Published online by Cambridge University Press: 01 June 2009
Leisure represents a positive way to keep relationships satisfactory between caregivers and a person with dementia. Adapted leisure education is a promising approach to assist the family to discover new ways to share good times with their relatives. This study aimed to develop an adapted leisure education program. It included an evaluation of the caregivers’ needs, the program content development, and a pilot study to experiment with the content of the program. Three focus groups of dementia caregivers (n = 19) were conducted to investigate caregivers needs. Based on content analysis of these focus groups and a literature review, the content of the program was developed. The pilot study (n = 4) included a quasi-experimental trial and an implementation evaluation. This study led to the development of an adapted leisure education program that puts caregiver support in a new perspective, focusing on positive aspects rather than the burden of caregiving.
Le loisir représente une façon positive de maintenir des relations satisfaisantes entre les aidants et leur proche atteint de démence. L’éducation au loisir adapté est une voie prometteuse favorisant le soutien des aidants dans la reconstruction d’un vécu satisfaisant avec leur proche. La présente étude vise le développement d’un programme d’éducation au loisir adapté. Elle comporte trois parties : étude des besoins, élaboration du contenu et validation du contenu. Trois groupes de discussion focalisée formés d’aidants (n = 19) d’un proche atteint de démence ont d’abord été organisés. Le contenu du programme qui a ensuite été développé s’est appuyé sur une évaluation des besoins et une recension des écrits. Enfin, la validation du programme comportait une étude préexpérimentale (n = 4) jumelée à une évaluation d’implantation. Cette étude a mené au développement d’un programme d’éducation au loisir adapté qui introduit le soutien aux aidants dans une nouvelle perspective centrée sur les aspects positifs du rôle d’aidant plutôt que sur le fardeau.
La présente étude a été financée par la Fondation de l’Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke (IUGS). Hélène Carbonneau est boursière des Instituts de recherche en santé du Canada – Institut du vieillissement et du programme FORMSAV du Réseau québécois de recherche sur le vieillissement. Chantal D. Caron est chercheuse-boursière junior 1 et Johanne Desrosiers est chercheuse-boursière nationale du Fonds de la recherche en santé. Merci au Centre de santé et de services sociaux – IUGS et à la Société Alzheimer de l’Estrie pour leur collaboration au recrutement des participants.
Affiche présentée à l’Association canadienne de gérontologie, Québec, octobre 2006