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Une source inédite : Les cahiers du chimiste Jean Hellot (1685-1766)

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

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Au cours d'un séjour à Caen, nous avons eu la bonne fortune de découvrir à la Bibliothèque municipale neuf cahiers manuscrits du XVIIIe siècle qui offrent un grand intérêt pour l'histoire de l'industrie minérale, pour celle des techniques, et reproduisent même des textes inédits de Réaumur. Ces cahiers, restés jusqu'à présent ignorés des historiens, sont composés de feuillets de notes prises par le chimiste réputé Jean Hellot qui, à partir de la cinquantaine, siégea à l'Académie royale des Sciences.

De sa vie on ne sait guère plus que le peu qu'en a dit Grandjean de Fouchy dans l'éloge prononcé à l'Académie le 9 avril 1766. Né à Paris le 20 novembre 1685, instruit dans le milieu familial, Hellot donne des articles littéraires à la Gazette à partir de 1718, voyage en Angleterre en 1720 et à son retour se trouve presque entièrement ruiné par la débâcle du système de Law.

Type
Documents et Problèmes
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1966

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References

page 357 note 1. Papiers Hellot, 9 vol., Bibliothèque de Caen, Ms. 140. Sur ce fonds, dont on ne sait comment il est venu à Caen, cf. G. Lavalley, Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque de Caen (1880), pp. 205-208.

page 357 note 2. Histoire de l'Académie royale des Sciences, année 1766 (1769), pp. 167-172. L'Académie des Sciences possède un très mince dossier sur Hellot ; la Bibliothèque nationale conserve une de ses lettres à Macquer (n.a.fr. 12305, f° 374).

page 357 note 3. Hellot n'est pas mentionné dans les registres de la Faculté de Droit (Arch. nat., M M 1122) ni dans la collection de thèses conservées à la Bibliothèque de la Faculté de Médecine de Paris (Mss. 2321 et 2325).

page 357 note 4. Institut de France, Index bibliographique des membres et correspondants de l'Académie des Sciences du 22 décembre 1666 au 15 novembre 1954 (1954).

page 358 note 1. The record of the Royal society of London for the promotion of nature knowledge, (London, 1940), p. 406.

page 358 note 2. La liste de ses mémoires figure dans la Table générale des matières contenues dans l'Histoire et dans les Mémoires de l’Académie royale des Sciences (par P. Demours) : 1731-1740, p. 174 ; 1741-1750, pp. 230-231 ; 1751-1760, pp. 245-246 ; 1761- 1770, p. 279. Contrairement à une indication de Jacques Proust, Diderot et l'Encyclopédie (1962), p. 187, Hellot n'a pas participé aux Descriptions des arts et métiers faites ou approuvées par MM. de l'Académie royale des Sciences.

page 358 note 3. Ainsi trouve-t-on des essais de nouveaux procédés d'affinage de cuivre faits par Hellot (Arch. nat., F1 2 2222).

page 358 note 4. Fouchy (Jean-Paul Grandjean DE), Éloge de M. Baron (Histoire de l'Académie royale des Sciences, année 1768, 1770), pp. 134-143. Sur le rôle d'Hellot et de Baron dans l'évolution de la réglementation minière en France, cf. A. Birembaut, L'enseignement de la minéralogie et des techniques minières, dans Enseignement et diffusion des sciences en France au XVIIIe siècle, 1964.

page 358 note 5. Ms. 2755 (Préface de la traduction de Schluter et recueil d'indications des mines de France), 2756 (Notes et observations sur les mines de France).

