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Acute and chronic insecticidal activity of a new mannose-binding lectin from Allium porrum against Acyrthosiphon pisum via an artificial diet
Published online by Cambridge University Press: 02 April 2012
Abstract
In view of the increasing use of plant proteins as valuable alternatives to chemical insecticides, the susceptibility of pea aphids, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Hemiptera: Aphididae), to three purified mannose-binding plant lectins was determined in an artificial-diet bioassay. The insecticidal activities of a new lectin, APA (Allium porrum L. (Liliaceae) agglutinin) from garden leek, were compared with those of GNA (Galanthus nivalis L. (Liliaceae) agglutinin) from snowdrop and ASA (Allium sativum L. agglutinin) from cultivated garlic. GNA and ASA showed acute toxicity to first-instar nymphs; LC50 values for GNA and ASA were 350 and 700 µg/mL, respectively. With APA, mortality was scored only at high doses. In chronic experiments, however, lower doses significantly reduced survival and fecundity of adults (P < 0.05). Aphids fed a diet containing APA at 100, 500, and 750 µg/mL showed a significant delay in reaching adulthood and no aphids survived beyond 19 days of development. The data support the potential application of APA in the integrated management of insect pests.
Résumé
En vue de l’utilisation de protéines végétales comme alternatives aux insecticides chimiques, la sensibilité des pucerons du pois, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Hemiptera: Aphididae), à trois lectines végétales avec une spécificité pour la mannose a été etudiée dans un test biologique d’alimentation artificielle. Les activités d’une nouvelle lectine APA (Allium porrum L. (Liliaceae)) agglutinine) issue de poireau ont été comparées à celles de GNA (Galanthus nivalis L. (Liliaceae) agglutinine) de perce-neige et ASA (Allium sativum L. agglutinine) d’ail. GNA et ASA sont les plus toxiques pour les nymphes du premier stade; les CL50 pour GNA et ASA sont 350 et 700 µg/mL, respectivement. Avec APA la mortalité a été marquée seulement à des doses élevées. Toutefois, des testes de longue durée ont montré que des doses plus faibles réduisent la survie et la fécondité des adultes d’une manière significative (P < 0,05). Les pucerons nourris avec de l’alimentation contenant APA à 100, 500 et 750 µg/mL ont montré un retard important en atteignant le stade adulte, et aucun puceron n’a survécu au-delà des 19 jours de développement. Ces données supportent l’application éventuelle de l’APA dans la lutte intégrée contre des insectes ravageurs.
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References
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