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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
Au regard de l'historien, c'est dans leur expression et leur fonction sociale que réside l'essence même des phénomènes culturels auxquels appartiennent l'écriture, sa diffusion et les échanges sociaux qu'elle suscite. Avant d'aborder l'étude des problèmes liés à ses aspects sociaux et à son rayonnement en Russie, soulignons que l'opinion formulée ici résulte des découvertes particulièrement intéressantes faites dans ce domaine au cours des dernières années. Non seulement l'étude des sources enrichit nos connaissances, mais elle pose aussi la question d'un approfondissement des notions acquises et d'une interprétation nouvelle des témoignages fournis par les documents déjà connus et dépouillés depuis longtemps.
page 13 note 1. V. A. S. Ohlov, Bibliografîa drevnerusskich nadpisej XI-XV v. (Bibliographie des inscriptions russes du x i 8 au xv8 siècles.) 2e éd. Moscou-Leningrad, 1952. Pour les découvertes importantes des années suivantes, Cerepnin, v. L. V., Russkaja Paleografja (La Paléographie russe), Moscou, 19S6.Google Scholar
page 13 note 2. Arcichovskij, A. V., Tichomirov, M. N., Novgorodskije gramoty na bereste (Les inscriptions de Novgorod sur l'écorce de bouleau.) Résultats des fouilles de 1951, Moscou, 1953 Google Scholar ; Arcichovskij, A. V., Novgorodskije gramoty na bereste (même titre). Résultats des fouilles de 1952, Moscou, 1954 Google Scholar ; Arcichovskij, A. V., Borkovskij, I. V., Novgorodskije gramoty na bereste (même titre). 1. Résultats des fouilles de 1953-54. Moscou, 1958.Google Scholar 2. Résultats des fouilles de 1955. Moscou, 1958. L'emploi de l'écorce de bouleau pour ce but n'était pas une spécialité de Novgorod. Ce système était connu dans toute la Russie ; c'est seulement grâce aux conditions naturelles — l'humidité du terrain assouvi de sels minéraux — que les inscriptions de Novgorod ont pu être conservées jusqu'à nos jours.
page 15 note 1. Pamjatniki russkogo praoa XI-XII ». (Les monuments du droit russe du x“ au xn” siècles.) I, Moscou, 1952, p. 241, 245.
page 15 note 2. Avdusin, D. A. et Tichomirov, M. N., « Drevnejsaja russkaja nadpra » (La plus ancienne inscription russe.) Vestnik Akademii Nauk SSSR, n° 4, 1950, p. 74 ss.Google Scholar
page 15 note 3. Cf. Georgev, E., Slavjanska pismiennost do Kirilla i Medtodia (L'écriture slave d'avant Cyrille et Méthode), Sofia, 1952 Google Scholar ; Dos Aufblûhen der slaviscken Schrifttums in Bulgarien in IX. Jahrhundert, Vortrage auf der Berliner Slavistentagung, 11-13 nov. 1954, Berlin, 1956 ; Lehr-splawinski, T., Rozprawy i szkice z dziejooekjltury Slowian. (Etudes et esquisses sur la civilisation des Slaves.), Varsovie 1954, p. 149 Google Scholar ss. ; Tjubeckoj, N., Altkirchenslavische Grammatik, Schrift Laut und Formensystem, Vienne, 1954 Google Scholar ; Vaillant, A., « L'alphabet vieux-slave », Revue des Etudes slaves, Paris 1955, t. 32, p. 1–31 Google Scholar ; E. Granstbem, Oproischozdeni glagoliceskoj azbuki (Sur la provenance de l'alphabet glagolite), Trudy Otdela drevnerusskoj Uteratury (ensuite désigné par : Todrl), Moscou-Leningrad, 1955, t . XI, p. 300-313.
page 16 note 1. Cf. G. v. Rauch, « Frûhe christliche Spuren in Rusland », Saeculum, 1956, p. 40-67.
page 16 note 2. D. S. Lichacev, Istoriceskije predposylki vozniknovenija russkoj pismennostii russkoj Uteratury. (Les sources historiques concernant la genèse de l'écriture et de la littérature russe). Voprosy Istorii 12, 1951 ; La naissance de la littérature russe, Moscou-Leningrad. 1952 ; Cf. aussi A. Gieysztor, «Zagadnie historii kultury staroruskiej. Skladniki rodzime i obce » (Au sujet de l'ancienne civilisation russe. Eléments natifs et étrangers). Studia Historica, 35, lecie pracy naukowej Henryka Lowmianskiego, Varsovie, 1958, p. 73-89.
