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THE RELATIONSHIP OF EMBRYO COUNTS AND SUCTION TRAP CATCHES TO POPULATIONS DYNAMICS OF MACROSIPHUM EUPHORBIAE (HOMOPTERA: APHIDIDAE) ON TOMATOES IN ONTARIO
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The number of large embryos in adult Macrosiphum euphorbiae (Thomas) was investigated in 1974–77 as a means of forecasting population trends on field tomatoes. In an incubator the embryo count (e) of apterae and alatae was related to the daily birthrate (N) by the equation N = 0.45 e + 0.33, except in the first 4 days of adult life of the apterae. On field plots of tomatoes, e was only satisfactory for forecasting population trends in 1 of 4 years of observations. This probably occurred because the adults were mainly apterae. The relationship between flights of alatae and populations on tomatoes appeared to differ from year to year. In 1974 the number of alatae in large populations in tomato plots was more closely related to the number of alatae trapped in flight with a suction trap in the week after than in the week before the tomatoes were sampled, suggesting many alatae were leaving the tomatoes. In 1975–77, populations on tomatoes were low and the number of alatae on the plots was more closely related to suction trap catches in the week before than in the week after the counts on tomatoes, suggesting many of the alatae on the plots had recently arrived there. The percentage of alatae among adults on field tomatoes declined with days from planting each year. Red forms always constituted ≥ 50% of populations on tomatoes and in flights, the rest being green.
Résumé
De 1974 à 1977, on a étudié le nombre de gros embryons du puceron de la pomme de terre, Macrosiphum euphorbiae (Thomas), comme moyen de prédire la croissance de la population sur les tomates de plein champ. Dans un incubateur, la numération des embryons (e) des formes aptère et ailée est reliée au taux de naissance quotidien (N) par l’équation N = 0,45 e + 0,33, sauf dans les quatre premiers jours de la vie adulte des aptères. Sur parcelles d’essais de tomates, e n’est que satisfaisante pour prédire les tendances de la population dans une des quatre années d’observation, ce qui est probablement attribuable au fait que les adultes sont principalement des formes aptères. Le rapport entre les vols des formes ailées et les populations de pucerons sur les tomates semble différer d’une année à l’autre. En 1974, le nombre de formes ailées dans les fortes populations en parcelles était plus étroitement corrélé au nombre de formes ailées capturées en vol par un piège à succion durant la semaine suivant plutôt que précédant l’échantillonnage des tomates, ce qui donne à penser que plusieurs formes ailées quittaient les parcelles de tomates. De 1975 à 1977, la densité de population a été faible et le nombre de formes ailées dans les parcelles était plus étroitement corrélé aux captures effectuées durant la semaine précédant qui sivant l’échantillonnage, ce qui laisse supposer que bon nombre des formes ailées étaient fraîchement arrivées sur les parcelles. Le pourcentage de formes ailées parmi les adultes sur tomates de plein champ diminue avec le nombre de jours après le semis, et ce, chaque année. Les formes rouges ont toujours constitué 50% ou plus des populations sur tomates et en vol, le reste représentant des formes vertes.
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1981
References
- 6
- Cited by