^{page 122 note 1} Voy. notre 137^me circulaire, T. XLIII, p. 5.

^{page 122 note 2} Voy. T. XXXIV, p. 224.

^{page 124 note 1} ART. 271. — Pendant les marches, le personnel et matériel des Socieétés de secours ne devront pas se confondre avec ceux du service de santé militaire. Les jours et heures pour la marche, ainsi que les haltes et lieux d'étapes seront indiqués par l'autorité militaire.

ABT. 272. — Lorsqu'une action importante est en vue, le chef médecin de l'armée indiquera aux Sociétés de secours les endroits ou elles pourront s'établir et se préparer à recevoir les blessés que leur enverra la Santé militaire.

ART. 273. — Après le combat, si les circonstances le permettent, les Sociétés de secours peuvent être appelées spécialement sur le champ de hataille pour coopéerer avec le Service sanitaire militaire au relèvement et au secours des blessés et à l'enterrement des morts. Lorsque l'armée entreprend un mouvement en avant, les blessés et malades recueillis par les ambulances et hôpitaux de campagne peuvent être confiés aux Sociétés de secours, auprès desquelles le général en chef enverra le personnel médical suffisant pour surveiller l'observation des prescriptions réglementaires.

^{page 129 note 1} Bien que le contenu de eet article soit parfaitement clair, il est bon d'ajouter, puisque des doutes se sont élevés à ce sujet, qu'il s'agit seulement du service militaire et que, par conséquent, les unités sanitaires peuvent continuer à fonetionner en ce qui concerne les autres attributions de la Croix-Rouge.