Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
A phenology model for jack pine budworm, Choristoneura pinus pinus Freeman, is presented. Linear and nonlinear relationships between temperature and the development of overwintering larvae, instars 2–7, and pupae are determined, as is variation in the development of each instar. The model uses as input daily maximum and minimum temperatures corrected for the effects of bark and bud microclimate and simulates the number of insects in each instar on a given calendar date. Variation in development of all stages is included. Simulations matched observed data well for north-central and northwestern Ontario in 1986, but overestimated time of development for northwestern Ontario in 1987. Simulations under low, medium, and high temperature conditions revealed that a nonlinear equation for rate of development was necessary for simulating emergence whereas linear rate equations were adequate for simulating development of the feeding instars. The combined effect of bud and bark microclimate on model performance was equal to that which resulted from the use of nonlinear developmental equations.
On a élaboré un modèle phénologique de la tordeuse du pin gris, Choristoneura pinus pinus Freeman. On a déterminé les relations linéaires et non-linéaires entre la température et le développement des larves hivernantes, pour les stades 2–7 et les pupes, de même que la variation associée au développement de chaque stade. Le modèle utilise les températues journalières maximum et minimum après correction pour l’effet du microclimat de l’écorce et des bourgeons, et simule le nombre d’insectes de chaque stade à une date donnée. La variation du développement est incluse pour chaque stade. Les simulations correspondaient bien aux observations pour le centre-nord et le nord-ouest ontarien en 1986, mais elles ont surestimé la durée du développement pour le nord-ouest en 1987. Des simulations en conditions de température froide, moyenne et élevée ont démontré la nécessité d’une équation non-linéaire pour décrire l’émergence, alors que des équations linéaires suffisaient pour simuler le développement des stades qui s’alimentent. L’effet combiné du microclimat de l’écorce et des bourgeons sur l’efficacité du modèle était égal à celui résultant de l’utilisation d’équations non-linéaires de développement.