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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 396 note 1. E.-F. Delécluze, témoin de son temps, 1781-1863, Paris, Boivin, 1942. — Carnet de route d'Italie (1823-24). Texte inédit, Ibid., 1942.
page 396 note 2. Sur qui déjà les Carnets d'Italie abondaient en détails précieux. Naturellement Chateaubriand figure à maintes reprises dans la galerie des familiers de l'Abbaye-aux-Bois. R. Baschet reproduit ce curieux et vivant croquis de Delécluze : Chateaubriand aux funérailles de Girodet, qui ne manque pas de talent ni de vivacité.!
page 396 note 3. Voir notamment le long passage dialogué qui tient les pages 417-425. D'abord une conversation notée par Delécluze entre Beyle et Cerclet, qui part de Joseph de Maistre qualifié de « coquin » par Beyle et défendu par Cerclet ; puis une autre conversation entre Delécluze, Meynier et Cerclet sur Beyle, ses vices et ses vertus : il est franc. — C'est un bon ennemi et il y a plaisir à le combattre. — Ni la vie de Paris ni l'atmosphère des Salons ne lui conviennent) il devient alors factice. — Passionné, il a la manie de se croire et de se dire logicien. — Enfin, -quand on se sent porté à l'aimer, et à le lui dire, il repousse les avances avec brutalité, parce .qu'il ne veut pas d'atteinte à son independence.
page 397 note 1. Beaucoup de jugements ingénieux, ou d'expressions qui restent, beaucoup de croquis vivants : un cours de Villemain en 1827 (p. 397) ; un dîner à l'auberge, la petite auberge pour petits bourgeois que tenait Doyen aux Champs-Elysées (p. 436) ; de très intéressants souvenirs d'enfance de l'auteur (p. 194) ; etc. Tout est à lire.