Article contents
POTENTIAL OF FOUR SPECIES OF PREDATORY MITES AS BIOLOGICALCONTROL AGENTS OF THE TOMATO RUSSET MITE, ACULOPS LYCOPERSICI (MASSEE) (ERIOPHYIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Predation experiments were conducted to identify a predator with the capacity to control the tomato russet mite, Aculops lycopersici (Massee) (Eriophyidae), in greenhouse tomato crops. The efficiency of four predatory mites species was evaluated at the individual level in the laboratory: the tydeid Homeopronematus anconai (Baker) and the phytoseiids Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, Amblyseius cucumeris Oudemans, and A. fallacis Garman. The first three species had already been suggested as potential control agents. Predation by P. persimilis was essentially zero on tomato russet mite, whereas H. homeopronematus failed to develop to the adult stage when fed solely with this prey. Amblyseius cucumeris developed successfully on tomato russet mite but failed to reproduce. Only A. fallacis appears to possess several of the biological attributes required to control the tomato russet mite. This species attacks all stages of the pest and displays excellent survival (.92%), adequate rate of development (6.3 days at 22 °C), and good reproductive capacity in the presence of A. lycopersici.
Résumé
Des expériences sur la prédation ont permis d’identifier un prédateur efficace de l’ériophyide de la tomate, Aculops lycopersici (Massee) (Eriophyidae), dans les cultures de tomates en serre. L’efficacité de quatre espèces prédatrices d’acariens a été évaluée en laboratoire sur une base individuelle : le tydéide Homeopronematus anconai (Baker) et les phytoséiides Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, Amblyseius cucumeris Oudemans, et A. fallacis Garman. Les trois premières espèces ont déjà été suggérées comme agents possibles de lutte. La prédation exercée par P. persimilis sur A. lycopersici s’est avérée à peu près nulle, et H. homeopronematus ne réussissait pas à atteindre le stade adulte en se nourrissant exclusivement de cette proie. Amblyseius cucumeris se développait normalement en consommant l’ériophyide, mais ne parvenait pas à se reproduire. Seulement A. fallacis semble posséder toutes les propriétés nécessaires à la lutte contre l’ériophyide de la tomate : cette espèce s’attaque à tous les stades de l’espèce cible, a un excellent taux de survie (.92%), un taux convenable de développement (6,3 jours à 22 °C) et une capacité de reproduction adéquate en présence d’A. lycopersici.
[Traduit par la Rédaction]
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1997
References
- 29
- Cited by