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RELATING FEEDING RATES TO SEX AND SIZE IN SIX SPECIES OF GRASSHOPPERS (ORTHOPTERA: ACRIDIDAE)1
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Nymphs and adults of both sexes of six species of grasshoppers, Camnula pellucida, Dissosteira carolina, Melanoplus infantilis, M. sanguinipes, M. packardii and M. bivittatus, were fed wheat seedlings to determine daily feeding rates. The relationships between the feeding rates and five indices of body size were checked with five types of equations — power, parabolic, exponential, linear, and logarithmic. For combined data for all species, the power equation (y = axb) produced the best correlations with the feeding rate being proportional to the 1.56 power of pronotum length, 1.87 of femur length, 1.94 of body length, 0.72 of live weight, and 0.66 of dry weight. The power equation underestimated nymphal feeding and overestimated adult feeding. Better correlations were obtained when separate power equations were used for nymphs and adults. While the b parameters for the nymph equations did not differ significantly from those for the adult equations, the a parameters for nymphs were much larger, reflecting that nymphs ate more relative to their size than adults. For individual species, the parabolic equation (y = a + bx + cx2) was as good or sometimes better than the power equation. Generally, ranking the indices of body size by their coefficients of determination (r2 values) produced the following hierarchy: pronotum length (best), femur length, live weight, dry weight, and body length (worst). However, as the differences between the best and worst indices were minor (usually less than 10%) and as live weight and body length are easy to determine, we recommend the use of either of these two indices for estimating feeding rates.
Résumé
On a déterminé le taux d'alimentation des nymphes et des imagos des deux sexes de six espèces de sauterelles (Camnula pellucida, Dissosteira carolina, Melanoplus infantilis, M. sanguinipes, M. packardii et M. bivittatus) nourris de pousses de blé. On a ensuite vérifié la relation entre le taux d'alimentation et cinq indices de la taille corporelle au moyen de cinq fonctions : puissance, parabolique, exponentielle, linéaire et logarithmique. La fonction puissance (y = axb) donne la meilleur corrélation pour les données de toutes les espèces, le taux d'alimentation étant proportionnel à la longueur du pronotum à la puissance 1.56, à la longueur du fémur à la puissance 1.87, à la longueur du corps à la puissance 1.94, au poids vif à la puissance 0.72 et au poids sec à la puissance 0.66. Cette equation sousestime le taux d'alimentation des nymphes et surestime celui de l'insecte adulte. Ainsi, on obtient de meilleures corrélations en utilisant des équations distinctes pour ces deux stades. Si le paramètre b est pratiquement identique dans les deux équations, le paramètre a est beaucoup plus grand dans celle des nymphes, ces dernières mangeant plus en fonction de leur taille que l'adulte. Chaque espèce prise individuellement, la fonction parabolique (y = a + bx + cx2) donne d'aussi bons, sinon meilleurs résultats que la fonction puissance. En règle générale, le classement des indices de taille selon le coefficient de détermination (valeur r2) est le suivant : longueur du pronotum (meilleur), longueur du fémur, poids vif, poids sec et longueur du corps (pire). Toutefois, puisque la différence entre les deux extrêmes est relativement faible (habituellement moins de 10%), et puisque le poids vif et la taille du corps sont les plus faciles à déterminer, on recommande l'emploi de ces deux indices pour évaluer le taux d'alimentation.
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1984
References
- 6
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