Infinitive phrases have a wide range of function within the matrix sentence. They can act as expansions of the verb, and as such they can be either marked or unmarked, either transitive or intransitive; they can replace nouns, and can therefore function as subjects, subjective complements, direct objects, objective complements (either marked or unmarked by to), as objects of prepositions, or appositives; they can function as modifiers of sentences, nouns, verbs, adjectives, and in a sense adverbs. But the outer structure of an infinitive phrase (i.e., its structure within the matrix sentence) is no more important than the inner structure, even though most of the traditional work done on infinitives has been done in reference to the outer structure. This article is therefore concerned with the outer structure only insofar as it relates to the inner structure. As it is concerned to a large extent with functional, rather than formal, relationships, the presentation is informal, since there is some disagreement among transformational linguists as to how functional relationships should be displayed.

Dans les parlers franco-canadiens du nord de l’Ontario, comme en français populaire ou dans certains français régionaux, on trouve une forme verbale progressive périphrastique qui se construit à l’aide de la particule après [apre] + infinitif. Elle correspond au français commun en train de ou à la forme progressive anglaise. Ainsi pourrait-on traduire “il est après chanter” par he is singing et elle est après faire la vaisselle par she is doing the dishes.

Nous nous Proposons d’étudier au cours de cet article deux des multiples problèmes posés par la racine indo-européenne *d(e/o)y. Nous envisagerons d’expliquer tout d’abord les formes anormales des accusatifs dyām, Zῆv et diem. Cet effort nous permettra peut-être d’éclairer l’évolution phonétique des diphtongues indo-européennes à premier élément long. La deuxième partie de cet article sera consacrée à dīvī, l’ancien génitif du mot deus. L’étude de cette forme est, en effet, susceptible selon nous de jeter une lumière intéressante sur la marque du génitif singulier des thématiques latins. Nous avons considéré dans l’un et l’autre cas que la racine *d(e/o)y était féconde pour donner des mots dans la langue liturgique qui résiste, comme on le sait, particulièrement bien aux tendances de normalisation d’une langue donnée. Aussi est-on en droit de considérer la plupart des dérivés de cette racine comme un champ d’expérience privilégié pour le linguiste et pour le philologue.

Modern colloquial Japanese exhibits within its grammatical system several types of imperative constructions which, on the surface, seem quite diverse. Examples of some imperatives are

All of these imperatives may be glossed as “close the window,” with various differences in style noted in parentheses. In each of the constructions above, both ‘window’ and o, the direct object marker, remain unchanged, while the shape of the verb ‘close’ as well as the presence of other morphemes such as ‘give’, ‘do’, and i, ro, imperative shapes, change considerably. The negative imperatives are equally diverse. Each of the following examples may be glossed as “do not close the window”: