole en leur presence, c'est un foible moyen, les Evesques ont assez d'autres marques de superiorité, sans rechercher celle-là; Il n'en est pas ainsi de l'Archidiacre, qui ne porte aucun ornament dans sa Visite pour se distinguer des Curez, et des autres Prestres,” Moyens de droit, 10–11.
33 “Après avoir été, au Moyen Age, un concurrent redoutable pour l'évêque, l'archidiacre fut en quelque sorte remis dans le rang par le Concile de Trente consacrant un lent travail de reconquête du pouvoir par les ordinaires,” Robert Sauzet, Les Visites pastorales dans le diocèse de Chartres pendant la première moitié du XVIIe siècle (Rome: Edizioni de Storia e Letteratura, 1975), 45.
34 “Archdeacons, deans and other inferiors shall visit those churches in which they have thus far been accustomed legally to make visitations, but from now on with the consent of the bishop, personally and with the aid of a notary” (Session XXIV, chapter 3), and “Matrimonial and criminal causes shall not be left to the judgment of a dean, archdeacon or other inferiors, even in the course of their visitation, but shall be reserved to the examination and jurisdiction of the bishop only” (Session XXIV, chapter 20), Canons and Decrees of the Council of Trent, trans. H. J. Shroeder, Rockford 1978, 193, and 211 respectively.
35 “Le Visiteur change d'étole, va s'asseoir à l'entrée du Chœur sur une chaise qu'on a dû lui preparer, fait un discours au people, lui expose le sujet de la visite, et l'exhorte à en profiter. Puis il entend les plaintes qu'on a à lui faire, s'il y en a qui soient considerables, il doit entendre les témoins en particulier, prendra leur serment, faire signer à chacun sa deposition, dresser un proces verbal de toutes choses, qu'il nous mettra entre les mains, un mois après sa visite achevée,” Rituel de Verdun, renouvellé et augmenté par Monseigneur l'illustrissime et reverendissime messire Hyppolite de Bethune, evêque, comte de Verdun (Verdun: Fanart, 1691), 626–7 (emphasis in the original).
36 Henry Phillips notes that this campaign enjoyed some success, as “the procès-verbaux of diocesan visits seem to record that parishioners' complaints greatly diminished, especially in the last quarter of the century,” Church and Culture in Seventeenth-Century France (Cambridge: Cambridge University Press, 1997), 12.
37 Discouraging children under the age of one year old from sleeping with their mothers was a measure to prevent infant mortality. See Wietse de Boer, The Conquest of the Soul: Confession, Discipline, and Public Order in Counter-Reformation Milan (Leiden: Brill, 2001), 238.
38 Robin Briggs, Communities of Belief: Cultural and Social Tensions in Early Modern France (Oxford: Clarendon, 1989), 262.
39 De Boer, Conquest of the Soul, 185.
40 Charles Borromeo's guide to pastoral visitations was widely emulated as a model yet focused on parish activities such as confraternities rather than on the home life of families. See Henri Le Brun, Archidiaconus, sive de archidiaconorum dignitate et officiis, tractatus canonicus (Rouen: Lallemant, 1659), particularly 92–179.
41 John Bossy, “The Counter-Reformation and the People of Catholic Europe,” Past and Present 47 (May 1970): 68.
42 Bernard Hours, L'Église et la vie religieuse dans la France moderne, XVIe–XVIIe siècle (Paris: PUF, 2000), 275.
43 The Rituel de Verdun has the explicit instruction that the priest is “revétu de surplis sans étole” (624), whereas that for Alet simply details that the curé “luy presentera une étole blanche qu'il luy fera baiser, et la luy mettra ensuite au col,” Rituel romain du Pape Paul V à l'usage du diocese d'Alet (Paris: Savreux, 1667), Part II, 246–47. After losing his case over inferior clergy wearing the stole in his presence, Faure invents a new diocesan tradition for episcopal visitations: any clergy present will wear a surplice and cope, precluding the need for a stole: Rituel du Dioceze d'Amiens, Amiens 1687, 569.
44 The grand archidiaconé was the largest of the six archdeaconries of the Chartres diocese, comprising six deaneries; the Pinserais archdeaconry was composed of two. See Répertoire des visites pastorales de la France, ed. Gabriel Le Bras and others, Première Série (Paris: CNRS, 1979), II, 87.
45 See, for example, the precedent of synods and councils enumerated in Arrest du Parlement rendu à l'audiance de la Grand' Chambre le 31. Juillet 1674, 4–5, and expanded on in Jean-Baptiste Thiers, De Stola in Archdiaconorum Visitationibus gestanda à Parœcis, disceptatio (Paris: Du Puis, 1674), 260–275. Thiers also takes up Archdeacon Le Clerc's comments on the formula for presenting the stole at priestly ordination: see 372–75.
46 Jean-Baptiste Thiers, Histoire des Perruques où l'on fait voir Leur origine, leur forme, l'abus et l'irregularité de celles des Ecclesiastiques (Paris: Au dépens de l'auteur, 1690; Traité des superstitions qui regardent tous les Sacremens, 4 vols. (Paris: Dezallier, 1697–1704); Traitez des cloches et de la sainteté de l'offrande du pain et du vin aux messes des morts, non confondu avec le pain et le Vin qu'on offroit sur les Tombeaux (Paris: Nully, 1721).