page 358 note 6. Il s'agit, en réalité, d'un travail original, dans lequel Hellot a considérablement développé la traduction littérale du livre de Schluter, Grùndlicher Vnterricht von Hùtte-Werken… nebst einem vollstândigen Probier-Buch (Braunschweig, 1738) qu'avait faite l'ingénieur saxon Kcenig, employé dans les mines de Basse-Bretagne. La préface du tome I précise la procédure d'instruction des demandes de concessions minières (” Quoique le Ministère souhaite qu'on exploite les mines du royaume, qu'il soit même disposé à accorder toute sorte de protection à ceux qui les entreprennent, il veut en même temps prévenir leur ruine ; et il n'accorde les concessions que lorsqu'il est convaincu que l'entreprise peut réussir et donner du bénéfice. C'est dans cette vue qu'on exige ordinairement de ceux qui demandent des concessions qu'ils respondent aux questions suivantes… »). Suit pp. 1-70 un « É t a t des mines du royaume, distribué par province » ; les marges dans l'exemplaire interfolié de la réserve de la Bibliothèque nationale, coté à Schluter contiennent de monbreuses notes manuscrites d'Hellot.

page 359 note 1. Billet de convoi : Bibl. nat., pièces originales 1504. « Malgré le grand âge auquel il était parvenu, écrit Fouchy, il jouissait d'une santé assez bonne et qui n'était altérée que par un asthme auquel il était sujet depuis longtemps et par une enflure de jambes qui lui était survenue depuis quelques années ; mais ces infirmités n'allarmaient point ses amis ; on s'aperçut seulement il y a environ trois ans, d'un léger affaiblissement de sa mémoire qu'il avait eue jusque-là excellente. » Notons qu'Hellot possédait un cabinet de minéraux qui fut racheté, à sa mort, par Claude Varenne de Beost (Catalogue des curiosités naturelles, qui composent le cabinet de M. de ***…, 4 juillet 1774).

page 359 note 2. Ainsi dans le vol. 9 Hellot écrit : « Sonde. Jean Christian Lehman de Leypsick a inventé des sondes ou forets avec lesquels on peut aller jusqu'à plusieurs centaines de toises de profondeur en terre. Il y a sur cela un petit livre imprimé à Leypsick en 1750, 8°. » C'est sans doute Kcenig qui lui avait signalé ce livre de Lehmann, Beschreibung eines Bergbohrers, que ne possède pas la Bibliothèque nationale.

page 359 note 3. On trouve de tout dans ses Varia au vol. 8, des dimensions de l'arche de Noé au royaume d'Yvetot, du serpent à sonnettes aux scandales du jour : « Julie exilée : Julie femme de chambre de la duchesse de Grammont est exilée le 10 aoûst 1764 à Cambrai chez M. de Choiseuil, archevesque, pour avoir vendu les faveurs de sa maîtresse et les emplois. » Hellot note de menus détails de sa vie : « le mardi 28 août 1764, le Roi vint à Paris incognito, passe sur les boulevards pour se rendre à Choisy. On ne tire point le canon. le même jour, le marquis de Paulmy me vient demander ma voix pour la place d'honoraire qui vaque par la mort du comte d'Argenson, son père… » F0 275, il signale que « Jacques Cassini, pensionnaire vétéran de l'Académie des Sciences, mourut âgé de quatre-vingt ans, à sa terre de Thury, des blessures qu'il avait reçu par la chute de sa calèche sur le chemin », mais il indique une date inexacte pour son décès, le 16 juillet (au lieu du 15 avril 1756). Faute de correspondance, la personnalité d'Hellot demeure mal connue, malgré ses notes et son portrait n'a pas été conservé. « Il était de petite taille et assez replet, ses yeux étincelaient d'une vivacité agréable qui peignait celle de son esprit ; malgré cette vivacité, personne n'était plus doux que lui dans le commerce de la vie, et même dans Vintérieur de sa maison (…). Sa conversation était extrêmement agréable et ne se sentait en aucune façon de la sécheresse de ses études ; il savait Végayer de mille pensées agréables et d'une raillerie fine et délicate, il était aisé de voir qu'il aurait pu aisément la porter jusqu'à l'ironie. »

