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L'art italien et le rôle personnel de saint François

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

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Dans la quatrième partie de son remarquable exposé relatif aux développements de la piété populaire à la fin du moyen âge, M. l'abbé Delaruelle a consacré un paragraphe au problème de l'art. Qu'il soit remercié d'avoir ainsi souligné la valeur pour l'histoire du témoignage figuratif. Mais qu'il soit permis également à un historien de l'art de regretter, chez les historiens tout court, un certain manque de connaissances, parfois un peu gênant, dans son domaine propre.

Type
Débats et Combats
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1956

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References

page 481 note 1. Rapport présenté au Xe Congrès international des Sciences historiques à Rome (4-11 septembre 1955) et publié dans le vol. III des Relazioni : Storia del Medioevo, Florence, Sansoni, 1955, p. 461-466. L'article qu'on va lire a été également présenté par son auteur au Congrès de Rome au cours de la discussion des différents rapports relatifs aux Movimenti religiosi popolari ed eresie del Medioevo.

page 482 note 1. On songe principalement aux ouvrages de F. Antal, Florentine painting and his social background, Londres, 1947 et Meiss, M., Painting in Florence and Siena after the Black Death, Princeton, 1951 Google Scholar. Notre ami Y. Renouard en a rendu compte ici même.

page 482 note 2. Histoire de la peinture italienne publiée sous la direction de Francastel, P.. Tome I, Du Byzantin à la Renaissance, par Galienne Francastel, Paris, Tisné, 1955 Google Scholar.

page 483 note 1. Il ne saurait être question de reprocher aux historiens de ne pas suivre, au jour le jour, les méandres de la recherche critique en matière d'art. Il existe, toutefois, quelques sources documentaires importantes et assez aisément accessibles qui permettent non seulement de dépasser les thèses de Thode ou de L. Gillet, mais de prendre contact avec la masse des matériaux sur lesquels repose nécessairement une interprétation actuelle du franciscanisme artistique. On ne citera que L. Coletti,Primitivi, Novare, 1946, et G.Sinibaldi et Brunetti, G., Pittura italiana del Duecento e Trecento. Catalogo délia Mostra giottesca del 1937, Florence, 1938 Google Scholar.

page 484 note 1. Cf. notamment Sandberg-Vavala, E., La Croce dipinta tialiana, Vérone, 1929 Google Scholar.

page 484 note 2. La Vierge de Guido d'Arezzo à Sienne (Palazzo Publico) — tête repeinte — est de 1270 Une autre, aux Offices, lui est attribuée. Normalement, en Italie, au a n 1 siècle, la Vierge est encore frontale. Ensuite, vue de trois quarts (Guido). La première qui penche la tête est celle du dyptique de l'Académie de Florence. Autres Vierges, qui se rapprochent de la Ruccellai : à la Pinacothèque d'Arezzo ; de Coppo di Marcovaldo aux Servi à Sienne ; une autre proche de Cimabue au Musée de Pise.

page 484 note 3. Il s'agit du Paliotto dit de Berardenga (en provenance de l'abbaye de ce nom) à la Pinacothèque de Sienne.

page 485 note 1. Cf. le Paliotto de Saint-Jean-Baptiste à la Pinacothèque de Sienne (avec 12 compartiments) ; celui de Saint-Zénobie avec des scènes de sa vie à l'OEuvre de Florence (attribué au Maître du Bigallo) ; celui de la Madeleine à l'Académie de Florence ; celui de Saint-Pierre à la Pinacothèque de Sienne (6 compartiments).

page 485 note 2. Coletti, L., Gli Af/reschi délia basilua di Assisi, Bergame, 1949 Google Scholar.