Article contents
PEST MANAGEMENT OF DOUGLAS-FIR TUSSOCK MOTH, ORGYIA PSEUDOTSUGATA (LEPIDOPTERA: LYMANTRIIDAE): MONITORING ENDEMIC POPULATIONS WITH PHEROMONE TRAPS TO DETECT INCIPIENT OUTBREAKS
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The numbers of Douglas-fir tussock moths (Orgyia pseudotsugata) (Lepidoptera: Lymantriidae) caught in sticky, delta-shaped pheromone traps baited with different concentrations of synthetic lures were compared with egg-mass densities and subsequent defoliation throughout a population cycle. A lure containing 0.01% pheromone by weight in the form of a 3 × 5-mm polyvinylchloride rod provided more consistent catches than pheromone concentrations of 0.0001, 0.001, 0.1, or 1.0%. Trap saturation occurred when >40 moths per trap were caught. To achieve a standard error of 30%, 6 traps were required at each site. There was a poor correlation between numbers of moths caught and egg-mass density or defoliation estimates in the following generation, but a threshold density was found that provides a warning of an incipient outbreak. Ground surveys for egg masses are recommended to confirm suspected infestations after continuous increases in moth catches for 2 to 3 years or if an average of 25 moths or more per trap has been caught.
Résumé
On a comparé le nombre de papillons de la chenille à houppes du douglas (Orgyia pseudotsugata) (Lépidoptères : Lymantriidés), capturés au moyen de pièges adhésifs à phéromone (phéromones de synthèse à diverses concentrations) en forme de delta, à la densité des masses d'oeufs et à la défoliation ultérieure durant tout le cycle évolutif de leur population. Un appât contenant, en masse, 0,01% de phéromone sous la forme d'une tige de 3 mm sur 5 de chlorure de polyvinyle a permis des captures plus constantes que les taux de phéromone de 0,0001, de 0,001, de 0,1 ou de 1,0 %. Un piège était “saturé” lorsque plus de 40 papillons y étaient capturés. Pour que l'erreur type soit de 30%, il fallait 6 pièges dans chaque station. La corrélation entre le nombre de captures et la densité des masses d'oeufs ou les estimations de la défoliation au cours de la génération ultérieure était pauvre, mais on a observé une densité qui servait de seuil d'avertissement du début d'une infestation. Les relevés au sol des masses d'oeufs sont recommandés pour confirmer des infestations qu'on soupçonne après des augmentations continues des captures, pendant 2 à 3 ans, ou si celles-ci sont, en moyenne, d'au moins 25 papillons par piège.
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1985
References
- 28
- Cited by