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Long Term Exposure to Manganese in Rural Well Water Has No Neurological Effects
Published online by Cambridge University Press: 18 September 2015
Abstract
There is debate on the neurological impact of chronic exposure to Manganese (MN).
MN burden from rural well water was studied cross-sectionally in two proband cohorts from rural dwellings located in northern Germany. Both cohorts had exposure times for up to 40 years and were separated on the basis of well water MN content. Group A (41 subjects; mean age 57.5 years) was exposed to MN water contents of at least 0.300 mg/l (range 0.300 to 2.160), while group B (74 subjects; mean age 56.9 years) was exposed to concentrations of less than 0.050 mg/1. Both proband groups were homogenous with regard to age, sex, nutritional habits, and drug intake. Neurological assessments by clinical investigators blinded for proband’s exposure status was done using structured questionnaires, standardized neurological examination with assessment of possible Parkinsonian signs by the Columbia University Rating Scale, and instrumental tests of fine motor coordination.
No significant difference in any neurological measure was found between groups. Results were not confounded by demographic and dietary features.
Exposure to high body burden of MN does not result in detectable neurological impairment. Exposure to MN in drinking water does not seem to be a risk factor for idiopathic Parkinson’s disease.
Résumé
Les répercussions neurologiques d’une exposition chronique au manganèse (MN) demeurent une source de controverse.
Nous avons effectué une étude transversale de la charge en MN chez deux cohortes de sujets habitant la campagne dans le nord de l’Allemagne. Chez les individus des deux cohortes, le temps d’exposition pouvait atteindre 40 ans. Le groupe A (41 sujets; 57.5 ans d’âge moyen) avait été exposé à de l’eau dont la teneur en MN était d’au moins 0.300 mg/l (intervalle de 0.300 à 2.160), alors que le groupe B (74 sujets; 56.9 ans d’âge moyen) avait été exposé à des concentrations de moins de 0.050 mg/1. Les deux groupes de sujets étaient homogènes quant à l’âge, au sexe, aux habitudes alimentaires et à la prise de médicaments. Des investigateurs cliniques ignorant le niveau d’exposition des sujets ont effectué une évaluation neurologique au moyen d’un questionnaire structuré, d’un examen neurologique standardisé avec évaluation des signes parkinsoniens au moyen de l’échelle de l’université Columbia lorsque pertinent, ainsi que des épreuves de motricité fine.
Nous n’avons pas observé de différence significative pour quelque mesure que ce soit entre les deux groupes. Les résultat n’étaient pas influencés par des particularités démographiques ou alimentaires.
L’exposition à une charge corporelle élevée en MN ne provoque pas de déficit neurologique décelable. L’exposition au MN dans l’eau potable ne semble pas être un facteur de risque de la maladie de Parkinson.
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- Copyright © Canadian Neurological Sciences Federation 1995
References
REFERENCES
- 43
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