Data from 87 trees within 21 natural infestations were used to estimate the population size of the southern pine beetle (Dendroctonus flontalis Zimmermann) under collapsing high-level conditions in North Carolina. Spots of K trees (1<K<12) were created by random selection without replacement from the initial pool. Samples of m trees (1<m<K) were then chosen from each simulated spot according to random and selective plans. These samples over m trees were then extrapolated to the full K tree spot by 1 of 3 scaling factors: percentage of trees sampled, percentage of diameter sampled, or percentage of phloem area sampled. In this manner the total numbers of parent adults, brood, and brood adults were estimated for each artificial spot. Proportional errors, defined as (observed value – expected value)/(observed value), were computed over 10 000 independent trials for a variety of sample sizes, spot sizes, and scaling factors. The precision of these errors, after a bias correction was applied, was used to compare the different schemes. Random-diameter and largest-diameter schemes were judged best because of their good precisions and ease of application. However, when these results were applied to the 21 natural infestations, the confidence intervals were found to be too narrow to include the expected number of estimates. A discussion of this shortcoming is discussed in relation to spot dynamics and its effect on the application of this sampling technique.

On a utilisé des données provenant de 87 arbres choisis dans 21 infestations naturelles afin de mesurer les populations du dendroctone méridional du pin (Dendroctonus frontalis Zimmermann) dans des conditions de surabondance décroissante. On a créé des parcelles de K arbres (1<K<12) par sélection aléatoire sans remplacement à partir du lot initial. On a ensuite choisi des échantillons de m arbres (1<m<K) dans chacune des parcelles simulées selon des plans aléatoires et sélectifs. On a alors extrapolé ces échantillons de m arbres à l'ensemble des K arbres de la parcelle en utilisant 3 différents facteurs de proportionnalité : pourcentage des arbres échantillonnés, pourcentage du diamètre échantillonné, et pourcentage de la surface du phloème échantillonnée. On a ainsi estimé le nombre total de parents adultes et de couvées, ainsi que le nombre d'adultes issus du couvain, pour chaque parcelle artificielle. On a calculé l'erreur proportionnelle qu'on a définie comme étant (valeur observée — valeur attendue)/(valeur observée), pour plus de 10 000 essais indépendants, pour une variété de tailles d'échantillon, de tailles de parcelle et de facteurs de proportionnalité. On a utilisé la grandeur de cette erreur, après avoir appliqué une correction pour le biais, afin de comparer les différents protocoles. On a jugé que les protocoles les meilleurs étaient ceux basés sur le diamètre aléatoire ou le diamètre maximum, d'après la précision des estimés et la facilité d'application. Cependant lorsqu'on a appliqué ces résultats aux 21 infestations naturelles, les intervalles de confiance se sont avérés trop étroits pour inclure le nombre espéré d'estimés. On discute de ce problème en rapport avec la dynamique des parcelles et son effet sur l'application de cette technique d'échantillonnage.