page 359 note 4. Sur les papiers de Réaumur cf. M. Caullery, Les papiers laissés par Réaumur et le tome VII des Mémoires pour servir à l'histoire des Insectes (1929) et J. Toklais, Réaumur (2e éd., 1961), p. 382 et suiv. Hellot a consulté tous les papiers de Réaumur relatifs aux techniques. Dans ses cahiers (vol. 1, f08 111-112) il copie une lettre du chevalier de Béthune à Réaumur en date du 15 septembre 1728 à propos de l'acier de Cosne : « Nous avons fait une fournée d'acier, du fer d'Ivoy que vous avez vu, qui n'estoit pas beau ni bien forgé faute d'eau. Cependant l'acier en est bon. II a resté 96 heures en grand feu. Si j ‘ en avois esté cru, il n'y seroit resté que 88. Mais Gourdin a si bien fait que j ‘ en ai donné encore huit, qui sont cause qu'il est un peu gerseux… »

page 360 note 1. A la fin du vol. 6 se trouve cette note : « Tous les mémoires ci-dessus ont été rendus dans le tems à M. Jars, de l'Académie des Sciences, qui les avait communiqués comme chose à luy appartenant. Madame Hellot luy fit le cadeau sans faire attention qu'il décomplétait son recueil. M. Jars de Lyon m'a promis de les rendre à M. Trudaine dès qu'il aurait fait paraître l'ouvrage qu'il fait là-dessus ( 1 e r juin 1775)». Antoine-Gabriel Jars est mort en 1769 ; ses Voyages métallurgiques furent publiés par son frère Gabriel en 1774-1781. Il faudrait collationner les textes pour déterminer les omissions et les inédits.

page 360 note 2. « Ces manuscrits achetés par M. Trudaine de Madame Hellot doivent appartenir au Conseil plustôt qu'à la succession Trudaine. Je déclare les garder pour qu'ils ne s'égarent point jusqu'à l'émancipation de Mrs Trudaine à qui je les remettray en leur faisant cette observation. Pour preuve qu'ils ne m'appartiennent pas, j ‘ a y rais leurs armes à chaque volume. Tacher en attendant de ravoir de M. Jars le cahier des mines qui manque. » Cette note (en tête du vol. 1) est de Duchesne (1724-1793), secrétaire des Trudaine père et fils, puis intendant de la maison de la comtesse de Provence (1781). Sur lui, cf. A. Birembaut, « Sur les lettres du physicien Magellan conservées aux Archives nationales » (Revue d'Histoire des Sciences, 1956, pp. 150-151).

page 360 note 3. Les archives de l'Académie des Sciences conservent un carton de brouillons et de notes de Réaumur sur les mines, la physique et l'industrie. Cf. J. Torlais, « Inventaire de la correspondance et des papiers de Réaumur conservés aux archives de l'Académie des Sciences de Paris » (Revue d'Histoire des Sciences, 1959, p. 317), reproduit dans le recueil La vie et l'oeuvre de Réaumur (Centre International de Synthèse, 1962, p. 15).

page 360 note 4. Le cahier comprend 121 pages à ce sujet. Or Bouchu et Courtivron n'ont publié comme « mémoires tirés de M. de Réaumur » que ce qui touche « la construction d'un fourneau et la manière dont on y fond la mine de fer », ainsi que les trompes et les soufflets : mais non les chapitres « de la manière dont on affine la gueuse dans les grosses forges…, de la construction des petits foyers, de la manière dont on y affine la fonte pour la convertir en fer et en acier…, des différentes manières dont on fabrique l'acier dans le Royaume… ». On y trouve des renseignements très précis, par exemple sur la manufacture de Beaumont-la-Ferrière (en Nivernais), sur le mazage, etc. Sur les conceptions métallurgiques de Réaumur, cf. A. Birembaut, Réaumur et l'élaboration des produits ferreux (Revue d'Histoire des Sciences, 1958), pp. 138-166 (reproduit dans La vie et l'oeuvre de Réaumur, op. cit.).

