No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 07 November 2014
1 Selon la liste donnée par M. Damalas, Simiand qui n'était pas un des écrivains les plus prolifiques, n'en a pas moins publié 20 ouvrages et études; et, pour bien connaitre sa pensée, ne faudrait-il pas étudier au surplus les “études sur l'oeuvre de François Simiand” dont M. Damalas énumère également une vingtaine, à part plusieurs contributions et comptes-rendus publiés dans l'Année Sociologique.
2 Il ne faudrait pas oublier le rôle que François Simiand a joué dans la politique sociale française, d'abord comme chef de cabinet d'Albert Thomas, ensuite comme Haut Commissaire aux assurances sociales dans les provinces retrouvées.
3 Rist, Charles, Revue d'Economie politique, 1936, p. 241 Google Scholar ss, rappelle fort bien que François Simiand a conçu le plan de travail “qui est devenu celui de sa vie” au moment même où toute une série d'écoles nouvelles sollicitait l'adhésion des “économistes voulant être à la page”: Ecole mathématique de Walras et Pareto, Ecole autrichienne de l'utilité marginale, Ecole historique, etc. Mais, remarque Charles Rist, “Simiand ne s'est laissé séduire par aucune de ces conceptions. Elève de Lévy-Bruhl et de Durkheim … il voyait dans les faits économiques des faits avant tout sociaux. …”