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POTENTIAL OF MATING DISRUPTION USING SEX PHEROMONE FOR CONTROLLING THE GRAPE BERRY MOTH, ENDOPIZA VITEANA (CLEMENS) (LEPIDOPTERA: TORTRICIDAE), IN NIAGARA PENINSULA, ONTARIO VINEYARDS
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The efficacy of mating disruption for controlling the grape berry moth, Endopiza viteana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae), was evaluated from 1987 to 1989 in the Niagara peninsula, Ont. Mating disruption was tested in commercial vineyards with high-, moderate-, and low-density grape berry moth populations using the Biocontrol Ltd. tape-type and wire-type pheromone dispensers. Pheromone-baited trap catches were reduced by 92% or more in plots treated with pheromone. Treatment with pheromone significantly reduced damage (percentage infested clusters) compared with an untreated control in each of two tests, and provided control as good as or better than an insecticide control programme in two of four tests. Damage increased from 1.3- to 12.8-fold between successive generations in plots treated with pheromone, and was greater on the borders of some plots treated with pheromone or insecticide. It is concluded that mating disruption may have potential as a control method for use in the integrated management of E. viteana.
Résumé
L’efficacité de l’interruption d’accouplement dans la lutte contre la tordeuse de la vigne, Endopiza viteana (Clemens) (Lepidoptera : Tortricidae), a été évaluée de 1987 à 1989 dans la péninsule de Niagara, Ontario. L’interruption d’accouplement a été étudiée aux vignobles commerciales, ayant des populations de haute de moyenne et de base densité de la tordeuse de la vigne, en utilisant des distributeurs de phéromones du genre ruban ou fil. Les prises dans les pièges ayant des appâts de phéromones ont été réduites de 92% ou plus aux parcelles traitées de phéromone. Le traitement avec la phéromone a réduit significativement le dommage (le pourcentage de grappes infestées) à comparer à celui des vignes non-traitées dans chacune de deux épreuves, et a donné une protection aussi bonne ou meilleure que le programme de la lutte avec les insecticides en deux sur quatre épreuves. Le dommage s’est accru de 1,3 à 12,8 fois entre les générations successives dans les parcelles traitées de la phéromone, et a augmenté davantage aux bords de quelques lots traités de la phéromone ou de l’insecticide. On prétend que l’interruption d’accouplement pourrait avoir une fonction potentielle comme méthode à utiliser dans l’aménagement intégré de E. viteana.
[Traduit par la rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1991
References
- 18
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