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Published online by Cambridge University Press: 24 December 2009
Tant que le dvandva n'est pas devenu, comme c'est le cas dans l'histoire de l'indien, un precédé de style, un mode d'abréviation qui finit par ne plus se distinguer d'un composé, il reflète certaines notions prégnantes d'une culture et d'un culte hérités. On n'a pas assez tenu compte des enseignements que donnent à ce point de vue les dvandvas avestiques, dont une liste (sujette à révision) a été dressée par Bartholomae, BB. x, pp. 267 sq. Et cependant il s'y conserve autant et même plus d'antiquités que dans ceux du védique.
page 405 note 1 Sur cette question on lira avec fruit les pénétrantes observations de J. Wackernagel, Festschr. Binz, Bâle, 1935, pp. 33 sq.
page 406 note 1 Après chaque mot de ce passage, le texte porte yazamaide, probablement pour des raisons de liturgie : l'énoncé de chaque mot de la prière appelait le répons yazamaide. Autrement la suite grammaticale est intacte ; cf. trad. Lommel, p. 121, n. 1.