47 “Ce sont d'ailleurs ses œuvres et ses attitudes intransigeantes en matière de liturgie, de préséance, de tenue générale des lieux du culte, qui lui attirèrent bien des ennuis et rendirent sa vie si agitée,” Marie-Claude Berge, “Prêtres et paroissiens au XVIIe siècle vus par Jean-Baptiste Thiers,” Annales de Bretagne et des Pays de l'Ouest 93:1 (1986): 37.
48 Jean-Baptiste Thiers, Traité des Superstitions: Croyances populaires et rationalité à l'Âge classique, ed. Jean-Marie Goulemot (Paris: Le Sycomore, 1984), 30.
49 Jean-Baptiste Thiers, Disceptatio de Stola in Archdiaconorum Visitationibus gestanda à Parœcis, disceptatio (Paris: Dezallier, 1679).
50 “Je ne suis point un Satyrique, parceque je n'ay jamais fait de Satyres, ny en prose, ny en vers, et je luy proteste que si j'avois en à en faire, ç'auroit esté particulierement contre les Archidiacres qui sont si interessez et si sordides que de faire emporter les Chappeaux des Curez, les Missels des Paroisses, quand on ne leur paye pas leurs droits de visite,” Factum pour M. Jean Baptiste Thiers, Curé de Champrond et Bachelier en Theologie de la Faculté de Paris, Deffendeur, contre le Chapitre de Chartres, Demandeur (Paris?: [n. pub.], 1679) 152. The treatise that precipitated the issue was Thiers's Dissertation sur les porches des Eglises, dans laquelle on fait voir les divers usages auquels ils sont destinez; Que sont les Lieux Saints et dignes de la veneration des Fideles; Et qu'il n'est pas permis d'y vendre aucunes marchandises, non pas mesme celles qui peuvent servir à la pieté (Orleans: Hotot, 1679).
51 “Cependant il y a quantité d'Archidiacres qui exigent ce droit, encore qu'ils ne visitent pas eux-mêmes en personne les Eglises de leurs Archidiaconez, mais seulement par Procureurs. Cela ne se pratique que trop souvent en certains Diocéses; les Evêques ne l'ignorent pas, les Curez sont ou assez-peu instruits de leurs devoirs, ou assez lâches pour le souffrir, et les Archidiacres n'en ont pas le moindre scrupule. Mais les Conciles le défendent si expressément, que les uns obligent ces Archidiacres avares à la restitution, les autres les declarent suspens de leurs functions, les autres enfin les frappent de l'excommunication,” Jean-Baptiste Thiers, Traité de la dépoüille des curez, dans lequel on fait voir: que selon les Canons des Conciles, les Libertez de l'Eglise Gallicane, les Ordonnances des Rois de France, les Arrests de Parlement, les Loix et les Coûtumes du Royaume, les Archidiacres n'ont nul droit sur les meubles des Curez decedez (Paris: Desprez, 1683), 31–2.
52 Répertoire des visites pastorales, II, 87.
53 “[La Cour] en consequence a maintenu et gardé ledit de la Motte comme Archidiacre de Josas en l'Eglise de Paris, au droit de prendre apres le le deceds des Curez de son Archidiaconé, tant de la Ville que de la Campagne, leurs meilleur Lict garny, Robbe ou Soutanne, Ceinture, Surplis, Aumusse, Breviaire, Bonnet quarré, Cheval ou Mulet, s'ils en ont, comme à luy appartenans par leurs decez, à cause de sa Charge et Diginité d'Archidiacre pour son droict de funerailles,” Arrest du Parlement de Paris rendu en faveur du sieur Abbé de la Motte, Archidiacre de Josas dans l'Eglise de Paris; contre quelques Curez de son Archidiaconé, tant pour le droict des funerailles, que pour celuy de sepultre (Paris: Pépingué, 1684), 8.
54 For a complete list of all works written by, or attributed to, Thiers, see Jean-Pierre Nicéron, Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres dans la république des lettres (Paris: [n. pub.], 1727–45), IV, 341–353.
55 “Il se mocque de vos menaces et de vôtre fierté, parce qu'il vit sans reproche, et qu'il fait sa charge avec honneur,” [Jean-Baptiste Thiers], La Sauce-Robert ou avis salutaires à Mre Jean Robert, grand archidiacre de Chartres (Paris?: [n. pub.], 1676), 4.
56 [Jean-Baptiste Thiers], La Sauce-Robert, ou avis salutaires à Mre Jean Robert grand archidiacre de Chartres. Seconde Partie (Paris?: [n. pub.], 1678). Thiers reveals that Robert was acquainted with the archdeacon of Josas, who would later win his action brought to confirm his right to appropriate deceased priests' belongings (5).
57 [Jean-Baptiste Thiers], La Sausse-Robert justifiée (Paris?: [n. pub.], 1679), 7–8.
