Hostname: page-component-cd9895bd7-gxg78 Total loading time: 0 Render date: 2024-12-27T05:15:07.320Z Has data issue: false hasContentIssue false

La Surcomposition dans le verbe français

Published online by Cambridge University Press:  27 June 2016

Extract

Si la linguistique, en tant que discipline scientifique, évacue la vieille tentation de l’anomalisme, elle doit parfois, comme dans le cas de l’étude de la morphologie des temps, reconstruire une régularité parodoxale, une régularité remettant en cause 1’ ‘évidence.’ C’est bien le geste qu’effectue E. Benveniste dans un article justement célèbre, “Les relations de temps dans le verbe français” (1966). La régularité ‘évidente’ était la symétrie des formes simples et des formes composées, qui dans tout manuel scolaire se présentent comme suit:

Type
Remarks/Remarques
Copyright
Copyright © Canadian Linguistic Association 1982

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

Benveniste, E. (1966) “Les relations de temps dans le verbe français” dans Problimes de linguistique générale . Paris: Gallimard. [Publié d’abord dans le BSL, 1959.]Google Scholar
Brunot, F. et Bruneau, C. (1969) Précis de grammaire historique de la langue française. Paris: Masson (rééd.).Google Scholar
Genette, F. (1966) “Frontières du récit.” Communications 8.Google Scholar
Grévisse, M. (1975) Le bon usage (10e éd.). Gembloux: Duclos.Google Scholar
Giraud, P. (1965) Le français populaire. Paris: PUF.Google Scholar
Kuroda, S. Y. (1979) “Grammaire et récit” dans Aux quatres coins de la linguistique , trad. Braconnier, C., Sampy, J.. Paris: Gallimard.Google Scholar
Simonin-Grunbach, J. (1975) “Pour une typologie des discours” dans Langue, discours, société, Pour E. Benveniste , réds. Kristeva, J., Milner, J.-C., Ruwet, N.. Paris: Seuil.Google Scholar