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From parasitoid behavior to biological control: applied behavioral ecology
Published online by Cambridge University Press: 02 April 2012
Abstract
A hypothetical parasitoid mass rearing facility is used to unite principles from behavioral ecology and biological control. The key to the problem is variation in the tendency of solitary parasitoids to superparasitize. Superparasitism affects individual and population parasitoid productivity, though not necessarily to the same degree. Herein, the interest is in determining conditions that will maximize parasitoid population productivity when superparasitism varies. To accomplish this, a combination of graphical marginal analysis (to provide an economic context), dynamic optimization models (to determine individual parasitoid superparasitism tendency), and functional response models (to determine parasitoid population productivity) has been used. Marginal analysis shows that marginal returns decrease with an increase in the number of parasitoids released but that the slope of the marginal returns curve depends upon the sensitivity of superparasitism to environmental conditions. In addition, results show that parasitoid responses can be highly nonlinear and, as such, can greatly affect optimal numbers of parasitoids released in a nonintuitive manner. This behavioral ecology approach greatly increases efficiency and predictability of parasitoid production.
Résumé
L'exemple d'une installation hypothétique d'élevage en masse de parasitoïdes me permet de relier les principes de l'écologie comportementale à ceux du contrôle biologique. Le facteur clé du problème est la variation de la tendance des parasitoïdes solitaires à pratiquer l'hyperparasitisme qui affecte la productivité des parasitoïdes, tant à l'échelle de l'individu que de la population, bien que pas nécessairement à la même intensité. L'objectif de l'étude est de déterminer les conditions qui permettent une productivité maximale des parasitoïdes à l'échelle de la population lorsque l'hyperparasitisme est variable; les méthodes consistent en une combinaison d'analyses graphiques des marges (qui fournissent un contexte économique), de modèles dynamiques d'optimization (qui mesurent les tendances individuelles à l'hyperparasitisme) et de modèles de réponses fonctionnelles (qui déterminent la productivité des populations de parasitoïdes). L'analyse des marges indique que les marges de profit déclinent en fonction de l'augmentation du nombre de parasitoïdes libérés, mais que la pente de la courbe des marges de profit dépend de la relation entre l'hyperparasitisme et les conditions du milieu. De plus, les résultats montrent que la réponse des parasitoïdes peut être fortement non linéaire et ainsi qu'elle affecte le nombre optimal de parasitoïdes à libérer d'une manière qui ne correspond pas à ce qu'on imagine spontanément. Cette approche basée sur l'écologie comportementale augmente considérablement l'efficacité et le caractère prédictif de la production des parasitoïdes.
[Traduit par la Rédaction]
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- Articles
- Information
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- Copyright © Entomological Society of Canada 2004
References
- 6
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