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Le commentaire par al-Kindī de l'Optique d'euclide: un traité jusqu'ici inconnu
Published online by Cambridge University Press: 24 October 2008
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After he wrote his well-known De aspectus, al-Kindī wrote a substantial critical commentary on Euclid's Optics: the “Rectification of error and difficulties due to Euclid's book: the Optics.” This previously ignored work enriches our knowledge of the optics not only of the geometers of the mid-9th century, but also of late antiquity. This is the first known commentary on Euclid's treatise, and it raises again the questions of its textual traditions, their multiplicity, and the role of Theon of Alexandria; it also poses the problem of the survival of al-Kindī's thought through his successors, such as Ahmad b. 'Īsā. The article examines these and related issues.
Après avoir écrit son fameux De aspectus, al-Kindī a composé un substantiel commentaire critique de l'Optique d'Euclide: la Rectification de l'erreur et des difficultés dues à Euclide dans son livre appelé l'Optique. Jusqu'ici ignoré, ce nouveau venu n'enrichit pas seulement notre connaissance de l'optique des géomètres du milieu du IXe siècle, mais aussi celle de l'antiquité tardive. Ce premier commentaire connu de l'Optique d'Euclide soulève à nouveau la question des traditions textuelles de ce traité, de leur multiplicité, du rôle de Théon d'Alexandrie; il pose aussi le problème de la survie de la pensée d'al-Kindī à travers ses successeurs, comme Ahmad ibn 'Īsā. Autant de questions que nous examinons dans cet article.
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- Copyright © Cambridge University Press 1997
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1 Cet article est extrait du premier chapitre de mon livre L'optique et la catoptrique d'al-Kindī (Leiden, 1997). On y trouvera l'editio princeps, la première traduction de la Rectification, ainsi que tous les autres écrits optiques et catoptriques retrouvés d'al-Kindī et de Qustā ibn Lūqā.Google Scholar
2 Sur ce livre Kitāb fi 'ilal mā ya'ridu fi al-marāya min ikhtilāf al-manāzir, MS Āstān Quds 5593, fol. 78r–93r, voir l'édition, la traduction et le commentaire dans Rashed, L'optique et la catoptrique, Appendice II.Google Scholar
3 Euclidis Opera Omnia (Leipzig, 1945), vol. VII:Google ScholarEuclidis optica, opticorum recensio Theonis, catoptrica, cum scholiis antiquis, éd. Heiberg, J.L.; Heiberg, J.L., Literargeschichtliche Studien über Euclid (Leipzig, 1882), chap. IV.Google Scholar
4 Heiberg, Voir, Euclidis optica, “Prolegomena,” pp. XIII–XVI et Literargeschichtliche Studien über Euclid, notainment pp. 90–1.Google Scholar
5 Cf. Vogel, M. et Gardthausen, V., Die griechischen Schreiber des Mittelalters und der Renaissance (Leipzig, 1909; repr. Hildesheim, 1966), p. 3.Google Scholar
6 Heiberg, Euclidis optica, “Prolegomena,” p. XXX.Google Scholar
7 Jones, Voir A., “Peripatetic and Euclidean theories of the visual ray,” Physis, 31.1 (1994): 47–76, en particulier p. 49 n. 6 etGoogle ScholarKnorr, W.R., “Pseudo-Euclidean reflections in ancient optics: A re-examination of textual issues pertaining to the Euclidean Optica and Catoptrica,” Physis, 31.1 (1994): 1–45, notamment pp. 28 sqq.Google Scholar
