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ALDICARB ON GREENHOUSE CHRYSANTHEMUMS IN ONTARIO: EFFICACY FOR CONTROL OF LIRIOMYZA TRIFOLII (BURGESS) (DIPTERA: AGROMYZIDAE) AND RESIDUES IN FOLIAGE
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
In two field tests, larvae of Liriomyza trifolii (Burgess) were not controlled by aldicarb (Temik 10G) at three times the recommended rate when applied to soil, dry foliage, or wet foliage of chrysanthemums (cv. White Marble) in Ontario. A second treatment of aldicarb 3 weeks after the first did not prevent the increase in leafmining. Assessment of the top 10 leaves at harvest showed no significant differences in numbers of mines greater than 2 cm between check and treated plots. Residues of aldicarb and its degradation compounds, aldicarb sulfoxide and aldicarb sulfone, were detected by capillary gas chromatography with thermionic specific detection. Substantial residues (> 100 μg/g as total residues), particularly of aldicarb sulfoxide, were found within the 1st week after treatment, but dissipated rapidly in upper leaves by day 7 after the first aldicarb application. Lower leaves, however, maintained residue levels at a constant level for a 3-week period following the first and second applications. Residue levels on lower leaves were consistently higher after wet-foliage application of aldicarb than after soil application.
Résumé
Dans deux expériences in situ, on n’a pu éliminer des larves de Liriomyza trifolii (Burgess) par l’emploi d’aldicarb (Temik 10G) à des doses trois fois supérieures à la dose recommandée, et appliquées au sol, au feuillage sec ou au feuillage mouillé de chrysanthèmes (cv. White Marble) en Ontario. Un second traitement à l’aldicarb, effectué 3 semaines après le premier, n’a pas empêché l’augmentation du nombre de mines creusées dans les feuilles. L’évaluation des 10 feuilles du haut, à la récolte, n’a pas révélé de différences notables du nombre des mines supérieures à 2 cm, entre les parcelles-témoins et les parcelles traitées. On a décelé par chromatographie gazeuse sur colonne capillaire, avec détection thermionique spécifique, des résidus d’aldicarb et de ses composés de dégradation, le sulfoxyde d’aldicarb et la sulfone d’aldicarb. Durant la lière semaine suivant le traitement, on a décelé la présence de résidus substantiels (résidus totaux > 100 μg/g), surtout de sulfoxyde d’aldicarb, mais ceux-ci ont rapidement disparu des feuilles supérieures dès le 7ième jour à partir de la date du premier traitement à l’aldicarb. Cependant, les feuilles inférieures retenaient des concentrations constantes de résidus pendant une période de 3 semaines à partir du premier et du second traitement. Dans celles-ci, les taux de résidus étaient toujours plus élevés après l’application d’aldicarb au feuillage mouillé, qu’après l’application de ce produit au sol.
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1986
References
- 3
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