Article contents
Sampling range and range of attraction of Dendroctonus pseudotsugae pheromone-baited traps
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Two mark–recapture experiments and a trap interference experiment were conducted to determine the sampling range and range of attraction, respectively, of Dendroctonus pseudotsugae Hopkins (Coleoptera: Scolytidae) pheromone-baited traps in northern Idaho. To determine the sampling range, either live beetles or logs containing brood were marked with one of four colors of fluorescent powder. Colored beetles or logs were placed along transects oriented away from a central pheromone-baited trap at distances of 50, 100, 200, and 300 m. A release distance of 400 m was added to one mark–recapture experiment during the 2nd year. To determine the range of attraction, a trap interference study was conducted. For this experiment, groups of three traps were oriented in equilateral triangles with distances of 50, 100, 200, and 300 m between the three traps. Distances between traps were changed daily to allow for adequate replication. Mark–recapture studies indicated that most D. pseudotsugae were recaptured from distances less than or equal to 200 m from the pheromone-baited trap. On average, 95% of beetles recaptured were males. Results of the trap interference experiment provided no insight into the range of attraction of D. pseudotsugae pheromones. Natural resource managers should attempt to place pheromone-baited suppression traps within 200 m of target D. pseudotsugae populations. Also, to minimize undesirable beetle-caused tree mortality, traps should be placed as far as possible from live trees that managers wish to protect.
Résumé
Nous avons procédé à deux expériences de marquage–recapture et une expérience d’interférence entre les pièges, les premières pour déterminer la portée de l’échantillonnage, la troisième pour délimiter l’étendue du pouvoir d’attraction de pièges garnis de phéromone de Dendroctonus pseudotsugae Hopkins (Coleoptera : Scolytidae) dans le nord de l’Idaho. Pour déterminer la portée de l’échantillonnage, des coléoptères vivants ou des troncs morts contenant des couvains ont été marqués au moyen de poudre fluorescente de l’une de quatre couleurs. Les coléoptères ou les troncs colorés ont été placés le long de transects orientés en direction opposée à celle d’un piège à phéromone central, à des distances de 50, 100, 200 et 300 m. Une distance de relâchement de 400 m a été ajoutée lors d’une expérience de marquage–recapture au cours de la 2e année. Pour évaluer le pouvoir d’attraction de la phéromone, nous avons procédé à une expérience d’interférence entre les pièges dans laquelle des groupes de trois pièges étaient été installés en triangles équilatéraux, à des distances de 50, 100, 200 et 300 m les uns des autres. Les distances entre les pièges ont été changées chaque jour pour qu’il y ait un nombre adéquat de répétitions de l’expérience. Les études de marquage–recapture ont montré que la plupart des scolytes recapturés provenaient d’une distance égale ou inférieure à 200 m d’un piège à phéromone. En moyenne, 95% des coléoptères recapturés étaient des mâles. Les résultats dl’interférence entre les pièges n’ont pas permis de conclure quoi que ce soit sur la portée du pouvoir d’attraction des phéromones de D. pseudotsugae. Nous recommandons aux gestionnaires de l’aménagement d’installer des pièges de suppression garnis de phéromones à moins de 200 m des populations de D. pseudotsugae visées. De plus, pour minimiser la mortalité des arbres due au scolyte, les pièges doivent être installés aussi loin que possible des arbres vivants que l’on veut protéger.
[Traduit par la Rédaction]
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 2002
References
- 30
- Cited by