8 Plus précisément, le manuscrit est fait de trois parties distinctes dues à au moins seize copistes et contenant des œuvres de mathématique, d'astronomie, d'astrologie, de géographie et de musique. Il semble bien que les trois parties du manuscrit ont été réunies en un, par un seul et même correcteur qui le fit exécuter par des amis, des élèves ou des secrétaires, entre 1296 et 1298, et que des notes ont été ajoutées jusqu'au ler septembre 1303.Google ScholarCf. Canart, P. et Peri, V., Sussidi bibliografici per i manoscritti greci della Biblioteca Vaticana, Studi e Testi, 261 (Roma, 1970), pp. 387–8;Google ScholarTuryn, A., Codices graeci Vaticani saeculis XIII et XIV scripti annorumque notis instructi (Roma, 1964), pp. 91–3;Google ScholarAllard, A., “La tradition du texte grec des Arithmétiques de Diophante d'Alexandrie,” Revue d'histoire des textes, 12–13 (1982–1983): 57–137, aux pp. 69–70.Google Scholar
9 Le Paris. gr. 2390 demanderait de toute évidence une étude attentive, et que l'on déterminât avec précision sa situation stemmatique exacte. Son copiste a en effet toujours pris le soin, aussi bien pour le texte euclidien que pour ce qui le précède, de noter le titre du traité ainsi qu'un explicit, dans une encre mauve très caractéristique. C'est aussi avec cette encre qu'il numérote les différentes propositions. Il est donc clair qu'il ne s'agit pas là de l'inspiration intempestive de quelque érudit byzantin, mais bien du travail rigoureux d'un copiste attentif. Comme en outre ce copiste n'adopte pas la moindre séparation entre le “prologue” et G2, il est indiscutable que sa source voyait dans l'ensemble (prologue+G2) “ce qu'il y a avant l'Optique d'Euclide,” τά πρό όπτιχών Eύχλείδου. Étant donné la présence de Théon dans le manuscrit, il appartiendra donc à la recherche future de déterminer si ce dernier ne reflète pas, même lointainement, la scolastique alexandrine.Google Scholar
10 Ainsi W.R. Knorr conclut à propos de la proposition 15 (en notant G1 = A et G2 = B): “In sum, the comparison of the two versions of prop. 15 illustrates a general pattern: the proofs in A are ampler and the exposition more regular than in B; the idiosyncratic terminology of B (e.g. ούφοūν) is generally avoided in A, although it is occasionally found there; while idiosyncratic terms of A are absent from B. These features accord nicely with the view that B is the antecedent of A.” [“Pseudo-Euclidean reflections in ancient optics,” p. 33.]Google Scholar
11 Euclide. L'optique et la catoptrique. Œuvres traduites pour la première fois du grec en français avec une introduction et des notes par Paul Ver Eecke (Paris, 1959), p. XXVIII.Google Scholar
12 Pour un examen détaillé de cette question, voir Rashed, L'optique et la catoptrique, chap. I, pp. 14 sqq.Google Scholar
13 Sur l'authenticité de ces textes, voir l'introduction de Heiberg, J.L., ainsi que son étude: Literargeschichtliche Studien über Euclid, pp. 90 sqq.Google Scholar
14 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 163, l. 18–21.Google Scholar
15 MSS I, fol. 81; L, fol. 59v; Q fol. 59r.Google Scholar
16 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 165, l. 1–3.Google Scholar
17 Heiberg, p. 34, l. 16–17; trad. Eecke, Ver, p. 16.Google Scholar
18 Heiberg, p. 30, l. 3; trad. Eecke, Ver, p. 13.Google Scholar
19 Heiberg, p. 176, l. 18–19; trad. Eecke, Ver, p. 67.Google Scholar
20 Pour l'attribution à Hunayn, Steinschneider, voir M., Die arabischen Übersetzungen aus dem griechischen (Graz, 1960), § 92, p. 171 (163). La mention d'“Ibn Sarjūn” est rapportée parGoogle ScholarKheirandish, E., “The Arabic ‘version’ of Euclidean optics: Transformations as linguistic problems in transmission,” dans Tradition, Transmission, Transformation, Proceedings of two conferences on pre-modern science held at the University of Oklahoma, éd. Ragep, F. Jamil et Ragep, Sally R. (Leiden, 1996), pp. 227–45, à la p. 229, n. 8 (nous n'avons pas eu ce manuscrit entre les mains).Google Scholar
21 Kahhāla, Voir, Mu'jam al-mu'allifin, vol. I (Beyrouth, s.d.), p. 161;Google ScholarYāqūt, , Mu'jam al-udabā', vol. V (London, 1926), p. 154.Google Scholar