58 In the preamble addressed to “Monsieur de Riantz, Procureur du Roy au Chastelet de Paris,” Thiers signals the inclusion of “une Lettre pleine d'érudition écrivit que M. Thiers en 1677,” 1–6 (5). The actual letter is dated 10 February 1677 (26).
59 Edmond Richer, De Ecclesiastica et politica potestate, liber unus (Paris: [n. pub.], 1611). For a history of the early stages of the theory, see Monique Cottret, “Edmond Richer (1539–1631): le politique et le sacré,” in L'État baroque: regards sur la pensée politique de la France du premier XVIIe siècle, ed. Henry Méchoulan (Paris: Vrin, 1985), 159–177. Seventy-two is the number mentioned in the Vulgate, though Greek texts mention seventy.
60 Dale K. Van Kley, The Religious Origins of the French Revolution: From Calvin to the Civil Constitution, 1560–1791 (New Haven, Conn.: Yale University Press, 1996), 68.
61 D. Catherine Brown, Pastor and Laity in the Theology of Jean Gerson (Cambridge: Cambridge University Press, 1987), 41.
62 Richard M. Golden, The Godly Rebellion: Parisian Curés and the Religious Fronde, 1652–1662 (Chapel Hill: University of North Carolina Press, 1981), 74.
63 See Arrest de la Cour de Parlement donné au profit de MM. Les Archidiacres (Le Mans: Olivier, 1654), and Factum pour M. Le Vayer Conseiller, Aumosnier ordinaire de la Reine, Doyen de l'Eglise Royale de saint Pierre, et Grand Archidiacre du Mans. Contre Messire Philbert Emanuel de Beaumanoir de Lavardin, Conseilleur du Roy en ses Conseils, Evesque du Mans (Le Mans?: [n. pub.], 1657). The first issue concerned the revenues of one of the archdeacon's charges, and the second dispute began in 1655 when Le Vayer summoned a diocesan assembly without the bishop's permission (2).
64 Répertoire des visites pastorales, III, 44.
65 “Chaque Evesque peut dans son Diocese tout ce que le Pape peut par toute la Terre, horsmis dans les choses qui sont specialement reserves au S. Siege,” [Jean-Baptiste Thiers], Consultation faite par un avocat du diocese de Saintes à son curé. sur la diminuation du nombre des festes Ordonnée dans ce Diocese, par Monseigneur l'evesque de Saintes (Paris: Du Puis, 1670), sig. ã2r.
66 Alison Forrestal, Fathers, Pastors and Kings: Visions of Episcopacy in Seventeenth-Century France (Manchester: Manchester University Press, 2004), 216.
67 Requéte Presentée à Mrs du Parlement de Toulouze, les Chambres assemblées; par Messire Pierre-Jean-François de Persin de Montgaillard Evêque de S. Pons. Contre Mr. D'Olargues Archidiacre de Saint Pons, et Conseilleur audit Parlement (Toulouse?: [n. pub.], 1684), 1. Thiers would later write a tract in support of three bishops in which he provides their respective pastoral letters on the subject, together with his defense of their decisions. See Dissertations ecclesiastiques sur le pouvoir des evesques, pour la diminuation ou augmentation des festes par Messeigneurs les Evesques de Saintes, de La Rochelle et de Perigueux (Paris: Dezallier, 1691).
68 Requéte Presentée à Mrs du Parlement, 7 and 15.
69 Jean-Baptiste Thiers, Traité de l'absolution de l'hérésie, Où l'on fait voir, par la tradition de l'Eglise, que le pouvoir d'absoudre de l'Hérésie est réservé au Pape et aux Evêques, à l'exclusion des Chapitres et des Reguliers, éxemts de la Jurisdiction des Ordinaires (Lyon: Plaignard, 1695); Critique de l'Histoire des flagellans, et justification de l'usage des disciplines volontaires (Paris: Nully, 1703).
70 Craig Harline and Eddy Put, A Bishop's Tale: Mathias Hovius Among His Flock in Seventeenth-Century Flanders (New Haven, Conn.: Yale University Press, 2000).
71 René Taveneaux, Le Catholicisme dans la France Classique, 1610–1715 (Paris: Société d'Édition d'Enseignement Supérieur, 1980), I, 45–46.
72 Abbé de Rancé appreciated Thiers's loyalty to him, despite his exasperation at the latter's excessive sentiments in his defense of Rancé's spirituality: Thiers's Apologie de M. l'Abé de la Trappe, contre les Lettres du Pere Denys de Sainte Marthe de la Congregation de S. Maur ([Grenoble]: [n. pub.], 1694). See Abbé de Rancé: Correspondance, ed. Alban John Krailsheimer (Paris: Cerf, 1993), IV, 297 and 425.
73 Jean-Baptiste Thiers, De la Plus solide, la plus necessaire, et souvent la plus negligée de toutes les devotions (Paris: Nully, 1702), II, 630.
74 Joseph Bergin, Cardinal de La Rochefoucauld: Leadership and Reform in the French Church (New Haven, Conn.: Yale University Press, 1987), 114.
75 Thiers, De Stola, 375–82.