page 508 note 1. Eugène Pottier, ouvrier, poète, communard, auteur de l'Internationale. OEuvres complètes réunies et présentées par Pierre Brochon, Paris, F. Maspéro, 1966, 255 p.

page 508 note 2. Brochon, Selon P. (La chanson sociale de Béranger à Brassens, éd. ouvrières, 1961)Google Scholar, le mot vient d'un vieux terme de la Saintoage et du Poitou : gogue signifie « boudin ». Le terme renvoie aux coutumes de ces sociétés chantantes où l'on mangeait le lapin et le cochon en buvant d'abondance et en poussant la chansonnette politique, patriotique, anticléricale et sociale.

page 508 note 3. Cf. au sujet de la nouvelle actualité de Fourier, les travaux de l'historien soviétique Johanson Zilberfarb (la Revue Internationale de Philosophie a publié de lui en 1962, dans son n° 60, une étude bibliographique sur Fourier, et le Mouvement Social, en juillet-septembre 1967, une mise au point critique), et le livre récent et suggestif d'Emile Lebrouck, Fourier aujourd'hui, paru en 1966 dans les « Dossiers des lettres nouvelles ».

page 509 note 1. Voir également Maurice Choury, « Eugène Pottier, auteur de l'Internationale », La Pensée, déc. 1966, pp. 73-88.

page 509 note 2. Écrite en 1871, à la fin de la Commune, l'Internationale fut mise en musique sur la demande de Gustave Delory, par Paul Degeyter, dans le cadre de la Fédération du Nord du Parti Ouvrier Français.

page 510 note 1. Cf. à leur sujet le tome VIII, d'un maniement commode, de l'Histoire de France par les chansons de P. Berger et F. Vernillat. Les commentaires en sont pourtant plus rapides et, partant, plus superficiels que ceux de Brochon.