page 361 note 1. Arch. nat., F12 1311.

page 361 note 2. Jean Pilisi, L'enquête ordonnée par le Régent sur les richesses naturelles de la France (1716-1717), Revue d'Histoire des Sciences, 1963 (pp. 373-374) donne quelques indications sommaires sur la documentation, en cours d'étude par l'un de nous (A.B.), conservée aux Archives de l'Académie des Sciences.

page 361 note 3. Le vol. 7 contient des mémoires de Kcenig sur Rive-de-Gier (Observations sur le projet d'une galerie d'écoulement pour les mines de Giers, 4 décembre 1755), sur l'exploitation des mines de Bretagne (1757), ou encore d'autres ingénieurs sur les mines de Montrelais (1756), du Hainaut et de Liège, etc. Pour les mines métalliques le vol. 4 contient des mémoires sur les mines du Forez, sur les exploitations de Blumenstein, sur les mines de Sain-Bel (f° 124 sq., f° 157), sur celles de Poullaouen et de Pontpéan (Guillot-Duhamel, 1755, f° 86-100), etc. Hellot nous apprend que la compagnie exploitant la mine de galène argentifère de Poullaouen mit en service en juin 1748 une « machine à feu » pour l'exhaure (qui ne pouvait être qu'une machine de Newcomen). Sa consommation de charbon ayant été jugée trop onéreuse, on décida en 1749 de la remplacer par des roues hydrauliques. La « machine à feu » fut revendue au duc de Chaulnes et installée en 1756 à la mine de charbon d'Ingrande.

page 361 note 4. On y trouve un mémoire sur les mines d'asphalte de Drachenbronn (vol. 4, f° 32), un autre de Jars sur Sainte-Marie-aux-Mines (f08 32-37), la réponse de l'intendant d'Angervilliers à l'enquête de 1716 sur les mines (f° 33), un mémoire «surl'or qu'on tire des sables du Rhin communiqué par M. d'Heronville » et un extrait d'un mémoire de l'abbé de Gua de Malves sur les orpailleurs (fos 41-45), un rapport sur l'exploitation des mines d'Alsace et de Franche-Comté par M. de Gensanne en 1755 (fos 45-46).

page 362 note 1. Bertrand Gille, Les origines de la grande industrie métallurgique en France (1947), p. XVIII, résume les questions posées dans le mémoire.

page 362 note 2. Ainsi fos 101 sq., Hellot copie l'état des mines du Dauphiné envoyé par l'intendant.

page 362 note 3. « Mes observations sur le projet d'édit concernant l'exploitation des mines de charbon de terre, qui fut lu par M. de Gournay au Comité du 1e r mars 1758 » (vol. 7, p. 100 et suiv.). On ignorait jusqu'à présent ce projet de réforme de la législation minière en 1757-1758 dans le sens de l'extension du droit de propriété foncière au tréfonds (Marcel Rouff n'en dit mot dans sa thèse, où il n'a d'ailleurs pas étudié les conditions dans lesquelles a été élaboré l'arrêt de 1744). Les dispositions du projet de Vincent de Gournay seront reprises par la Constituante dans la loi relative aux mines du 28 juillet 1791.

