2. G. Perjès, Mezôgazdasdgi iermelés, népesség, hadseregélelmezés es Stratégia a 17. szdsad mdsodik felében (1650-1715) (Production agricole, population, ravitaillement des armées et stratégie dans la seconde moitié du XVII^e siècle), lecteurs : Benczedi, L. et Makkai, L.. Vol. 29 des Ertekések a a tOrténeti tudomdnyok Kôrebol (Communications du Cercle de la science historique), Akadémiai Kiado, Budapest, 1963, 189 pGoogle Scholar. Distribué avec un résumé de 2 p. ronéotypées en anglais.

1. Tel le colonel Reboul, L''Armée, coll. « La Vie au XVIII^e siècle », Seheur, 1931, dont Perjés a cité la contribution à l'Histoire de la Nation française dirigée par G. Hanotaux, t. VIII, 1, 2^e partie, 1925.

page 837 note 2. D'Aulnay, Duphé, Traité général des subsistances militaires, Paris, 1744, p. III–IV Google Scholar, cité par G. Perjés, p. 168, n° 11. Ce dernier utilise, en réalité, la littérature de tout le XVIII^e siècle — et non un manuel du munitionnaire plus ancien, uniquement pratique, il est vrai : P. P. Nodot, Le munitionnaire des armées de France, 1702.

page 837 note 3. A en croire E. Nouvelle, Dictionnaire militaire, art. « Viande », Dresde, 1751 (Perjés, p. 101, n° 45).

page 837 note 1. Voltaire, « toujours lui ! » (Colonel Reboul, op. cit., p. 7, qui définit ainsi Candide : « réquisitoire hideux contre le métier des armes »).

page 837 note 2. Nous entendons bien que l'auteur a utilisé de nombreuses correspondances publiées et l'Archivum Rakoczianum, mais seulement à titre d'exemples. Nous remercions Mme G. Haupt de nous avoir aidé à surmonter en partie la barrière des langues.

page 837 note 3. En France, une étude du séjour des armées en Provence au XVIII^e siècle est en cours, aux Archives historiques de la Guerre, sous la direction de Ruggiero ROMANO.