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INHERITANCE OF GREGARIOUS AND SOLITARY OVIPOSITION IN MUSCIDIFURAX RAPTORELLUS KOGAN AND LEGNER (HYMENOPTERA: PTEROMALIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Inheritance of gregarious or solitary oviposition in Muscidifurax raptorellus Kogan and Legner involves two phases: (1) the female parasitoid expresses either trait shortly after mating, the magnitude of which is apparently determined by the male genome; and (2) the trait is then apparently fixed into a genome of her offspring who demonstrate it in the virgin state. In the first phase, less than one-half the magnitude of behavioral expression is shown, full expression occurring in the F1 diploid virgin hybrid. In matings with hybrids produced from subsequent backcrosses, more than one-half of the behavior is expressed shortly after mating. Traits related to gregarious oviposition (number parasitoids developed per host and total progeny) were also similarly initially expressed and subsequently inherited. A polygenic mode of inheritance is apparent, with ≥3-22 genes estimated. The extranuclear influences prior to inheritance may involve microorganisms and/or chemicals (enzymes) present in hymenopteran seminal fluid. Natural selection in this system should be accelerated by males causing the expression of a portion of the quantity of heritable behavior within the same generation.
Résumé
L’hérédité du comportement de ponte solitaire et grégaire parmi les Muscidifurax raptorellus Kogan et Legner comprend deux étapes : (1) la femelle parasitoïde acquiert l’un ou l’autre trait directement du mâle avec lequel elle s’accouple : elle montre ceci très peu de temps après l’accouplement; et (2) ce trait caratéristique est ensuite fixé dans le génome de ses descendants apparemment chez lesquels on peut l’observer à l’état virginal. Dans la première étape, représentée par les mâles haploïdes, seulemment la moitié environ de la magnitude de l’expression du comportement est en évidence, l’expression du comportement dans sa totalité apparaît dans l’hybride vierge diploïde. Une mode polygénique d’hérédité est apparente, avec une estimation ≥3-22 des genes. Il est possible que cette phase extranucléaire de l’hérédité puisse inclure des microorganismes ou des éléments chimiques (enzymes) présents dans le fluide séminal des hyménoptères. La sélection naturelle dans ce système devrait être accélérée par les mâles à l’origine de l’expression de la moitié environ de la quantité du comportement héréditaire dans chaque génération.
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1987
References
- 16
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