Hostname: page-component-745bb68f8f-5r2nc Total loading time: 0 Render date: 2025-01-27T13:57:08.919Z Has data issue: false hasContentIssue false
  • English
  • Français

Au XVIIIe siècle : Sciences de la vie et Pensée française

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Jean Ehrard
Get access Rights & Permissions [Opens in a new window]

Extract

La grosse thèse de M. J. Roger est plus et moins qu'une histoire de la recherche biologique aux XVIIe et XVIIIe siècles. Si elle précise, discute et complète sur plus d'un point l'ouvrage classique d'E. Guyénot, elle demeure, pour l'essentiel, une histoire des découvertes et des doctrines. On y trouvera peu d'éléments à verser au dossier de cette « archéologie » de la perception scientifique que tente par exemple, pour les dernières années du XVIIIe siècle, un livre récent de Michel Foucault . Fidèle aux méthodes éprouvées de l'histoire des idées, l'auteur a su toutefois leur faire donner tout ce qu'elles pouvaient produire.

Type
Notes Critiques
Information
Annales. Histoire, Sciences Sociales , Volume 19 , Issue 5 , October 1964 , pp. 947 - 952
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1964 

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 947 note 1. Roger, Jacques, Les sciences de la vie dans la pensée française du XVIIIe siècle. La génération des animaux, de Descartes à l'Encyclopédie, Paris, A. Colin, 1963, 842 Google Scholar p. in-8°.

page 947 note 2. Foucault, Michel, Naissance de la clinique. Une archéologie du regard médical, Paris, P.U.F., 1963, 212 p.Google Scholar in-8°.

page 950 note 1. M. Roger en convient pour Maupertuis, mais nous semble un peu sévère pour plusieurs de ses contemporains.

page 951 note 1. Paris, Mémoires du Muséum national d'Histoire naturelle, 1962, CLII-343 p. gr. in-8°. M. Roger y traite plus longuement de la religion de Buffon.

page 951 note 2. La date initiale, 1600, s'imposait-elle si évidemment qu'elle n'eût pas besoin d'être justifiée ?