page 698 note 2. Douglas Dakin, British and American Philhellènes during thé War of Greek Independence, 1821-1833. Thessalonique, 1955, xn-248 p. (Société d'Etudes Macédoniennes, Institut d'Etudes Balkaniques, n° 8).

page 698 note 3. Sans négliger l'analyse des origines, assez évidentes par ailleurs, de la guerre de l'Indépendance, question qui préoccupe D. Dakin, il nous semble nécessaire de chercher les origines du mouvement philhellénique en Angleterre, qui peuvent s'identifier, en partie, à celles du mouvement français. Voir. Bibicou, Hélène, « Les origines du Philhellénisme français », L'Hellénisme contemporain, Nouvelle Série, t. VII (1953), p. 248–265.Google Scholar

page 699 note 1. Voir aussi le problème Coray. lire la correspondance de Coray et plus spécialement. C. Dimaras, « Coray et Jeanne Wyttenbach, quelques documents inédits (1823-1829) », L'Hellénisme contemporain, Nouvelle Série, t. I (1947), p. 361-371. ou encore p.. d'une Souscription française en faveur des Grecs, par A. F. D. Paris, Imprimerie de. . Didot (1821), où il est dit explicitement. « M. Coray, dont le nom et les vertus sont connus et appréciés dans toute l'Europe, est chargé de distribuer les secours aux Grecs qui se trouvent à Paris. Le surplus des fonds sera employé à fournir à la nation grecque toute l'assistance que les circonstances permettront ». témoignage d'une activité directe d'un Coray âgé de 73 ans, en 1821, pour une régénération de son pays, non seulement culturelle mais aussi politique.

page 699 note 2. Sur cette question, voir l'importante publication de documents par Eugène Dalleggio, Les Philhellènes et la guerre de l'Indépendance (138 lettres inédites de J. Orlando et A. Louriotis), Athènes, 1949 (Collection de l'Institut français d'Athènes), notamment les p. 24-27 et 30-32 de l'Introduction.

page 699 note 3. Les Archives du Comité Philhellénique de Londres, 11 registres ofterts par la lamille Bowring au gouvernement hellénique, Bibliothèque Nationale d'Athènes, K, 1-11. Et aussi. E. S. De Beer et W. Seton,. Byronia. the Archives ol the London Greek Committee , Nineteenth Centurg, t. 103 (1926).

page 700 note 1. Ainsi les documents sur les déplacements et les relations de Cochrane sont assez nombreux.