No CrossRef data available.
Article contents
Extract
J'ai eu l'occasion, il y a trois ans, d'attirer 1'attention sur un terme obscur du bouddhisme Sanscrit, mālavihāra, que j'avais rencontré dans le texte du Mahā-Karmavibhanga dont je donnais I'édition et la traduction (Paris, 1932, p. 63, note). Il s'agissait, dans ce passage, du fameux Candanamāla vihāra érigé par Pūrna à Śūrpāraka. J'avais rappelé à ce propos le récit du voyage de Bhagavat à, Śūrpāraka sur l'invitation de Pūrna et de la consécration du vihāra, tel qu'il est rapporté dans le Divyāvadāna (ii, Pūrnāvadāna) ou plus exactement dans le Vinaya des Mūla Sarvāstivādin's (Osadhivastu, chap, ii ═ Dulva tibétain ii, 40 sqq.). J'avais signalé quelques autres textes, tant sanscrits que pālis, où la même expression se retrouve, soit à propos du même Candanamāla vihāra (Kandjour, Mdo iii; Paramatthadīpanī (et non Apadāna; à rectifier) sur Theragāthā 187-188 Paramatthajotikā sur Suttanipāta, Pūralāsutta; soit comme une désignation générique (Mahāvastu ii, 367; Śiksāsamuccaya, p. 300; Divyavad., p. 79 et p. 467; texte Sanscrit de Koutcha publié par M. Lüders, Pr. Ak. Wiss. 1930, i, p. 23). Aux textes sur le Candanamāla je puis ajouter maintenant le Mafñjuśrīmūlakalpa (Trivandrum Sk. Ser., p. 619, inf.) qui mentionne un bhiksu nommé Nanda ou Nandaka, hôte du Candanamāla, avec une longévité de trois cents ans:—
- Type
- Research Article
- Information
- Bulletin of the School of Oriental and African Studies , Volume 8 , Issue 2-3 , January 1936 , pp. 619 - 622
- Copyright
- Copyright © School of Oriental and African Studies 1936