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3- À la fin du VI^e siècle, les territoires italiens restés sous souveraineté byzantine avaient été placés sous l’autorité d’un exarque, commandant militaire, qui résidait à Ravenne; mais la ville fut prise par les Lombards en 751, ce qui mit fin à l’exarchat.

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6- Un acte napolitain de 866 est daté de la façon suivante : « Imperante domno nostro piissimo perpetuum augusto Michelio porfirogenito a Deo coronato, pacifico, magno, victore imperatore anno vicesimo quarto, nec non et Barda felicissimo Cesar anno secundo » (Codex diplomaticus Cajetanus, I, Mont-Cassin, 1887, réimpr., Isola del’ Liri, M. Pisani, 1969, n° 12).

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39- Martin, J.-M., La Pouille…, op. cit., pp. 277–278 Google Scholar.

40- Voir J. Lefort et J.-M. Martin, « Le sigillion… », art. cit., et supra, n. 19.

41- Ainsi autour du monastère de fondation normande de Santa Maria della Matina : voir Martin, Jean-Marie, « Centri fortificati, potere feudale e organizzazione dello spazio », in Placanica, A. (dir.), Storia della Calabria medievale. I quadri generali, Rome, Gangemi, 2001, pp. 487–522, ici p. 497Google Scholar.

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45- ID., « Centri fortificati… », art. cit., p. 495.

46- ID., La Pouille…, op. cit., pp. 306-317.

47- ID., « Centri fortificati… », art. cit., pp. 507-511.

48- J.-M. Martin et G. Noyé, « Les villes de l’Italie byzantine… », art. cit., pp. 49-50.

49- Martin, J.-M., La Pouille…, op. cit., pp. 272–277 Google Scholar.

50- ID., « Centri fortificati … », art. cit., pp. 495-496.

51- ID., La Pouille…, op. cit., p. 708.

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58- Syllabus Graecarum membranarum…, op. cit., n° 246.

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62- Syllabus Graecarum membranarum…, op. cit., n° 61.

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79- Syllabus Graecarum membranarum…, op. cit., n° 50 : « Sigillion génoménon par’hémou Boamoundou » (Sigillion établi par moi, Bohémond) ; mais il s’excuse à la fin de n’avoir pas de quoi munir l’acte d’une bulle de plomb.

80- Voir Breccia, Gastone, « Il sigillion nella prima età normanna. Documento pubblico e semipubblico nel Mezzogiorno ellenofono (1070-1127) », Quellen und Forschungen aus italienischen Archiven und Bibliotheken, 79, 1999, pp. 1–27 Google Scholar ; A. Peters-Custot, Les populations grecques…, thèse citée.

81- Martin, J.-M., La Pouille…, op. cit., p. 764 Google Scholar.

82- Ibid., pp. 317 et 715.

83- Parmi les agents subalternes de la baiulatio, signalons les griparii de Tarente, attestés à la fin du XII^e siècle, chargés de la surveillance de la pêche et dont le nom est d’origine évidemment grecque (mais pas forcément byzantine).

84- J.-M. Martin, « Centri fortificati… », art. cit., p. 513.

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101- Carte latine…, op. cit., n° 16.

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