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Virus loads in Douglas-fir tussock moth larvae infected with the Orgyia pseudotsugata nucleopolyhedrovirus
Published online by Cambridge University Press: 02 April 2012
Abstract
We studied Orgyia pseudotsugata multiple nucleopolyhedrovirus (OpMNPV) infections in larvae of the Douglas-fir tussock moth, Orgyia pseudotsugata McDunnough (Lepidoptera: Lymantriidae), to determine the quantity of OpMNPV particles that result in mortality. We observed a bimodal pattern of mortality in Douglas-fir tussock moth larvae that ingested diet plugs contaminated with 9.5 OpMNPV occlusion bodies. A mortality peak (80% of total mortality observed) occurred between day 5 and day 11 post ingestion, and a second, smaller mortality peak coincided with the onset of pupation. Virus loads, defined as the number of OpMNPV occlusion bodies in each sample of tested larval homogenate, were quantified using an indirect ELISA method. Virus loads that resulted in mortality were significantly greater than those quantified in larvae that were sacrificed during and after the peak mortality wave (P < 0.004 and P < 0.0001, Mann–Whitney U two-tailed rank test and SPSS®, respectively). This is the first known attempt to differentiate the quantity of virus produced during lethal infections from the virus loads in larvae that survive infection.
Résumé
Nous avons étudié les infections au nucléopolyhédrovirus à capsides multiples d’Orgyia pseudotsugata (OpMNPV) chez des chenilles à houppes du Douglas, Orgyia pseudotsugata McDunnough (Lepidoptera: Lymantriidae), pour déterminer le nombre de particules d’OpMNPV nécessaires pour provoquer la mort. Il y a un patron bimodal de mortalité chez les chenilles de houppes du Douglas qui ingèrent des pastilles alimentaires contaminées avec 9,5 corps d’occlusion d’OpMNPV. Il se produit un pic de mortalité (80 % de la mortalité observée) entre les jours 5 et 11 après l’ingestion et un second pic plus petit qui coïncide avec le début de la nymphose. Les charges virales, définies comme le nombre de corps d’occlusion d’OPMNPV par échantillon d’homogénat de larves évalué, ont pu être quantifiées à l’aide d’une méthode ELISA indirecte. Les charges virales qui causent la mort sont significativement plus grandes que les charges virales mesurées chez des larves qui ont été sacrifiées durant et après la vague de mortalité maximale (P < 0,004 et P < 0,0001, test bilatéral de classement de U de Mann–Whitney et SPSS®, respectivement). Il s’agit de la première tentative connue pour différencier les quantités de virus produites durant les infections létales des charges virales présentes chez les chenilles qui survivent à l’infection.
[Traduit par la Rédaction]
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- Articles
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References
- 2
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