22 Tārīkh al-Ya'qūbī (Beyrouth, 1992), p. 123.Google Scholar
23 Ibid., p. 123.
24 Al-Kindī lui-même ne manque pas de souligner ce trait de son commentaire lorsqu'il écrit à propos de la prop. 28 de l'Optique qu'elle se ramène à la prop. 24 de ce même livre, et cependant il la reprend “pour qu'aucune des propositions de son [Euclide] livre ne soit délaissée (li-allā yatakhallaf 'an kitābihi ['an kitāb Uqlīdis] shay' min ashkālihi).” Il reprend mot pour mot cette même expression plus loin lorsqu'il écrit “pour ne délaisser aucune proposition de son livre sans la vérifier (li-allā yatakhallaf min kitābihi shakl ya'dam tahqīquhu).”Google Scholar
25 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 309, l. 4–5.Google Scholar
26 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 173, l. 20–25.Google Scholar
27 Édition et traduction Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, pp. 437–523.Google Scholar
28 La Rectification, Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, p. 173, l. 23–25.Google Scholar
29 Ibid., proposition 3, pp. 170 sqq.
30 L'Optique de Claude Ptolémée dans la version latine d'après l'arabe de l'émir Eugène de Sicile, Édition critique et exégétique augmentée d'une traduction française et de compléments par Lejeune, Albert (Leiden, 1989), p. 37.Google Scholar
31 S'agit-il de véritables épîtres ou d'un procédé de composition? Cette présentation est très fréquente dans les écrits philosophiques et scientifiques d'al-Kindī. Pour s'en convaincre, il suffit de lire les débuts des différents opuscules [ Rasā'il al-Kindī al-falsafiyya, éd. Rīda, Abū, 2 vol. (Le Caire, 1950–1953), vol. I, pp. 97, 186, 194, 201, 214, 244, 265, 272, 300, 353, 363; vol. II, pp. 40, 48, 54, 64, 70, 76, 80, 90, 101, 110].Google Scholar
32 Une simple comparaison entre le prologue de la Rectification et ceux d'autres opuscules suffit pour montrer cette uniformité. Donnons quelques exemples parmi beaucoup d'autres.Google Scholar
Ainsi, une expression comme se retrouve à une lég`re variante près dans l'édition d'Abū Rīda, vol. I, pp. 194, 265, 272; vol. II pp. 64, 90,110.
L'expression se retrouve avec quelques variantes vol. I, p. 293; vol. II, pp. 48, 76, 80, 103, 110.
La construction se retrouve par exemple le, dans vol. I, pp. 194, 201, 265, 353.Google Scholar
On peut ainsi multiplier les exemples qui illustrent ce style particulier d'al-Kindī.
Voir à ce propos Rashed, R., “Al-Kindī's commentary on Archimedes' ‘The measurement of the circle’,” Arabic Sciences and Philosophy, 3.1 (1993): 7–53CrossRefGoogle Scholar, aux pp. 52–3. On retient des expressions comme autant d'expressions que l'on retrouve dans les écrits d'al-Kindī.
