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DIFFERENCES IN THE UTILIZATION OF TREE SPECIES AS LARVAL HOSTS AND PUPATION SITES BY THE GYPSY MOTH, LYMANTRIA DISPAR (LEPIDOPTERA: LYMANTRIIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
In the summer of 1980, gypsy moth populations were monitored in 13 sparsely infested forests in southwestern Quebec; counts of living and dead larvae and pupae were made on 1,870 trees representing 28 deciduous and one coniferous species. Contrary to our null expectations, the proportionate numbers of pupae compared with larvae on the various host species were not equal. Hosts more preferred by larvae were less preferred by pupae, and vice versa. For example, pupae were disproportionately abundant on host species like Acer pensylvanicum L., Carya ovata (Mill.) K. Koch, and Juglans cinerea L. which are not generally favored larval hosts. Conversely, favored larval hosts like Quercus rubra L. and Ostrya virginiana (Mill.) K. Koch carried lower numbers of pupae than expected from the numbers of larvae feeding on them. Such differential utilization of host trees by larvae versus pupae, which can arise either from host-dependent differences in larval mortality or from late instar migration between hosts, may contribute to maintaining the broad polyphagy of gypsy moth larvae.
Résumé
Durant l'été de 1980, des populations de spongieuses ont été inventoriées dans 13 forêts du sud-ouest québeois peu abondamment infestées par cet insecte; les larves vivantes et mortes, et les chrysalides ont été comptées sur 28 décidus et un conifère pour un total de 1870 arbres. Contrairement à notre prédiction, le nombre de chrysalides identifié sur les arbres n'était pas proportionnellement égal au nombre de larves retrouvées sur les différentes essences hôtes. Les hôtes les plus préférés par les larves sont les moins préférés par les chrysalides, et vice-versa. Par exemple, les chrysalides étaient plus abondantes d'une façon disproportionnée sur les essences hôtes comme Acer pensylvanicum L., Carya ovata (Mill.) K. Koch, et Juglans cinerea L. qui sont généralement des essences non favorites. En contrepartie, les essences favorites comme Quercus rubra L. et Ostrya virginiana (Mill.) K. Koch comportaient moins de chrysalides que leur nombre de larves laissait prévoir. Les différences dans l'utilisation de l'essence hôte par les larves versus les chrysalides peuvent être en partie dues à la mortalité larvaire sur une essence en particulier, ou bien à une migration des derniers stades larvaires vers d'autres hôtes, ceci pouvant contribuer à maintenir la diversité du choix de ce polyphage qu'est la spongieuse.
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1984
References
- 12
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