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DEVELOPMENT OF NUCLEAR POLYHEDROSIS VIRUS FOR CONTROL OF GYPSY MOTH (LEPIDOPTERA: LYMANTRIIDAE) IN ONTARIO. I. AERIAL SPRAY TRIALS IN 1988
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
A double application of Disparvirus, a nuclear polyhidrosis virus, at 1.25 × 1012 polyhedral inclusion bodies (PIB) per hectare, giving a total of 2.5 × 1012 PIB per hectare, was applied aerially on three plots in an emitted volume of 10.0 L per hectare. The two applications were 3 days apart and most larvae were in the first instar. Three plots were selected as untreated checks; each was paired with a treated plot on the basis of pre-spray gypsy moth egg-mass numbers and locality. The pre-spray egg-mass counts ranged from 1430 to 8520 per hectare in the six plots. Assessment of the treatment was based on numbers of pupae and fall egg masses as well as on estimates of defoliation and on microscopic examination of larvae collected at weekly intervals to determine the incidence of virus infection. Between 12 and 19 days post-spray, 49, 61, and 85% of the larvae were infected with virus in the three treated plots compared with 3, 7, and 14%, respectively, of larvae in the check plots. Red oak was 14% defoliated in two of the treated plots compared with 82 and 90% in their corresponding check plots. The third plot suffered 46% defoliation due to leaf-eating caterpillars other than gypsy moth; defoliation in its corresponding check plot was 31%. Reductions in egg-mass numbers in the treated plots were 76, 93, and 98% compared with an increase of 56% and decreases of 50 and 70%, respectively, in corresponding check plots. Corrected population reductions (Abbott’s formula) were 84, 85, and 92% in the three treated plots.
Résumé
Un arrosage par deux fois de Disparvirus, un virus polyédrique nucléaire, à une concentration de 1,25 × 1012 de corps d’inclusions de polyédrique (CIP) par hectare, donnant une concentration globale de 2,5 × 1012 CIP par hectare, a été appliqué à trois parcelles d’essai à raison d’un volume émis de 10,0 L par hectare. Les deux applications ont été séparées de 3 jours et la plupart des iarves étaient en premier stade. Trois autres parcelles expérimentales ont été sélectionnées comme parcelles-témoins non-traitées; chacune a été jumelée avec une parcelle traitée basée sur te nombre de masses d’oeufs de îa spongieuse avant l’arrosage et sur le site le nombre de masses d’oeufs de la spongieuse avant l’arrosage a varié entre 1430 et 8520 par hectare aux six parcelles. L’évaluation du traitement a été basée aux nombres de pupes et de masses d’oeufs automnales, aussi bien à l’estimation de défoliation et à l’amen microscopique examen de larvae ramassées hebdomadairement pour décider l’incidence de l’infection virale. Entre 12 à 19 jours suivant l’arrosage, 49, 61 et 85% des larvaes ont été infectées avec le virus dans les trois parcelles traitées à comparer à 3, 7 et 14%, respectivement, des larvae aux parcelles-témoins. La chêne rouge a été défeuillée de 14% à deux des parcelles traitées a comparer à 82 et à 90% dans leurs parcelles-témoins. La troisième parcelle a souffert de la défoliation du niveau de 46% à cause des chenilles autres que la spongieuse; la défoliation à sa parcelle-témoin correspondante a été de 31%. La diminution en nombres de masses d’oeufs aux parcelles traitées ont été de 76, 93 et 98% à comparer à une augmentation de 56% et des diminutions de 50 et de 70%, respectivement, aux parcelles-témoins. Les diminutions corrigées (formule d’Abbott) ont été 84, 85 et 92% aux trois parcelles traitées.
[Traduit par la rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1991
References
- 8
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