33 Voir notes complémentaires à la Rectification, Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, par exemple pp. 338–9.Google Scholar
34 Wiedemann, E., “Aus al-Kindîs Optik,” dans Sitzungsberichten der physikalischmedizinischen Sozietät zu Erlangen, Bd. 39 (1907), pp. 245–8; repris dansGoogle ScholarAufsätze zur arabischen Wissenschafts-Geschichte, Bd. 1 (Hildesheim, 1970), pp. 396–9, voir notamment p. 399.Google Scholar
35 Ce texte se trouve en effet à la suite de celui d'al-Tūsī dans la plupart des manuscrits que nous avons consultés.Google Scholar
36 Ce fragment est établi et traduit dansGoogle ScholarRashed, L'optique et la catoptrique, Appendice I.Google Scholar
37 Ibid, p. 539, l. 9–12.
38 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 327, l. 7–11.Google Scholar
39 MSS L, fol. 104; I, fol. 73r; Q, fol. 90v.Google Scholar
40 Voir les éditions non critiques de al-Dimirdāsh, A.S., “Nasīr al-Dīn al-Tūsī wa Kitābuhu Tahrīr al-Manāzir li-Uqlīdis,” Revue des manuscrits de la Ligue Arabe du Caire, vol. 9 (1963): 243–90, à la p. 288;Google Scholaral-Tūsī, Nasīr al-Dīn, Kitāb al-Manāzir (Hyderabad, 1939/1358), p. 23.Google Scholar
41 la, VoirRectification, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 320.Google Scholar
42 Voir Appendice I, dans Rashed, L'optique et la catoptrique, p. 539, l. 7–8.Google Scholar
43 Édition et traduction Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, Appendice III.Google Scholar
44 C'est Y.T. Langermann qui a attiré mon attention sur cette version hébraïque: MS. Vat. Heb. 378. Il a repris cette information dans un article récent “Arabic writings in Hebrew manuscripts: A preliminary relisting,” Arabic Sciences and Philosophy, 6.1 (1996): 137–60, aux pp. 143–5.Google Scholar
45 Voici ce que écrit, M. Krause: “Genannt werden Euklid, Aristoteles, Hippokrates und Galen, dagegen kein islamischer Gelehrter,” dans “Stambuler Handschriften islamischer Mathematiker,” Quellen und Studien zur Geschichte der Mathematik, Astronomie und Physik, Bd. 3 (1936), pp. 437–532, à la p. 513.Google Scholar
46 Rashed, R., “Fūthītos (?) et al-Kindī sur ‘l'illusion lunaire’,” dans ΣOΦIHΣ MAIHTOPEΣ “Chercheurs de sagesse.” Hommage à Jean Pépin, Institut d'Études Augustiniennes (Paris, 1992), pp. 534–9, à la p. 543;Google Scholarid. Géométrie et dioptrique au Xe siècle. Ibn Sahl, al-Qūhī et Ibn al-Haytham (Paris, 1993), p. 238;Google Scholarid. “Le Discours de la Lumière d'Ibn al-Haytham (Alhazen),” Revue d'histoire des sciences, 21 (1968): 197–224, à la p. 214, note 2;Google Scholar repris dans id., Optique et mathématiques: Recherches sur l'histoire de la pensée scientifique en arabe, Variorum Reprints (Aldershot, 1992); id. “Geometrical optics,”Google ScholarRashed, dans R. (éd.), Encyclopedia of the History of Arabic Science (London, 1996), pp. 643–71, à la p. 656.CrossRefGoogle Scholar
47 C'est ce qui ressort de l'introduction de ‘Utārid à son livre al-Anwār al-mushriqa fi 'amal al-marāyā al-muhriqa, MS Istanbul, Süleymaniye, Laleli 2759/1, fol. 1v–2r.Google Scholar
