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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
1. Mars-avril 1965, pp. 291-300.
2. Éditeur : Erminie Wheeler-Voegtlin, Room 206, Press Building, lOth and Morton Streets, Indiana Bloomington University.
page 955 note 1. The Historian in Tropical Africa, Oxford University Press, Londres, 1964, pp. 48-49.
page 955 note 2. Cahiers d'Études Africaines, 1962, n° 7, p. 337.
page 955 note 3. LAROSE, 1933, 43 p.
page 956 note 1. « Positions, problèmes et méthodes de l'Histoire africaine », Séance du 7 octobre 1962, Bulletin de la S.H.M., n° 23, pp. 7-10.
page 956 note 2. « L'Histoire des peuples de l'Afrique noire : branche de l'ethnologie ou science à part entière ? », Journal of African History, Londres, janvier 1961, II, pp. 15-25; « L'Histoire africaine et ses problèmes », Latitudes, n° spécial 1963, pp. 48-61.
page 957 note 1. Cf. le compte rendu que j'ai fait de L'avènement de l'Afrique noire dans le Bulletin de la Société d'Histoire moderne, n° 2, 1964, pp. 18-20.
page 957 note 2. « Le problème des navigations dieppoises au XIVe siècle (adhuc sub judice lis est) » in France Eurafrique, n° 160, mars 1965, pp. 35-39 et n° 161, avril 1965, pp. 2-4.
page 958 note 1. Le Dahomey, P.U.F. (Que sais-je ?), 1965, p. 125.
page 958 note 2. Ainsi, p. 297 : « Il (c'est de moi qu'il s'agit) n'aime pas ceux qu'il appelle les historiens professionnels. Que leur reproche-t-il donc si ce n'est leur excessive prudence î Dans sa récente Histoire de l'Afrique, t. I, Des origines au XVIe siècle, par exemple, il fait grief à « Charles de la Roncière, Charles André Julien, Mollat et Raymond Mauny » d'avoir considéré comme un mythe les navigations dieppoises sur les côtes ouest africaines au XVIe siècle… » Mais la phrase incriminée par M. Brunschwig ne concerne nullement les quatre historiens en cause (dont l'un, Raymond Mauny, est d'ailleurs un ancien administrateur) pour lesquels j'éprouve des sentiments d'amitié, d'estime et de respect. Mon point de vue est ainsi exprimé : « La tradition orale africaine, malgré tous les efforts effectués depuis plusieurs décennies par les spécialistes de l'Histoire africaine, est encore très mal accueillie par les Historiens « professionnels ». C'est une constatation… M. Brunschwig veut aller plus loin et me poser en ennemi des Historiens de métier. Ce qui n'est évidemment pas le cas. Ce que j ‘ a i voulu dire est simplement que la formation des « professionnels » et sous ce vocable je désignais à la fois les archivistes et les professeurs, ne les prédisposait pas à bien accueillir les traditions orales.