The relationship between temperature and ovarian development rates, as well as the cumulative probability of a female becoming gravid, were determined for the house fly, Musca domestica (L.), based on previously published information. These relationships were combined to form a model that simulates oviposition of house fly populations using average daily temperatures, eggs per cycle, and daily survival as input. Simulation results were compared with observed oviposition in three caged populations of house flies exposed to field temperatures. A high correlation occurred between simulated and observed eggs laid (r = 0.88), as well as between simulated and observed lxmx (r = 0.91). The model overestimated the onset of oviposition for one population, but closely simulated the timing of oviposition for the other two. The model also tended to overestimate the reproductive contribution of flies during the second and subsequent ovarian cycles.

Le rapport entre température et les taux de développement des ovaires, ainsi que la probabilité cumulative d’une femelle à devenir pleine, ont été déterminés à partir des informations publiées au préalable, dans le cas de la mouche domestique, Musca domestica (L.). Ces rapports ont été réunis pour former un modèle qui simule les pontes des populations de mouche domestique, en utilisant comme données en entrée, les températures journalières moyennes, le nombre d’oeufs par cycle, et la survie journalière. Les résultats de simulation ont été comparés à la ponte constatée dans trois populations de mouches domestiques en cages, exposées aux températures du champs. Une corrélation étroite a eu lieu entre les pontes simulées et constatées (r = 0,88), ainsi qu’entre lxmx (r = 0,91). Le modèle a surévalué le commencement de la ponte d’une population, mais l’a simulé de près en ce qui concernait les deux autres populations. Le modèle aussi a eu tendance de surévaluer la contribution reproductrice des mouches pendant le deuxième cycle ovarien et les suivants.