page 17 note 1. Cf. A. Vaillant, O. C, p. 14 ss.
page 17 note 2. Jakubinskij, L. P., Istorja drevnerusskogo jazyka (Histoire de la langue russe), Moscou 1953, p. 87 Google Scholar ss. ; Mikucki, S., Etudes sur la diplomatique msse la plus ancienne. Cracovie 1953.Google Scholar Extrait du Bulletin de l'Académie polonaise des Sciences, des Lettres. Classe de Philologie, Classe d'Histoire et de Philosophie, n° 7, 1953.
page 18 note 1. Cf. L'introduction de V. V. Vinogradov dans le livre de L. P. Jakubinskij, O C. contenant les thèses de son allocution exposée au cours de la troisième conférence des Unions Soviétiques consacrée à la littérature de l'ancienne Russie, — sur les directions du développement de l'ancienne langue russe littéraire. Izvestja Akademii Nauk SSSB otd. literatury i jazyka, Moscou, 1958, t. XVII ; v. aussi revue de travaux concernant ce sujet dans Jefimov, A. I., Istorja russkogo literaturnogo jazyka. (Histoire de la langue russe littéraire), Moscou, 1957.Google Scholar
page 18 note 2. V. récemment E. Georgev, « Osnovnyje voprosy vozniknovenija staroslavjans kof. starobulgarskof literatury i staroslavjanskogo-starobulgarskogo literaturnogo jazyka » (Les problèmes fondamentaux du commencement de la littérature vieilleslave, vieille bulgare et de la langue littéraire vieille-slave, vieille bulgare), Slavjanskaja Filologja, I, Moscou, 1958, p. 238-242 ; cf. aussi Nikolaev, V., Slavjano-bulgarskijat faktor v christijanizacjata na Kievska Rusija (Le rôle des éléments bulgaro-slaves à l'heure de la christianisation de la Russie de Kiev), Sofia 1949.Google Scholar
page 19 note 1. Cf. Sobolkvskij, A. I., Materialy i issledowania v oblasti slavianskoj filologii i archeologii. Ossobennosti russkich perevodov do mongolskogo perjoda (Documents et études sur la philologie et l'archéologie slaves. Le caractère des traductions russes jusqu'à la période mongole.) St-Pétersbourg, 1910, p. 152–177.Google Scholar
page 19 note 2. Cf. Seliscev, A. M., « Ojazyke Russkoj Pravdy w swjazi z voprosom o'drevnejsim tipe russkogo literaturnogo jazyka » (De la langue de Russkaja Pravda considérée comme le plus ancien type de la langue russe littéraire), Voprosy Jazykoznanija, 4, 1957.Google Scholar
page 19 note 3. Paleograficeskij i lingvisticeskij analiz novgorodskich berestjanych gramot (L'analyse paléographique et linguistique des inscriptions sur écorce de bouleau de Novgorod), Moscou, 1955.
page 20 note 1. Tout en nous rendant compte du manque de précision de la terminologie traditionnelle, ce qui fut déjà remarqué par ustav, Th. Eckhardt, « Glossen zur Paleographischen Terminologie », Wiener Slamistischer Jahrbuch, Bd. 4, 1955, p . 130–146 Google Scholar, nous l'employons dans cet article afin d'être mieux compris. Nous supposons aussi que tout changement dans la terminologie devrait être précédé par une nouvelle classification analytique très précise de tout le matériel paléographique cyrillique.
page 20 note 2. Kabinskij, V. N. M., Obrazcy pisma drevwjsegoperioda isturii russkoj knigi (Modèles de l'écriture employée à la plus ancienne époque du livre russe.) Leningrad, 1925 Google Scholar, tabl. 20 ; Vizantijskoje stichotoorenije alfavitar w russkom spiske XI v. (Le poème byzantin « Abecedarium » dans un manuscrit russe du xi° siècle.) Izvestja po russkomii jazyku i slovesnosti. Leningrad, 1930, t. I I I , liv. 1, p. 254-266.
page 20 note 3. Cf. L. V. Ceresnin, O. C , p. 151 et le compte rendu de ce livre par E. Granstrem, Istorja SSSR, n” 2, 1958, p. 160-163.
page 21 note 1. Cf. L'article de L. Zukovska, dans le recueil cité plus haut, p. 19, note 3.
