1. M. Dubuisson, «Problèmes du bilinguisme romain », Les Études classiques, 49, 1981, pp. 27-45, et « Utraque lingua », L'Antiquité classique, 50, 1981, pp. 274-286.

2. Illustration de ce que l'opposition ne se situe pas entre philologues et historiens, chacun ayant seulement sa méthode d'approche spécifique : l'article consacré par J. H. Michel dans le numéro cité supra de L'Antiquité classique, à deux termes auxquels Y. A. Dauge consacre justement une place importante dans la définition du Barbare, furor et ferocia ; il tente d'éclairer ces notions dont il donne une histoire en intégrant les apports de M. Foucault de G. Dumézil et des ethnologues (” La folie avant Foucault : furor et ferocia »). Cela me semble plus fécond pour l'analyse de ces notions que le recours à la philosophie de Ortega y Gasset, bien qu'évidemment cela soit « à la mode ».