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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
Les textes, ou plutôt les extraits que nous donnons ci-dessous, se rapportent l'un à l'Italie et à la Turquie de 1525, les autres à l'Espagne et à l'Amérique du XVIe siècle : 1558, 1575, 1580. Un lien fragile unit ces témoignages psychologiques assez curieux, à demi-révélateurs de mentalités, de prises de conscience. Le premier est extrait d'une lettre commerciale vénitienne qu'avait copiée pour moi le Dr Salvatore Carbone, alors archiviste à Z'Archivio di Stato de Venise. Le second et le troisième sont des notes prises par moi, en 1950, dans la correspondance de Simon Ruiz à J'Archivo Provincial de Valladolid. Les quatrième et cinquième documents, qui mettent en cause Philippe II luimême, ont justement retenu l'attention d'un jeune historien, J. Gentil da Silva, Chargé de Recherches au C.N.R.S.
1. Ernesto Schafeb, El Consejo real y supremo de los Indias, t. II, p. 41.
2. Henri Lapeybe, « El Archivo de Simon y Cosme Ruiz », Moneda y Credito, juin 1948.
3. En préparation, à ce sujet, une large publication de Felipe Ruiz Martin, sur la correspondance marchande de Florence et de Gênes.
4. Une famille de marchands, les Ruiz, Paris, Centre de Recherches historiques, 195S.
5. A paraître (publications du Centre de Recherches historiques).
6. « Facteurs sévillans au XVIe siècle », Annales, 1957, n° 1, p. 60.
1. P. 256 et suiv.
2. Sempere Y Guabinos, Biblioteca espanola economica-politica, I, Madrid, 1801, p. ix, note 1 de l'article sur Luis Valle de la Cerda.
1. Simancas, Guerra antigua, liasse 94, f° 43.