page 22 note 1. Cf. les conclusions différentes basées sur les sources de l'Europe occidentale Robig, P., « Mittelalter und Schriftlichkeit », Die Welt als Geschichte, Jg. XIII, 1953 Google Scholar, H. l , e t compte rendu de Mlle B. Kûrbis dans Studia Zrodloznawcze. Commentationes, Varsovie, 1957, t. I, p. 256-6 et Gieysztor, A. « Problemkarolinskiej.reformy pisma », (Le problème de la réforme carolingienne de l'écriture), Archeologia, 1955, t. V, p. 155– 177.Google Scholar
page 22 note 2. C'est M. A. Gieysztob qui, s'occupant lui-même de ce problème, a bien voulu attirer mon attention sur ce sujet.
page 22 note 3. Juskov, V. S. V., Issledowanije po istorii russkogo prava. I. Vstav hanjazja Vladimira (Etudes sur l'histoire du droit russe. I. Le statut du prince Vladimir), Novouzensk, 1926, p. 150.Google Scholar
page 23 note 1. Janin, W. L., « Drevnejsaja russkaja pecat X veka » (Le plus ancien sceau russe du x° siècle), Kratkije Soobscenija Instituta Istorii Materialnoj Kultury, 57, 1955, p. 394.Google Scholar
page 23 note 2. Cf. Novgorodskaja letopis mladsego i starsego izvodov (La chronique de Novgorod…), Moscou, 1950 ; Ilijn, N. N., Letopisnaja statja 6523 goda i ej istocniki (La relation de la Chronique de l'année 1015 et ses sources) Moscou, 1957, p. 129 ss.Google Scholar
page 23 note 3. V. M N. Tichomihov, Gorodskaja pissmennost v drevnej Rusi XI-XIII vekov (La scripturalité urbaine dans l'ancienne Russie des XIe-XIIIe ss.), Todrl, t. IX, 1953, p. 57.
page 23 note 4. Lichacev, D. S., « Russkij posolskij obycaj XI-XIII v. » (Le protocole diplomatique russe des XI-XIII s.) Istoriceskije Zapiski, 18, 1946, p. 40 ss.Google Scholar
page 23 note 5. Povest Vremennych Let (Le récit des années), t. I, Moscou, 1950, p. 182. D. S. Lichacev cite dans son ouvrage (v. plus haut, note 2, p. 16) un matériel abondant. Son interprétation toutefois est différente.
page 24 note 1. Gramoty Welikogo Novgoroda i Poskova. (Les documents du Grand Novgorod et de Pskov), Moscou-Leningrad, 1949, n° 831.
page 24 note 2. M. Tichomirov, O. C, p. 58-59.
page 24 note 3. Voir W. L. Janin. Wislye piecati iz Novgorodskich raskopoll 1951-1954. (Les bulles des fouilles de Novgorod 1951-54.) Trudy Novgorodskoj Archeologiceskoj Ekspedycji, Moscou, 1956, t . I, p. 138 ss. et Tichomirov, M. N., Drevnerusskije goroda (Les anciennes villes en Russie), 2e éd., Moscou, 1956, p. 217–224.Google Scholar
page 24 note 4. L'existence de l'institution des notaires publics est certifiée pour Novgorod au xiv e siècle. Cf. N. Lichacev, Ploscadnyje podjacije XVI stoletia. Sbornik statej po russkoj istorii posvjascennyj S. F. Platonovtj, Petrograd, 1922, p. 139-143.
page 25 note 1. F. J. Uspenskij, Ocerki po istorii vizantijskoj obrazovannosti na Rusi. (Etudes sur la connaissance de l'éducation byzantine en Russie), St-Pétersbourg, 1892 ; E. Golubinskij, Vopros o zaimstvovanii domongolskimi Russkimi ot Grekov tak nazyvajemoj schedografii (Au sujet de l'emprunt par la Russie protomongole de la schédographie grecque.) Izvestja Otdelenija Russkogo Jazyka i Slovennosti (ensuite : Izorjas), 1904, t. IX, Iiv. 2, p. 49-59.
