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Le problème des bénéfices distribuables examiné à la lumière du théorème de M. de Finetti

Published online by Cambridge University Press:  29 August 2014

J. Adam*
Affiliation:
Bruxelles
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Abstract

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Type
Research Article
Copyright
Copyright © International Actuarial Association 1972

References

page 246 note 1) Gauthier-Villars, Paris, 1952.

page 247 note 1) Le gain algébrique associé à un contrat est la différence entre la „prime de risque” et les sinistres.

Nous entendons par „prime de risque” celle qui est destinée à couvrir les sinistres, c'est-à-dire la prime pure majorée du chargement de sécurité.

page 247 note 2) Le „fonds de risque” est un compte fictif qui est crédité des primes de risque relatives aux contrats en portefeuille et débité des sinistres correspondants.

page 248 note 1) Dans la pratique, la variable X est bornée, si bien que φ(R) est toujours défini.

page 249 note 1) Pour fixer les idées nous supposerons qu'il s'agit de contrats d'assurance de dommages à garantie illimitée.

page 250 note 1) On trouvera dans le bulletin de l'Association Royale des actuaires belges n° 60 (1960) un article de M. H. Lambert intitulé „Un eapplication de la théorie collective du risque: la réassurance” qui traite de l'efficacité des différentes formes de réassurance.

page 251 note 1) Nous utilisons l'indice c pour les éléments relatifs à la cédante et l'indice r pour les éléments relatifs du réassureur.

page 251 note 2) Cette hypothèse est fort restrictive, nous en convenons, et ne correspond pas à la réalité. Une manière de la lever est d'imaginer que le réassureur agit „rationnellement” au sens de la relation (5.1), c'est-à-dire qu'il calcule sa prime de risque selon la formule

avec

et qu'il y ajoute, pour frais et bénéfice, un chargement Δλ.Pr dont le taux Δλ est une fonction connue de n ou une constante. Encore faut-il que la cédante connaisse Zr, kr et Δλ.

page 252 note 1) Nous négligeons ici les intérêts.

page 254 note 1) Relation que l'on retrouve dans le cadre de la théorie collective du risque (voir Monsieur H. Lambert, op. cit.)

page 258 note 1) e mv + ½v 2σ2 est le moment ordinaire de l'ordre v de la distribution lognormale.

page 259 note 1) Etant donné le peu de précision des tables utilisées pour calculer φ nous nous sommes limités au 3ème terme de la série III (n), qui converge d'ailleurs très rapidement. Un surcroît de précision pour φ serait cependant nécessaire vu l'importance du facteur Z/k dans la pratique.