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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
page 1173 note 1. Hartley, Anthony, L'Angleterre, une autocritique, Paris, Éditions du Seuil (Collection « L'Histoire immédiate »), 1964, in-8°, 267 p.Google Scholar
On a également traduit le livre publié sous la direction d'Arthur Koestler, Suicide of a Nation ? An Enquiry into the State of Britain today (1963). Citons comme ouvrages du même genre : Michael Shanks, The Stagnant Society (1961) ; G. K.Young, Masters of Indécision (1962) ; J. Morris, The Outriders. A Libéral View of Britain (1963) ; J. Mander, Great Britain or Little England (1963).
page 1173 note 2. Signalons à ce propos S. Brittan, The Treasury under the Tories 1951-1964 (1964) ; J. C. R. Dow, The Management of the British Economy 1945-1960 (1964) ; A. Shonfield, British Economie Policy since the War (2e éd., 1959) ; aussi, quoique plus léger, R. Malk, What's wrong with British Industry (1964).
page 1173 note 3. Il faudrait bien se décider à traduire cette expression autrement que par le cliché déplorable et qui fait faux sens d’ « État-Providence », comme c'est malheureusement le cas dans ce livre.
page 1174 note 1. Un bon exemple de cette attitude se trouve dans E. P. Thompson, Editor, Ont of Apathy (1960), critique de l'affluent society par un groupe de gauche. Mais A. Hartley généralise trop, car bon nombre d'intellectuels anglais vont chercher leur inspiration Outre-Atlantique, et d'autres s'intéressent à la vitalité culturelle de la jeunesse issue de la classe ouvrière ou de la lower middle class et dont le phénomène Beatles est un exemple.
page 1176 note 1. S. Brittan, cité plus haut.