page 362 note 4. Vol. 2, fus 80-82. Dans le vol. 7, f° 36 Hellot note : « Ceux qui tirent le charbon dans les fosses et mines auprès de Mons-en-Haynaut sont tués souvent par une matière qui s'enflamme subitement et qu'ils nomment feu grisou » et renvoie au Journal de Verdun de décembre 1708. La mention de ce terme par Hellot est la plus ancienne connue ; il est surprenant de ne pas le trouver dans le mémoire présenté le 10 mars 1763 à l'Académie par Duhamel du Monceau, Hellot et Montigny « Sur les vapeurs inflammables qui se trouvent dans les mines de charbon de terre de Briançon ». Morand (L'art d'exploiter les mines de charbon de terre, 1768) signale seulement que dans le Borinage on dit « terou » ou « feu brisou ». — Un mémoire présenté au Régent (vol. 4, f° 22) donne une vue très vivante des compagnies minières : « Cinq ou six personnes s'associaient pour travailler une mine : ils veulent estre tous également maîtres : chacun écoute les ouvriers auxquels il a pris confiance et croit estre en droit d'ordonner pour les avances : de là arrivent les dissensions. On commençait une mine rarement bonne : chacun des associés se félicitait d'une si bonne rencontre. Ils faisaient de médiocres avances : les ouvriers travaillaient négligemment sous des associés aussi peu connaisseurs ; et comme d'ordinaire il n'y a ni bois ni charbon près des mines, on est obligé souvent de porter la mine au lieu favorablement disposé pour la travailler ; on propose de faire là des fourneaux ; ils font encore des avances pour les construire et de l'argent pour faire venir le bois ; on demande de nouveaux fonds ; il se trouve quelqu'un des associés qui n'est pas en état de les faire ; les autres se plaignent et refusent d'en faire aussi. Il n'y a point de supérieur pour les mettre d'accord. Voilà comme les compagnies culbutent et dégoûtent pour l'avenir tous ceux qui auraient dessein de travailler aux mines. »

page 363 note 1. Vol. 4, fos 25-26. Ainsi Koenig recommande-t-il au directeur de mines « qu'il évite soigneusement les trop grandes dépenses en bâtiments, réparations et entretiens, ne les multiplie pas inutilement, mais se contenter du nécessaire plustot que de chercher le beau et le merveilleux. Employer la force des élémens plustot que la main des ouvriers ou le secours des animaux dans le mouvement des artifices. Suprimer aussi, dans les ouvrages, les ouvriers dont on peut se séparer. Ne permettre parmi les ouvriers aucun usage nouveau qui soit contre les ordonnances : ne pas leur augmenter mal à propos leur paye, mais aussi ne pas les violenter sans sujet ». Et encore : « Il aura soin de faire instruire le plus qu'il pourra de jeunes gens de païs dans les opérations qui regardent la fonderie soit dans le travail de la mine et sa préparation. » le caissier « retiendra aussi aux ouvriers tant gagés que journaliers les 4 deniers pour livre de chaque paiment qu'il leur fera, lesquels 4 deniers seront destinés à la guérison et aux soulagement de ceux qui sont malades ou estropiés. Cette retenue sera mise dans une boete fermée à trois clefs. le caissier en aura une, le directeur une autre et le premier maître mineur la troisième. Il sera tenu de tenir compte de la recette de retenue ».

page 363 note 2. Mémoires sur le plâtre et le gypse, et les carrières de Montreuil et Vincennes (vol. 1, f° 110), sur l'émail de la Sainte-Chapelle de Bourges (f° 121), sur la porcelaine (f° 123), etc.

page 363 note 3. Mémoire de M. de Gasville, intendant sur les pipes à tabac qui se font dans la généralité de Rouen (1716), Mémoire de M. Bigue sur la fabrique des poteries de terre de Beauvais, 1718 (vol. 1, f° 163), etc.

page 363 note 4. Notamment pour la manufacture de Montrambert (vol. 8, f08 253-259) avec le détail des ustensiles et ingrédients nécessaires pour étamer et 1’ « état des dépenses pour parvenir à fabriquer un baril de fer blanc ».

page 363 note 5. « Mémoire du I ère d'Incarville sur le coton envoyé de Pékin avec sa lettre du 7 novembre 1755 ; il y traite aussi de la teinture » (vol. 1, f° 131). « Fabrique des toiles peintes et composition des couleurs envoyées des Indes à feu M. le Due, à Chantilly, que le Sr Sylvie… a voulu faire imprimer en novembre 1759 » (vol. 8, fos 178-183).