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COMPARISON OF ARTIFICIAL PUPATION SHELTERS AND OTHER MONITORING METHODS FOR ENDEMIC POPULATIONS OF DOUGLAS-FIR TUSSOCK MOTH, ORGYIA PSEUDOTSUGATA (MCDUNNOUGH) (LEPIDOPTERA: LYMANTRIIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Two artificial pupation shelter types were compared as Douglas-fir tussock moth, Orgyia pseudotsugata (McDunnough), monitoring methods in El Dorado County, CA. No difference in attraction was found; wood shelters are recommended as they are both inexpensive and durable. Shelters were compared with three-crown-level larval sampling and with pheromone trapping. Cocoon counts from shelters were significantly correlated with same-year larval density, reflecting larval sample differences between ridges and the general trend in plots along ridges. Egg masses from shelters in 1978 were significantly correlated with the next year’s larval counts, and are of potential value as an early predictor of larval population. The shelter method also provides information on adult sex ratio and pupal and egg emergence, parasitism, and predation.
Résumé
Nous avons évalué deux types de gîtes artificiels de nymphose comme méthodes d’échantillonnage de la Chenille à houppes du Douglas, Orgyia pseudotsugata (McDunnough), dans le comté d’El Dorado, en Californie. Les deux types de gîtes avaient le même pouvoir d’attraction; nous recommandons les gîtes en bois, car ils sont durables et ne coûtent pas cher. Cette méthode a été comparée à l’échantillonnage de larves au sommet des arbres à trois niveaux et au piégeage à l’aide de phéromones. Le nombre de chrysalides trouvées dans les gîtes artificiels était en corrélation significative avec la densité des larves la même année, et reflétait les différences entre des échantillons larvaires d’une crête forestière à une autre, de même que la tendance générale des grilles-échantillons le long de chacune des crêtes. Les masses d’oeufs recueillies dans les gîtes en 1978 se sont avérées en corrélation significative avec le nombre de larves échantillonnées l’année suivante et elles peuvent donc servir d’indice d’évaluation de la population larvaire tôt au cours du cycle. La méthode des gîtes artificiels fournit également des informations sur le rapport mâles : femelles chez les adultes, sur l’éclosion et la nymphose, sur le parasitisme et sur la prédation.
[Traduit par la rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1992
References
- 1
- Cited by