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PERSISTENCE AND DISPERSAL OF THE NUCLEAR POLYHEDROSIS VIRUS OF NEODIPRION SERTIFER (GEOFFROY) (HYMENOPTERA: DIPRIONIDAE) IN A VIRUS-FREE LODGEPOLE PINE PLANTATION IN SWEDEN
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
An outbreak of Neodiprion sertifer (Geoffroy) was studied in a lodgepole pine plantation. It was the first tree generation on a 60-ha peatland area. The nuclear polyhedrosis virus (NPV) of N. sertifer was not found in the larval population or in the soil. Within a 1.7-ha experimental plot, a 0.35-ha block was treated with NPV and the ensuing epizootic was studied during three successive summers. The treatment caused 50% mortality of fourth- and fifth-instar larvae. The NPV persisted in the treated block and gradually dispersed into the adjacent blocks. After 2 years, larval mortality was 78% in the treated block and 21% at a distance of 110–125 m from it. The larval population remained at a high level and the outbreak expanded from the experimental plot to the entire 60-ha area in the years following the virus treatment, but few virus-diseased colonies were observed outside the experimental plot. Thus, the capability of this NPV to persist and spread was not sufficient to control and contain the sawfly outbreak.
Résumé
On a étudié une épidémie du Neodiprion sertifer (Geoffroy) dans une plantation du pin lodgepole. Il s’agissait de la première génération d’arbres sur une surface de 60 ha de tourbière. Le virus de la polyhédrose nucléaire (NPV) de N. sertifer n’a pas été détecté dans la population de larves ou dans le sol. Dans une parcelle experimentale de 1,7 ha, un bloc de 0,35 ha a été traité au NPV et l’épizootie provoquée a été suivie pendant trois étés consécutifs. Le traitement a causé 50% de mortalité chez les larves des quatrième et cinquième stades. Le NPV a persisté dans le bloc et s’est dispersé dans les blocs adjacents. Après 2 ans, la mortalité larvaire était de 78% dans le bloc traité et de 21% à une distance de 110–115 m de celui-ci. La population larvaire est restée élevée et l’épidémie s’est répandue pour couvrir les 60 ha dans les années qui sont suivi le traitement viral, mais peu de colonies malades du virus ont été observées en dehors de la parcelle expérimentale. Ainsi, la capacité du NPV de persister et de s’étendre a été insuffisante pour contrôler et contenir l’épidémie de la mouche-à-scie.
- Type
- Articles
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- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1988
References
- 6
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