Published online by Cambridge University Press: 31 March 2010
The purpose of this study was to provide an empirical measure of bedroom personalization and a descriptive characterization of the types of items included in a personalized space. The study compared the extent of personalization in three types of bedrooms, varying as to their homelike quality (private-homelike, private-institutional, and ward-institutional). A measure of the relative degree of personalization was obtained by recording the number of personal items for each room and dividing the number of items per room by each room's available vertical and horizontal surface area. The degree of personalization was found to be significantly greater in private-homelike rooms than in private-institutional or ward-institutional rooms. This study provides the first demonstration that personalization of a resident's bedroom can be quantified and opens the way for studies of factors contributing to the effect (e.g., facility regulations, family, and staff attitudes) and empirical studies of presumed consequences (e.g., resident satisfaction and improved functioning).
Le but de cette étude était de fournir une mesure empirique de la personnalisation des chambres à coucher et une caractérisation descriptive des types d'éléments que l'on trouve dans un espace personnalisé. L'étude a comparé l'étendue de la personnalisation de trois types de chambres qui se distinguaient du point de vue de leur atmosphère familiale (pièce privée familiale; pièce privée institutionnelle et salle institutionnelle). Une mesure du degré relatif de personnalisation a été obtenue en consignant le nombre d'objets personnels dans chaque pièce et en divisant le nombre d'objets dans la pièce par la surface verticale et horizontale disponible dans la pièce. L'étude a révélé que le degré de personnalisation était sensiblement supérieur dans les pièces privées d'atmosphère familiale que dans les pièces privées institutionnelles et les salles institutionnelles. Cette étude est la première à démontrer que la personnalisation de la chambre d'un résident peut être quantifiée, et elle ouvre la voie à l'étude des facteurs qui contribuent aux effets (par exemple, les règlements des lieux, l'attitude de la famille et du personnel) ainsi qu'à des études empiriques sur les conséquences présumées (par exemple, la satisfaction des résidents et l'amélioration du fonctionnement).