Hostname: page-component-cd9895bd7-lnqnp Total loading time: 0 Render date: 2024-12-23T10:35:03.888Z Has data issue: false hasContentIssue false

Réponse a la « Note » de E.-M. Laperrousaz

Published online by Cambridge University Press:  26 July 2017

Norman Golb*
Affiliation:
Oriental Institute, University of Chicago

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Polémiques et Controverses
Copyright
Copyright © Copyright © École des hautes études en sciences sociales Paris 1987

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

Notes

1. On a découvert des manuscrits araméens dans le Wadi Dalieh, en Samarie ; mais ceux-ci datent du ive siècle avant notre ère et ne relèvent pas tout à fait de la problématique de notre sujet.

2. Voir la carte illustrant l'hypothèse d'origine jérusalemienne, dans Proceedings, op. cit., p. 11. Dans le même article je montre la position précise des grottes par rapport au site de Khirbet Qoumrân. Cf. ibid., p. 2, carte 2.

3. H. Steoemann, dans Biblical Archaeology Today, J. Amitai éd., Jérusalem, 1985, p. 421, note 4. En ce qui concerne les manuscrits découverts près de Jéricho dans l'Antiquité et le Moyen Age, et l'argument simpliste des défenseurs de l'hypothèse qoumrâno-essénienne touchant la proximité de Jéricho et de Qoumrân (” Note » de l'auteur), voir mon analyse dans Proceedings, op. cit., p. 3 et notes 27-30 in extenso, ainsi que la carte 3 à la page 4, qui montre les grottes et les wadis dans le désert de Judée.

4. Voir le compte rendu détaillé sur les fouilles de la grotte III par Pixner, B., dans la Revue de Qumran, 1983, XI, 1983, pp. 323366.Google Scholar

5. Je n'ai discuté ici que l'essentiel des observations de l'auteur. J'aurais pu signaler encore au lecteur des inexactitudes. La synagogue égyptienne d'où proviennent les milliers de manuscrits de la Guenizah n'a jamais été dans les mains de la communauté caraïte du vieux Caire (Fostat) ; elle fut au contraire la synagogue des « Palestiniens » (les juifs rabbiniques pratiquant les coutumes palestiniennes) de la même ville. Il reste à savoir si on peut légitimement qualifier, comme le fait l'auteur, de « réforme » le mouvement médiéval de recrudescence biblique qu'était le caraïsme.

6. Sur le développement des hypothèses et leur abandon éventuel, voir les ouvrages de Thomas Kuhn et, plus récemment, celui d' Kohn, Alexander, False Prophets, Basil Blackwell, 1986.Google Scholar Sur l'orphisme, voir Dodds, E.R., The Greeks and the Irrational, Berkeley, 1951, p. 147 Google Scholar ss qui parle à cet égard d'« une projection inconsciente, sur l'écran de l'Antiquité, de certaines aspirations religieuses inassouvies, typiques de la fin du xixe et du début du xxe siècle » ; traduction française, Paris, Flammarion, 1977, p. 152.