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AUTOGENY AND BLOOD-FEEDING BY CULEX TARSALIS (DIPTERA: CULICIDAE) AND THE INTERVAL BETWEEN OVIPOSITION AND FEEDING
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Female Culex tarsalis Coquillett trapped in CO2-baited light traps or reared from field-collected pupae were marked with fluorescent dust, released, and recaptured in traps baited with CO2 with or without light. Recaptures of trapped females peaked on the first night of recapture collections. Recaptures of reared females peaked on the first or second night when autogeny rates were low (25–44%) but 2-4 nights later when rates were high (86–88%). It was concluded that autogenous females did not seek blood until after they had oviposited, and that autogenously induced delays in feeding probably influence the extent of virus transmission by C. tarsalis.
Stretched follicular tubes indicating recent oviposition were found in 23.4% and 5.2% of empty parous females from shelters and CO2-baited traps, respectively, and in 2.3% of freshly engorged parous females from shelters. Females often failed to blood-feed until at least the second night after oviposition.
Résumé
Des femelles de Culex tarsalis Coquillett capturées au piège lumineux appâté au CO2, ou émergées de pupes provenant du terrain, ont été marquées à la poussière fluorescente, relâchées et recapturées à l'aide de pièges appâtés au CO2 mais sans lumière. Le nombre maximum de femelles piégées recapturées a été observé la première nuit de recapture. Le nombre maximum de recaptures de femelles émergées fut observé la première ou la deuxième nuit lorsque les pourcentages d'autogéniticté étaient bas (25–44%), mais 2–4 nuits plus tard lorsqu'ils étaient élevés (86–88%). On a conclu que les femelles autogènes ne recherchent pas de sang avant d'avoir déposé des oeufs, et que les délais de la prise de sang résultant de l'autogénicité ont probablement une incidence sur la transmission de virus par C. tarsalis.
La distension des tubes folliculaires indiquant l'oviposition récente fut observée chez 23.4% et 5.2% des femelles reproductives à jeun provenant respectivement d'abris et de pièges à CO2, et chez 2.3% des femelles reproductives récemment gorgées provenant des abris. Les femelles n'ont souvent pris aucun repas de sang au moins jusqu'à la deuxième nuit après l'oviposition.
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1982
References
- 5
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