48 Sabra, Voir A.I., The Optics of Ibn al-Haytham. Books I-III on Direct Vision. Translated with Introduction and Commentary, Studies of the Warburg Institute, vol. 40, i–ii, 2 vol. (London, 1989), vol. II, pp. XXV–XXVI. À ces méprises, A.I. Sabra en ajoute quelques autres, lorsqu'il attribue un autre texte d'al-Kindī sur les Grandeurs immergées dans l'eau, que Muhammad ibn al-Haytham s'est borné à reprendre, au mathématicien al-Hasan ibn al-Haytham; deux auteurs qu'il faudra bien, soit dit en passant, cesser un jour de confondre.Google ScholarRashed, Voir, L'optique et la catoptrique, pp. 125 sqq.Google Scholar
49 Rashed, “Geometrical optics,” dans Encyclopedia of the History of Arabic Science, p. 656.Google Scholar
50 Rashed, “Fūthītos (?) et al-Kindī sur ‘l'illusion lunaire’,” pp. 541 sqq.Google Scholar
51 Meyerhof, M., The Book of the Ten Treatises on the Eye Ascribed to Hunain ibn Is-hâq (809–877 A.D.) (Le Caire, 1928).Google Scholar
52 Nūr al-'uyūn fi jāmi' al-funūn, MS Paris, B.N. 3008, fol. 15v–23v; trad. allemandeGoogle ScholarHirschberg, J., Lippert, J. et Mittwoch, E., salāh ad-Dīn. Licht der Augen, aus arabischen Handschriften übersetzt und erläutert (Leipzig, 1905);Google Scholar repris Sezgin, dans F. (éd.), Augenheilkunde im Islam. Texte, Studien und Übersetzungen (Frankfurt am Main, 1986), pp. 206–30; pour les coīncidences entre le texte d'Ibn 'Imacr;sā et celui d'al-Kahhāl,Google ScholarSabra, voir, The Optics of Ibn al-Haytham, vol. II, pp. lxvi–lxvii.Google Scholar
53 Voir MSS Ragip Paşa 934, fol. 5v et Laleli 2759, fol. 26r.Google Scholar
54 La Rectification, Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, p. 255, l. 1–3.Google Scholar
55 Nous allons démontrer qu'Ahmad ibn 'Imacr;sā est postérieur à al-Kindī puisqu'il a compilé la Rectification ainsi que d'autres écrits de celui-ci. Il a compilé par ailleurs Les dix livres sur l'œil de Hunayn ibn Ishāq. Ses propres commentaires montrent de plus qu'il ne s'agit pas d'un savant de premier rang. Or al-Nadīm mentionne un artisan des instruments astronomiques et scientifiques (min sunnā' al-ālāt)”: Ahmad ibn 'Alī ibn 'Īsā. Si ce dernier, comme il est vraisemblable, était bien le fils de 'Alī ibn 'Īsā, lui-même artisan des instruments astronomiques et protégé d'Ibn Khalaf al-Marwarrūdhī, alors Ahmad serait un homme du Xe siècle ou, à l'extrême rigueur, de la toute fin du IXe siècle. Toute la question est de savoir si Ahmad ibn 'Alī ibn 'Īsā était le même qu'Ahmad ibn 'Īsā. D'autres informations sont nécessaires pour pouvoir y répondre.Google Scholaral-Nadīm, Voir, Kitāb al-fihrist, éd. Tajaddud, R. (Téhéran, 1971), pp. 342–3.Google Scholar
56 Al-Manāzir wa al-marāyā al-muhriqa, MS Ragip Paşa 934, fol. 82r.Google Scholar
57 Ibid., fol. 82v. Ibn 'Īsā regroupe la figure de cette proposition et celle de la proposition 15 de la Rectification.
58 Ibid., fol. 5v–6v. Au cours de l'impression de L'optique et la catoptrique (p. 62, l. 10), il y a eu un saut du même au même: (l.11–12); lire aussi p. 163, l. 19 au lieu de
59 Comme exemples d'expérience qualitative, voir Ibn 'Īsā, ibid., fol. 12r, 13r.
60 Ibid., fol. 91r–93v.
61 Ibid., fol. 89r.
62 MS L, fol. 84.
63 La Rectification, Rashed, dans, L'optique et la catoptrique, p. 189, l. 10.Google Scholar
64 Ibid., p. 189, l. 11.
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- Cited by