Behaviour of locally occurring adult females of seven species of coccinellids was assessed on wooden dowel and paper models that mimicked branching patterns and arrangements of leaf attachments to stems. Ambient temperature and hunger of the beetles were controlled. The movements up or down the main branch of the branch models when contacted from a side branch, duration of searching, and method of leaving leaf models were recorded for 20 beetles of each species.Each species responded to the seven models with different frequencies of behaviours that reflected species-specific modifications of the taxes that lead coccinellids to the tops and terminal parts of plants. Some beetles consistently modified the pattern of responses on die models that was displayed by die species as a whole. The individual modifications could be selected for. The differences in frequencies of behaviours were judged to be sufficient to result in differences in the efficiency with which plants with different architectures were searched.

Le comportement de femelles adultes de sept espèces locales de Coccinellidae a été étudié sur des modèles faits de chevilles de bois et de papier imitant les ramifications des branches et l’attachement des feuilles à des tiges. La température ambiante et la faim des insectes étaient contrôlées. Les déplacements vers le haut ou vers le bas sur la branche principale des modèles à partir d’une branche latérale, de même que la durée de la recherche et la façon de quitter les modèles à feuilles ont été notés chez 20 individus de chaque espèce.Face aux sept modèles, les espèces ont réagi selon des fréquences particulières de comportements qui reflétaient les modifications spécifiques à chaque espèce des tendances qui déterminent les Coccinellidae à se déplacer vers le haut et vers les parties terminales des plantes. Sur les modèles, certains individus avaient des comportements toujours un peu différents de ceux manifestés par l’espèce dans son ensemble. La sélection peut agir sur ces modifications individuelles. Les différences dans la fréquence des comportements ont été jugées suffisamment grandes pour modifier l’efficacité avec laquelle des plantes d’architectures différentes sont explorées.

[Traduit par la Rédaction]