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Randomly amplified polymorphic DNA reveals fine-scale genetic structure in Pissodes strobi (Coleoptera: Curculionidae)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
To confirm patterns of diversity and differentiation found with isozymes and mitochondrial DNA, we surveyed 10 populations of the white pine weevil, Pissodes strobi (Peck), for randomly amplified polymorphic DNA (RAPD) markers. Four weevil populations were sampled from Sitka spruce, Picea sitchensis (Bong.) Carr (Pinaceae), five from the "interior" spruce of British Columbia [admixtures of white spruce, Picea glauca (Moench) Voss, and Engelmann spruce, Picea engelmanni (Parry)], and one from Jack pine, Pinus banksiana Lamb. (Pinaceae), in Ontario. In each population, 30–60 weevils were assayed with 10 RAPD primers, yielding 74 RAPD markers. Genetic analyses showed that populations from interior spruce and Jack pine formed a distinct complex; as well, Vancouver Island populations formed a distinct group within the Sitka populations. Levels of diversity, both in terms of polymorphic loci and expected heterozygosity, declined from east to west, supporting the contention that P. strobi originated in eastern North America and migrated west, and suggesting that biocontrol methods may be more effective on populations from Sitka spruce, owing to their reduced diversity. These results parallel an earlier isozyme study but, in contrast, the diversity differences and population relationships are demonstrated to be statistically significant, owing to both the much larger number of loci sampled and the attachment of statistical confidence intervals to estimates of diversity and differentiation.
Résumé
Pour confirmer les patterns de diversité et de différentiation obtenus antérieurement à l’étude des isozymes et de l’ADN mitochondrial, nous avons inventorié les marqueurs RAPD (amplification aléatoire de fragments d’ADN polymorphes) chez 10 populations du Charançon du pin blanc, Pissodes strobi (Peck). Quatre des populations provenaient d’épinettes de Sitka, Picea sitchensis (Bong.) Carr (Pinaceae), cinq d’épinettes « de l’intérieur » de la Colombie-Britannique [mélange d’épinettes blanches, Picea glauca (Moench) Voss, et d’épinettes d’Engelmann, Picea engelmanni (Parry)], et une du pin gris, Pinus banksiana Lamb. (Pinaceae) de l’Ontario. Dans chaque population, 30–60 charançons ont été testés à l’aide de 10 amorces RAPD et 74 marqueurs RAPD ont ainsi été découverts. Les analyses génétiques ont révélé que les populations vivant sur les épinettes de l’intérieur et sur les pins gris forment un complexe distinct; de même, les populations de l’île de Vancouver constituent un groupe particulier chez les épinettes de Sitka. L’importance de la diversité, mesurée tant en nombre de locus polymorphes qu’en héterozygotie attendue, décline d’est en ouest, ce qui appuie l’hypothèse selon laquelle P. strobi a son origine dans l’est de l’Amérique du Nord et a migré vers l’ouest; cela laisse croire aussi que les méthodes de contrôle biologique sont peut-être plus efficaces sur les populations qui vivent sur les épinettes de Sitka, parce qu’elles ont une diversité réduite. Ces résultats sont semblables à d’autres obtenus antérieurement par analyse des isozymes; en revanche, les différences de diversité et les relations entre les populations se sont avérées statistiquement significatives, d’une part, à cause de l’échantillonnage d’un plus grand nombre de locus, et d’autre part, parce que des intervalles de confiance ont pu être attribués aux estimations de la diversité et de la differentiation.
[Traduit par la Rédaction]
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References
- 6
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