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THE LIFE CYCLE AND ULTRASTRUCTURE OF MALAMEBA LOCUSTAE (KING AND TAYLOR) (AMOEBIDAE) IN THE MIGRATORY GRASSHOPPER MELANOPLUS SANGUINIPES (F.) (ACRIDIDAE)1,2
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The life history and ultrastructure of the protozoan Malameba locustae (King and Taylor) were studied in the migratory grasshopper Melanoplus sanguinipes (F.) using feeding and injection studies. Insects fed cysts developed infection in the Malpighian tubules 5–6 days later; no trophozoites were observed in haemolymph samples taken 2–20 days post-feeding. After excystment, a few trophozoites entered the midgut epithelium and many were located near the basement membrane of the epithelial cells, where they appeared to degenerate. Trophozoites were not seen to divide in the midgut epithelium, and apparently did not damage this tissue. Trophozoites injected directly into the haemocoel could not be recovered even 4 h after injection, and the Malpighian tubules did not become infected. It was concluded that trophozoites did not penetrate the midgut to enter the haemocoel or move through the haemocoel to infect the Malpighian tubules, but instead probably entered the tubules directly from the gut. Trophozoite ultrastructure in midgut and Malpighian tubules, and cyst wall deposition were described.
Résumé
Le cycle biologique et l’ultrastructure du protozoaire Malameba locustae (King et Taylor) ont été étudiés chez le petit criquet voyageur, Melanoplus sanguinipes (F.), à l’aide d’essais d’alimentation et d’injection. Les criquets nourris de kystes ont développé une infection des tubes de Malpighi 5–6 jours plus tard; on n’observe aucun trophozoïte dans les échantillons d’hémolymphe prélevés 2–20 jours après l’ingestion. Après rupture des kystes, quelques trophozoïtes ont pénétré dans l’épithélium de l’intestin moyen et beaucoup se sont logés près de la membrane basale des cellules épithéliales où ils semblaient dégénérer. On n’a pas vu de trophozoïtes se diviser dans l’épithélium de l’intestin moyen et ils ne semblent pas avoir endommagé ce tissu. Les trophozoïtes injectés directement dans l’hémocèle ne pouvaient être récupérés, même 4 h après l’injection, et n’ont pu infecter les tubes de Malpighi. Les auteurs concluent que les trophozoïtes n’ont pas pénétré dans l’intestin moyen pour entrer dans l’hémocèle ou migrer dans celui-ci pour aller infecter les tubes de Malpighi, mais ont probablement pénétré directement dans les tubes depuis l’intestin. Ils décrivent l’ultrastructure des trophozoïtes dans l’intestin moyen et les tubes de Malpighi, ainsi que la rupture des parois des kystes.
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- Articles
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- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1988
References
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