page 25 note 2. Cf. W. N. Peretz, Obrazovannost v Kievskoj Rusi (L'éducation en Russie de Kiev.) Kniga dla cetenija po russkoj istorii podred. M. Downar apolskogo, Moscou, 1904, t. I, p. 548 ss. Cette publication classique du début du xxe siècle nous permet de voir jusqu'à quel point s'est développée aujourd'hui notre connaissance de ce sujet. Voir aussi Istoria Kultury Drevnej Rusii (L'histoire de la culture de l'ancienne Russie), Moscou-Leningrad, 1951, t. II, p. 216-244 ; au sujet des connaissances mathématiques en Russie, v. Rybakov, B. A.. « Architekturnaja matematyka drevnerusskich zodcich » (La connaissance de la mathématique architectonique chez les anciens constructeurs russes) Sovetskaja Archeolgja, I, 1957, p . 83 Google Scholar sa.
page 26 note 1. Karskij, E., Slavjanskaja kirillovskaja paleografja (La paléographie slave cyrillique), Leningrad, 1928, p. 259–308 Google Scholar ; Rybakov, B. A., Remeslo drevnej Rusi. (L'artisanat de l'ancienne Russie), Moscou, 1948, p. 405, 682 ss.Google Scholar
page 26 note 2. A. I. Sobolevskij, Poslanieepikopa Simona (La lettre de l'évêque Simon.) Izorjas, 1909, t. XIV, liv. I, p. 1 ss.
page 26 note 3. Cf. N. K. Nikolskij, Blizajsie zadaei izucenija drevneruskoj knizonisti. (Les plus urgents problèmes à étudier au sujet de l'ancienne scripturalité en Russie.) St-Pétersbourg, 1902.
page 26 note 4. Gudzij, V. N. K., Istorja drevnej russkoj lilteratury (L'histoire de l'ancienne littérature russe), 5e éd., Moscou, 1953.Google Scholar
page 27 note 1. V. B. A. Sapunov, Nekotoryje soobrazenija o drevnerusskoj knlznosti XI-XIII vekov. (Quelques réflexions sur l'ancienne écriture russe des XI-XIII s.), Todrl, 1955 t. XI, p. 314 ss.
page 27 note 2. Cf. les thèses de l'allocution de W. A. Moosin, prononcée au cours de la troisième conférence des Unions Soviétiques consacrée à l'ancienne littérature russe, les 13 et 15 mai 1957, Izvestja AN SSSR otd. literatury i jazyka, 1958, t. XVII, éd. I, p. 90, 96-97.
page 28 note 1. N. A. Mescerskij, K voprosu ob istocnikach Povesti Vremenych Let (Au sujet de sources du « Récit des années »), Todkl, 1957, XIII, p. 57-65 ; Isskustvo perevoda v Kievskoj Rusi (L'art de traduire en Russie de Kiev), Todbl, 1958, XV, p. 52-72.
page 28 note 2. V. A. D. Voronov, O laiinskich propovednikach na Rusi Kievskoj w Xi XI vekach (A propos des missionnaires latins dans la Russie de Kiev aux xe et xie siècles.) Ctenija w Istoriceskom Obceatve Nestora Letopisca, Kiev, 1879, liv. I, p. 13 ss. ; A. I. Sobolevskm, Dva slova o drevnich cerkovnoslavjanskich perevodach s latinskogo (Quelques mots au sujet des anciennes traductions vieux-slaves du latin), Izorjas, t. XII, 1906, liv. 4, p. 41 ss. ; N. K. Nikoaskij, Povest Vremennych Lel kak istocnik dla istorii nacalnogo perioda russkoj pismennosti i kultury. (” Le récit des années » comme source historique pour le commencement de récriture et de la civilisation russes), Sbornik po russkomu jazyku i slovesnosti, ANSSSR, t. II, Leningrad, 1930 ; Halinka, R., Kcesko-ruskym vztahwm v 10 stoleti (Au sujet des relations entre la Bohême et la Russie au Xe siècle), Snornik praci Filosofické Fakulty Brnenské University, Brno, 1953, r. II, 2–4 Google Scholar, p. 248-257.
page 29 note 1. N. N. Ilijn, O. C , p . 36 ss. Cf. aussi D. Cyzevskij, « Anklange an die Gumpoldslegende des hl. Valclav in der altruss. Légende des hl. Feodosij », Wiener Slawischer Jahrbuch, 1950, p. 71-86. C'est dernièrement N. N. Vohonin qui dans son livre Le récit anonyme sur Boris et Gleb, sa chronologie, son style, son auteur. (Todrl, 195 p. 11 ss.) a souligné la différence du caractère de deux Vitae de ces saints, en l'expliquant par des différents conflits sociaux se trouvant à la base de ces deux oeuvres.
page 30 note 1. Popov, V. A., Istoriko-literaturnyj obzor derevne-russkich polemiceskich socinenij protiv latinjan (Revue historique et littéraire des ouvrages polémiques de l'ancienne Russie contre l'Eglise de Rome), Moscou, 1875 Google Scholar ; N. K. Nikolskij, « K voprosu o sledach moravsko-ceskogo vlajanija na literaturnych pamjatnikhac domongolskoj epochi » (Au sujet des influences moravo-bohémiennes sur la littérature de l'époque protomongole), Vestnik ANSSSR, 1933, n° 8-9.
page 30 note 2. Paterik Kievo-Pecerskogo Monastyrja. (La vie des Pères du Monastère de Pecery), éd. Archeograficeskoj Komisji, St-Pétersbourg, 1911, p. 90-92. Il s'agirait peut-être ici de la littérature apocryphe traduite de l'hébreu.
page 31 note 1. Cf. N. K. Nikolskij, O literaturnych trudach Klilmenta Smolatica pisatelja XII v. (Au sujet des OEuvres littéraires de Clément de Smolensk, écrivain du x n e siècle), St-Pétersbourg, 1892. Sur la connaissance de la littérature antique en Russie, v. A. J. Klibanov, K problème anticnogo nasledjaw pamjatnikach drevnerusskoj pis miennosti (A propos des traditions antiques dans l'ancienne littérature russe), Todrl, XIII, 1957, p. 158-181.
page 31 note 2. V. N. A. Kazakova et Ja. S. Lure, Antifeodalnye ereticeskije dvieznija na Rusi XIV nacala XVI v. (Les mouvements hérétiques antiféodaux en Russie au x i v c jusqu'au début du xvie siècle), Moscou-Leningrad, 1955.
page 31 note 3. Lichacev, D. S., Russkije letopisi i ich kulturno-istori-ceskije znacenije. (Les chroniques russes et leur importance culturelle et historique.) Moscou-Leningrad, 1947.Google Scholar
page 32 note 1. N. N. Voronin, Literaturnyje istocniki v tvorcestwe drexmerusskich zodcich (Les sources littéraires dans les OEuvres des architectes de l'ancienne Russie), Todrl, Xiii, 1957, p. 354-374.
page 32 note 2. Chozdienije za tri morja Afanasija Nikitina 1462-1472, sous dir. de B. Grekovet W. P. Adrjanova-peretz (L'expédition d'Athanase Nikitin, au-delà des trois mers, 1462-1472.) Moscou-Leningrad, 1948.
page 33 note 1. Cf. L. U. ,Budovnic, Pamiatnik rannej dmorjanskoj publicistiki — Molenie Danila Zatocnika. (Un monument historique de la littérature vassalique, La Plainte de Daniel Le Reclus.) Todal, VIII, 1952, p. 138-157 et D. S. Lichackv, Socjalnyje osnowy Stila « Molenija Danila Zatocnika ». (Le fond social du style de la « Plainte de Daniel Le Reclus ».) Tod»l, X, 1954, p. 106-119. La question de l'aspect social de la « Plainte » est discutée ; mais cette divergence d'opinions des savants n'a rien à voir avec les principes méthodologiques comme le suppose Cizevskij, D., Die « soziale Frage » in den altsclavischen Literaturen, Aus zwei Welten, Leiden, 1956, p. 29–32.Google Scholar
page 33 note 2. Cf. M. N. Tichomirov, Gorodskaja pismiennost. (La littérature urbaine), o. c, p. 60-61.
page 33 note 3. D. S. Lichacev, Obscestenno-paliticeskije idei « Slova o polku Igoreve » (Les idées sociales et politiques exprimées dans « La Geste du prince Igor »), Todrl, VIII, 1951, p. 17-30.
page 33 note 4. Stender-peterson, V. A., Die Problematik der russischen Literatur, Vortràge auf der Berliner Slavistentagung (11-14 novembre 1954), Berlin, 1956, p. 130–139.Google Scholar
page 33 note 5. Cf. W. P. Adrjanova-peretz, Slovo o polku Igoreve i ustnaja poezja (Un mot au sujet de la « Geste du prince Igor » et de la poésie orale populaire), Slovo o polku Igoreve, éd. ASSSR, Moscou-Leningrad, 1957, p. 291-319.
page 34 note 1. Chudozestwennaja proza Hevskoj Rusi XI-XIII v. (La prose poétique de la Russie de Kiev aux xie-xme siècle), Moscou, 1957, p. 11, 193, 350.